Rankdown de vos musiques préférées - 13e édition

Stromsolar - 1/17

Tiers 1/9
Morceau qui aura jamais été en première place de mon classement sauf à l'endgame.
En fait je l'ai mis en première place pour deux raisons :
1/ C'est le seul morceau qui m'a ému au point d'avoir une boule dans la gorge. Et quand je ressens les émotions d'un morceau aussi fortement c'est que c'est une grosse réussite.
2/ J'ai du me rendre à l'évidence, en regardant la playlist que c'est à chaque fois le morceau que j'ai le plus envie de réécouter.
Bref j'adore tout a de A a Z. La construction du morceau est parfaite et se marie vraiment bien avec l'histoire de la vidéo. C'est une sorte de rollercoaster d'émotions tout au long de la musique. Et vraiment c'est le genre de musique qui permet l'introspection au point que celle-ci a une valeur plus forte que juste un morceau classique pour faire passer le temps.
Il est impossible pour moi d'analyser ce morceau par passage car la beauté du morceau réside dans son ensemble, dans son évolution et dans ce que celle-ci apporte.


Bob_E1520 - 2/17

Justif initiale :

Spoiler:

L'avantage est que je n'ai pas eu à appliquer de ne pas mettre ce titre n°1 car sa place dans le classement est réelle. Le clip est une leçon de vie à lui tout seul, mais je surkiffe juste ce son, tout en technique, en rythme et en mélodie !


Miraw - 6/17

Au départ, je n’étais pas spécialement fan de NTO et lorsque La Clé Des Champs a été proposé lors du rankdown électro 2, l’intérêt pour l’artiste a su renaître. Et pour Invisible, c’est presque le coup de cœur qui s’est produit et c’est littéralement le meilleur morceau que j’ai pu entendre du musicien. Une partie de cet endgame est tellement qualitative que je ne peux pas mettre plus haut la composition. Comme à son habitude, le Français nous propose une prestation électronique radicalement différent de ce que l’on peut habituellement entendre de la scène actuelle, une musique très minimaliste, toujours dans la progression, dans une certaine noirceur et mélancolie. C’est ce qui m’avait déjà plu dans La Clé Des Champs et qui vient se confirmer dans Invisible, cette capacité à l’artiste de nous faire vivre une histoire avec si peu d’éléments, de nous faire ressentir autant d’émotions et surtout de sensibilité avec trois fois rien. On éprouve tout du long cette morosité mais avec une pointe d’espoir à sa fin. D’ailleurs, couplé au clip, la chanson prend tout son sens avec un message fort en son sein : « N’écoutez pas les jugements et les pensées que les autres ont sur vous, soyez vous-même, réalisez vos rêves et vos envies et sur votre chemin, vous rencontrerez des gens qui tiennent à vous et qui viendront vous aidez, peu importe les circonstances. ». Au niveau de la vidéo, cette fin est beaucoup plus tragique avec la mort, la disparition d’un des deux personnages principaux, fusillé par un groupe et qui voit donc sa vie s’arrêter brusquement.
On est ici dans la forme la plus pure de la musique, où seule l’instrumentalisation se manifeste. Mais parfois, les notes sont plus fortes que les mots et une nouvelle fois, NTO le prouve parfaitement sur ce morceau. Comme dit précédemment, comme pour de l’électro bien vénère, j’aime tout autant une techno plus posée et plus progressive. Je regrette néanmoins (mais c’est peut-être un manque de chance) que chaque composition du français se ressemble étrangement, toujours avec une couche instrumentale de base sur laquelle on va ajouter d’autres couches et diverses sonorités, ce qui estompe forcément l’effet de surprise. Je n’ai pas forcément un problème avec cet attrait tant qu’il est bien réalisé mais j’admets que j’aimerais découvrir le musicien sous d’autres auspices. A minima, la profondeur du morceau suffit à mon bonheur et ce voyage entre spleen et libération est une sacrée bouffée d’air frais. A contrario de La Clé Des Champs (un peu obligé de faire la comparaison entre les deux morceaux puisque c’était ma référence de NTO jusque-là), l’écart d’intensité est bien moins important, la cohérence est plus fluide et je me sens moins agressé par les écarts d’amplitude. Le titre est peut-être un poil long dû sans conteste à certains manques de renouvellement et une légère longueur se fait ressentir. Mais pour le reste, j’ai été complètement scotché du début à la fin, aussi bien musicalement que visuellement parlant par ce poème contemporain qui en touchera plus d’un (pas mal la rime non ?).


Apomuse - 8/17

Le fait que je connaisse déjà cette musique va clairement la desservir dans ce classement. C’est toujours une musique que j’apprécie énormément, qui est super bien construite et captivante, cette impression ne change pas.
Avant le rankdown, j’avais déjà cette musique dans ma playlist, mais comme je l’avais déjà évoqué dans le salon Discord, c’était la version piano avec Sofiane Pamart. Et le problème avec cette musique, c’est que j’adore la version piano, plus que la version originale. Je trouve que dans cette dernière, elle manque un poil de dynamisme, là où dans la version piano il y a toujours cette continuité, et cette accroche accordée par le piano. Bon après elle est moins longue ça peut jouer. L’interprétation de Sofiane Pamart est aussi super, tendre, douce et en adéquation avec la musique. C’est totalement captivant. Je ne vais pas m’étendre plus sur cette version je vous laisse la découvrir si vous ne la connaissez pas: lien.
Revenons-en à nos moutons… Je ne sais pas comment expliquer pourquoi j’adore cette musique. La composition est formidable, y a tellement de détails, d’éléments qui viennent s’entremêler mais qui en même temps ne font qu’un. L’accumulation qui se fait au début est super bien montée. Les motifs musicaux arrivent petit à petit, mais rien n'est choquant, on a l’impression que tout entre avec facilité. Il y a aussi cet ostinato installé depuis le début qui vient marquer une bonne partie du morceau, qui devient obsessionnel mais sans être casse-tête. Le tout évolue, mais sans jamais de cassure, on reste dans une musique captivante, douce, mais avec un poil d’entêtement. Pour moi c’est du génie.
Ma partie préférée c’est vers 3:30 quand tout commence à s’emballer, à se mêler avec cette espèce de distorsion. Puis le motif musical qui vient d’être installé reprend, avec plus d’affirmation et de détermination. J’adore!!


Enibeline - 9/17

J’ai songé deux fois à la nominer mais quand j’ai écrit sa nomination la seconde fois, j’ai finalement écris une justif de endgame et donc je l’ai gardé. La voici : Quitte à garder une musique « longue » dans le RD, c’était celle-ci que je voulais garder. Plusieurs fois j’ai failli la nominer. Je la trouvais longue, mais sa durée était justifiée par son style de musique et est beaucoup monté dans mon ranking au fur et à mesure des écoutes. J’aime énormément ce morceau. Ces notes très basiques au départ, un peu graves qui ne me touchent guère, puis l’ajout de ces douces notes légèrement plus claires que les autres viennent faire la différence. Elles le sont encore plus au moment de lancer les nouvelles dynamiques du morceau. C’est encore plus facile de le souligner la première fois à 2min10 lors de la première accélération, mais vers les plus belles notes pour ma part à 3min33. De ce bout-là, le morceau ne cesse de gagner en attache en importance. Je ne peux m’y résoudre, malgré le schéma répétitif, ce morceau me plait énormément.


Renegade Jackal - 9/17

Ce son me laisse un peu perplexe. Par rapport aux autres, ça doit être celui qui me donne le plus de fil à retordre au niveau de la critique car je n’ai pas de cohérence paroles/instru à chercher.

Néanmoins, j’ai choisi de le mettre en milieu de tableau car ces pics d’intensités et ces montées en tension me plaisent. D’autant plus que l’ambiance proposé passe de la sérénité à l’anxiété avec ces dites montées, et ce sans variation de tempo ou d’air.

Et ça, c’est fort.


Synecdoque - 9/17
Pas sa meilleure, mais bon pour moi cet artiste dans les top tier DJ français. C'est très basique mais à chaque fois ses mélodies restent en tête et sont assez addictives, il maitrise tellement bien la progression dans ses titres que c'est ce qui rend sa musique tellement satisfaisante.


Di’mort - 10/17

NTO… un artiste que j’avais éliminé en TOUT PREMIER du Rankdown Musical 2, un peu par défaut car il n’y avait rien que j’aimais moins à l’époque dans la quote… J’étais un peu déçu de l’avoir éliminé si tôt… Et là il a sa revanche avec un clip magnifique qui m’a fait classer la musique assez haute !!
C’est un peu tout mon dilemme avec ce morceau… Car au final c’est un style de musique très minimaliste que j’ai beaucoup de mal à apprécier moi qui aime bien quand il y en a partout et que c’est clair, concis, précis avec un but évident de ce que la musique veut que je ressente… Là je ne sais pas. En fait je considère plutôt que cette musique est un film quand elle est couplée à son clip. Là quand je l’écoute sur Spotify je trouve que le morceau traîne un peu sur les deux premières minutes avant de commencer à monter en puissance et donc de vraiment me plaire… Pour revenir certes sur l’instrumentale basique de base, mais avec quelques petits trucs en plus. La musique suit une réelle évolution qui me plaît et qui au final m’emmène un peu avec elle, sans que je sache trop où ni pourquoi les murs bougent ou encore comment ça se fait qu’il y en a dans tous les sens…
En définitif : c’est sympathique et même si la musique est minimale je ne vois pas les 4minutes passer… Dommage qu’après ses 4minutes je me dise « bon j’ai eu ma dose » et il reste encore presque 2 minutes. C’est ce qui me fait la classer pas plus haut malheureusement.
Ce son est très sympa avec son clip, mais je ne trouve pas que la musique se suffise totalement à elle-même. Et ça reste une belle œuvre (surtout le clip) mais ça ne suffira pas pour rentrer dans ma première moitié de classement.


Gerik - 13/17

De l'électro avec un clip que j'ai pris plaisir à regarder, j'adore quand il y a une histoire pour accompagner. Au niveau musical, c'est de l'électro, un genre que j'aime vraiment bien. Le problème, c'est que sur la durée, il y a trop de peu de passages que je trouve cools/marquants. J'aime bien celui à 2:15 qui dure une trentaine de seconde, puis la suite, même si c'est en-dessous, c'est mieux rythmé que le début. Et puis, après et jusqu'à la fin je ne retrouve plus beaucoup d'originalité quasiment jusqu'à la fin. Si je devais faire des tiers sur mon endgame, il y aurait mon top 6, mon top 12, mon top 15 et mon bottom 2. Et Invisible n'a pas ce qu'il faut pour mon top 12, les musiques que j'aime vraiment bien.

Spectateurs - 17/17:

Gerik - 2/17

Voir justif

Spoiler:

+ (Avec mon first boot, c'est le son que j'ai découvert durant le RD pour lequel j'avais le plus d'espoir, parce que c'est vraiment très particulier. Que ce soit la voix, l'instru et ce décalage complet de la musique innatendu en plein milieu. J'adore l'électro dedans, la voix et l'originalité, donc un top 2 mérité dans mon classement)


Di’mort - 3/17

Je crois que je n’avais jamais justifié mon joker sur ce morceau… Bah tout simplement j’aime beaucoup la vibe qui se dégage de ce morceau (dont je pense connaître le ranker). Et je vais donc détailler ce qui fait que j’aime cette vibe au point de l’avoir joker.
Déjà je trouve les choix des sonorités instrumentales incroyables. L’intro est absolument incroyable. J’ai l’impression d’être un assassin ninja sur les toits la nuit qui se prépare à faire son office et qui écoute cette musique pour se donner du courage. Je me fais des clips dans la tête avec cette musique et c’est ça qui la rend incroyable à mes yeux. C’est une musique qui me parle beaucoup.
Quand le chant arrive, je trouve que ça rend super bien pour un morceau que, de base, j’aurais dit trouver mieux en full instrumentale. Mais c’est faux ; je trouve que le chant rajoute vraiment toute la saveur dont le morceau a besoin.
Et ce drop… Franchement je le trouve génial. Le pré-drop à 42secondes est top ; et le drop qui arrive à 1min03 est inattendu et c’est une belle surprise. Le morceau me fait danser sur mon siège ; c’est un régal. Les choix des effets qui sont proposés à plusieurs moments rendent tous parfaitement bien avec le morceau. Je trouve que le morceau est parfaitement composé. Et il m’arrive de me demander sur un morceau « qu’est-ce que j’aurais changé pour l’apprécier encore plus ? » et sur ce morceau la réponse est très simple : absolument rien.
Ce morceau est très clairement un des morceaux que je vais continuer d’écouter et mettre dans pas mal de mes playlists bien après ce rankdown. Donc merci énormément au ranker pour cette incroyable découverte. C’est top et ça a une vibe « Arcane » d’ailleurs qui me plaît beaucoup.


Renegade Jackal - 3/17

Bon, j’étais au départ très divisé sur ce son. D’un côté, l’instru bien que simple, est un minimum rythmé et très immersive avec son ambiance nocturne et pensive.

Mais d’un autre côté, je n’arrivais pas trouver de cohérence entre cette ambiance nocturne, et ce parolier impliquant un énorme doute et un énorme manque de confiance en soi.

Ce regain d’intensité durant les refrains est pourtant cohérent avec ce parolier. Puisqu’il s’agit , pour moi, d’un départ implicite du narrateur qui n’arrive pas à se mettre d’accord sur quoi faire, et qui prévient qu’il peut changer d’avis comme de chemise.

Quant à cette ambiance nocturne, la nuit offre souvent des moments d’introspection. Des moments ou, les sentiments et les émotions en nous peuvent ressurgir, et nous faire réfléchir dans nos problématiques du quotidien.

C’est pourquoi je trouve qu’après réflexion, Never Count On Me est un son qui est très cohérent dans sa construction, et qu’il est suffisamment rythmé/intense pour que je ne me lasse pas.


Miraw - 4/17

Généralement, quand on pense à la musique électronique, on a comme vision une musique froide, dénuée d’émotions et assez redondante. Dans le cas de Never Count On Me, il n’en est absolument pas question et sa créativité par rapport à d’autres morceaux du même style en fait sa principale force. Ce qui m’a tout de suite séduit, c’est cette légèreté et cette douceur dans la mélodie, cette patte plus émotionnelle limite triste que je ne retrouve pas si souvent dans l’électro, cet aspect calme et relaxant dont on ne pensait pas forcément avoir besoin mais qui s’avère finalement être vital. Le choix des sonorités est somptueuse, on a limite l’impression d’entendre une harpe ou un piano dans sa version électronique, ce qui apporte bien entendu la douceur, la sérénité et la mélancolie de la composition. La progression n’est pas trop abrupte, diverses couches de sonorités électroniques s’ajoutent sans noyer la mélodie de base et sans corrompre l’atmosphère nostalgique qui en découle. Le chant est aussi présent pour accentuer cette déchirure et cette quiétude au sein du morceau. Etonnement, je ne m’attendais pas vraiment à entendre un véritable chant, dans le sens réel, même si quelques effets électroniques sont ajoutés ici et là. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que ces quelques touches de chant fonctionnent divinement bien : on est loin de l’insensibilité des prestations vocales autotunées, on est dans l’émotivité dans sa vision presque la plus pure et le résultat en vaut clairement la chandelle.

Le lyrisme va également dans ce sens : à travers ces quelques lignes, on comprend les frustrations de l’artiste, ses propres déceptions et celles qu’il provoquait à son entourage, un sentiment qui lui a finalement donner de la confiance pour prendre de meilleures décisions. Le drop est très surprenant avec une multitude de sonorités que je n’avais encore jamais entendu et un renouvellement quasi-totale par rapport au « couplet ». Bien qu’elles soient assez discrètes, on peut discerner à certains instants des connotations qui font penser à de la musique classique, de la musique orientale ou encore du jazz, des influences multiples qui créent l’identité et la personnalité si unique de Haywyre. Ma seule pointe de déception dans ce morceau concerne le drop car même si son exécution est moderne et innovante, c’est dommage que le second drop du morceau soit identique au premier ce qui provoque indéniablement un manque de stupéfaction puisque l’on sait déjà à quoi s’attendre. J’admets que je n’aurais pas été contre un peu plus de contenu car mine de rien et malgré ces presque 3:30 de durée totale, le titre passe relativement vite, ce qui est loin d’être un défaut puisque cela prouve dans un sens que l’on a bien aimé la composition. De même, la conclusion du titre est assez directe et aurait pu comme l’ensemble de la mélodie être plus progressive. Je ne sais pas trop dans quel style nous pourrions classer Haywyre mais ce qui est certain, c’est que Never Count On Me est une pièce authentique touchante et attachante.


Synecdoque - 5/17

De la future bass ou je rêve ?? Bah, j'ai rien à dire de +, j'ai grandi avec ce genre, j'ai vu ses débuts, son évolution et je vois que ce genre de musique continue d'être ouf (en + d'avoir sa popularité non négligeable).


Apomuse - 10/17

J’aime beaucoup cette musique. En soit, elle peut se rapprocher de sonorités que j’ai l’habitude d’entendre, mais je trouve qu’elle a aussi sa pointe d’originalité qui me fait beaucoup l’apprécier.
Je suis très fan de l’instrumentation de cette musique. Je trouve que les sons électros utilisés sont assez atypiques, voire presque orientaux et ça ajoute un charme fou à cette musique. Ça crée réellement une identité à ce morceau, et c’est très cool!
J’aime également beaucoup le timbre de voix du chanteur. Le petit effet qui est ajouté sur la voix apporte un côté mystérieux qui fonctionne très bien avec l’ambiance installée dès le début par l’instrumentation. Le timbre de la voix et de l’instrumentation se mêle parfaitement et ça crée un ensemble super agréable.
Je suis un peu moins fan des parties où il répète “Never count on me”, je trouve que l’instrumentation électro revient plus sur des sonorités déjà entendues, ou en tout cas plus communes. La transition n’est clairement pas choquante et bien faite, mais c’est dommage parce que j’étais très accrochée au style de départ, et dans ces parties ça fait redescendre l’attention que j’ai pour la musique.
Ça reste une très belle découverte pour moi!


Stromsolar - 13/17

Tiers 4/9
Ce morceau, il a eu des hauts et des bas dans mon classement pendant le RD. Au final il termine plutot en haut (oui car il aurait pu finir 16 à un autre moment).
En fait y a pleins de points agréables à savoir une instru très catchy que ce soit juste avant le drop et après le drop pendant le refrain.
Ca me rappelle beaucoup les morceaux éléctro que j'écoutais avant en un peu mieux. Ce un peu mieux vient du fait que l'instru est plus riche je trouve.
Après au delà de ce côté un peu plus riche dans l'instru, le son lui même est vu et revu pour moi niveau de l'atmosphère qui n'a rien de spéciale ou au niveau de la construction.
En fait j'ai l'impression d'écouter un morceau classique de genre  Monstercat ou NCS dont on aurait modifié l'instru pour la rendre plus unique, riche et originale. Donc au final c'est pas mauvais mais y a rien qui vient réellement me surprendre ou m'émouvoir en terme d'atmosphère.
Mais c'est un bon morceau sans aucun doute.


Enibeline - 14/17

Je l’avais nominé déjà … Pour reprendre un peu ce que j’avais dit. C’est pas trop ce que j’écoute, donc la découverte était bien présente et plutôt plaisante. Après de là à la re écouter souvent pas sûr. Disons que y a pleins de choses proposées dans ce morceau, pleins de variation, une certaine logique je suppose, mais personnellement, il y a trop d’éléments qui font que je m’y perds légèrement, et c’est le petit reproche que je lui ferai pour justifier sa position dans mon classement.  
Ma justif de nomination : “ Honnêtement, le morceau n’est pas déplaisant, mais le problème avec ce style de musique, c’est que de mon point de vue, je les trouve très longs, bien qu’ils ne le soient pas tant que ça. En effet, même si ils sont très différents, par exemple, quand on voit Invisible de NTO qui dure presque 6minutes et qui là pour le coup pourrait pour ma part être nominé juste par cette durée, j’y trouve une progression et des passages auxquels je m’y attache. Ce n'est pas le cas de Never Count on me. C’est très sympa comme morceau, mais rien ne me transcende et ne me reste dans la tête. La voix n’apporte rien, le morceau balance pleins de sons mais finalement c’est légèrement décousu… Un couplet apparent 2fois et une phrase de refrain répétée en boucle. Ça alterne entre deux passages, des ptites notes mimis et de cette phase pur électro (que je ne sais pas expliqué par des mots (désolée de mon inculture en terme de vocabulaire musical)) qui n'a rien de folle. Bref c’est sympa mais pas fou »


Bob_E1520 - 15/17

Un morceau que j'avais éliminé donc c/c du justificatif de l'époque :

Spoiler:

En Endgame, je tendrais à dire qu'il gagne toutefois 2 places grâce à son instru qui m'atteint un peu mieux au global et à son poids vocal moins prononcé que ses concurrentes. Et ça reste une bonne musique au final, ce qu'il faut toujours souligner.

Spectateurs - 15/17:

Gerik - 3/17

Voir justif

Spoiler:

+ (Le son que je connaissais avant le RD que j'ai le plus écouté, j'ai adoré et ça m'a même fait testé le jeu dont vient la musique. Clip superbe, ça donne envie de jouer à Valorant et je l'aime toujours autant)


Stromsolar - 3/17

Tiers 2/9
Je me surprends à mettre ce morceau aussi haut mais il aura survécu à l'épreuve du temps.
Genre je l'avais adoré à la première écoute et il était dans mon Top 10. Et je l'ai beaucoup réecouté et j'ai grow dessus alors que je pensais pas ça possible.
Y a pleins de morceaux dans lesquels je trouve une petite partie est catchy et me reste en tête.
Mais ici c'est TOUT le morceau de la première seconde à la dernière qui est catchy.
A cela on ajoute le fait que le morceau est très bien construit, que l'évolution est intéressante, qu'on ressent bien les émotions qui sont passées et la HYPE du jeu et on obtient une grosse réussite.


Bob_E1520 - 6/17

Un son énorme, un phrasé qui ne me lasse pas, 100% dans mes préférences, un déroulement sans accroc ! Seules les 20 dernières secondes quelque peu anodines lui font manquer les sommets. Pas grand chose d'autre à dire, je trouve juste ce son recherché et excellent.


Renegade Jackal - 6/17

Alleeeeeez, la dernière critique avant de roupiller putain...

Donc, Die For You, je trouvais initialement que le morceau manquait d’intensité et que son genre ne se prêtait pas forcément à une musique de baston, mais il s’avère que j’ai été agréablement surpris par ces montées en intensité et cette dureté dans le son qui s’intensifie avec le volume.

Le résultat est un très bon résumé de ce qu’un combat devrait donner. Les premiers instants pour sa préparation, puis le fait d’être plongé dedans dès le premier refrain avant d’atteindre le climax à la toute fin.

Cohérence : ok. Instru : ok. Parolier : ok.

Total, un bon tier 2. Et sur ce, je file roupiller car j’en peux plus putaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaain !


Di’mort - 7/17

Un morceau que je ne pensais pas forcément voir endgame, ni mettre si haut dans mon classement au début de ce rankdown. Car il y a pas mal de morceaux que j’appréciais plus… Mais qui au final ont tous été éliminés… Bref, la musique est sympa et, même si le ranker qui a proposé cette musique est grillé à des kilomètres, la musique est une belle découverte venant d’un jeu que je connais peu. J’aime beaucoup la vibe générale ; les montées en puissance sont réussies avec des drops qui sont plaisants à entendre.
De manière générale, j’apprécie le morceau sans que ça soit pour autant un coup de cœur. La place en endgame est largement méritée mais je serais surpris et probablement un peu déçu de voir ce morceau à gagner. Je trouve d’ailleurs qu’il a des similitudes dans le chant avec un autre morceau de l’endgame (Kriill – Green Jewels) ; c’est un peu sa version on steroids ce qui me plaît… ou me déplaît, vous le saurez quand vous verrez combien j’ai placé chacun des morceaux. Mais dans l’idée générale, une bonne musique sans pour autant être un chef d’oeuvre. J’apprécie.


Enibeline - 8/17

Pas facile à classer à cause de la playlist présentée. Elle pourrait être très haute. La musique en elle-même est très prenante, un classique entre variation passage calme, rapide, les accélérations, et refrain très entrainant/dynamique, vraiment, l’ensemble est très plaisant. L’instru fait des folies, notamment en solo. J’aime beaucoup. Je pense que les parties qui font que je la mets à cette position est peut-être les deux trois passages avec le bruit saturé qui reste en long comme vers 1min21 ou 2min04 (full saturé même si parfait pour marquer la pause qui fait redémarrer lentement), ou encore 3min16 ect…  Mais j’ai adoré, merci pour la découverte

Spectateurs - 11/17:

Miraw - 12/17

Die For You est typiquement le style de morceau qui me frustre au plus haut point avec des passages que j’ai sérieusement adoré et d’autres qui paraissent à côté bien pâles et vides. Ces sections, il s’agit des couplets qui traduisent parfaitement bien l’écriture d’un bon 80/90% des titres de pop-rock. On met quelques accords de guitare que l’on répète tout du long, on ajoute des percussions (ou devrais-je dire des boom) pour le dynamisme et le caractère plus frappant, on surenchérie avec une prestation vocale assez sensible, chagrinante mais qui ne se démarque pas vraiment de la masse et ça y est, la recette magique d’un titre pop-rock est née. Sauf que ce type d’attrait, c’est sympa de temps en temps, en musique de fond ou simplement si l’on veut se vider la tête mais pour le reste, on est un peu dans la musique du pauvre. Je ne dénigre pas forcément l’auteur derrière mes dires et même si mes propos sont crus, ce n’est pas forcément un type de musique qui me gêne (si ça l’était, j’aurais nominé Die For You dès le début de ce rankdown). Mais disons surtout que lors d’un rankdown et plus vrai encore lors d’un endgame, on s’attend à être ébloui par de la fantaisie ou divers caractéristiques qui ferait sortir un artiste ou un groupe du lot. Et malheureusement sur les couplets, on est assez loin du compte et je ne cache pas que cet attrait aurait pu être totalement rédhibitoire dans ma notation. Mais il ne faut jamais juger une musique par ses premières notes et laisser la mélodie se développer.

Un choix qui s’avèrera payant dans le cadre de Valorant et de Grabbitz, compositeur du morceau. En effet, le refrain ou plus précisément le drop est l’instant marquant de l’œuvre. Je dois dire que je ne m’attendais pas du tout à ce virage électronique, quelque part entre la synthwave et la darkwave mais il est fort appréciable et il permet de se démarquer de la masse. Certes, la musique électronique adoptée n’est pas du plus élaborée ou du plus frénétique mais il suffit amplement pour apporter la variété et le mordant attendu. Après, il est dommage que le chant ne suive pas cette même révolution mais comme la mélodie électronique prend quelque peu le dessus sur la prestation vocale, j’y ai prêté bien moins attention. Juste après ce drop, on peut aisément discerner cette influence plus rock qui est forcément mon dada. Là encore, on ne sautera sûrement pas de notre chaise mais l’empreinte a le mérite d’exister donc difficile de critiquer le musicien sur cette direction. C’est un peu triste que le second drop soit presque à l’exact identique du premier car il y avait largement de quoi créer divers effets sympas de ralentissement ou d’accélération, de saturation ou d’élèvement, de pauses et j’en passe. Le chant se manifeste enfin à partir de 2:52 avec une palette plus vaste, plus de puissance également. C’est regrettable que ce spectacle ne dure à peine qu’une dizaine de secondes mais une nouvelle fois, il a le mérite d’être présent donc on ne s’en plaindra pas trop. En conclusion, Die For You possède quelques belles cartouches mais aussi des balles assez insignifiantes qui en font une arme déséquilibré.


Synecdoque - 12/17

(Pas de justif)


Apomuse - 16/17

J’aime bien cette musique! Mais la playlist est très qualitative, et le fait qu’elle ressemble à ce que j’ai déjà pu entendre/écouter fait que pour moi elle ne ressort pas plus que ça du lot. J’aime bien écouter cette musique, mais je n’y ai pas spécialement d’attache. Je vous joins la nomination que j’avais écrite pour en savoir plus, puisque ça n’a pas changé:

J'aime bien le timbre du chanteur, il est assez simple mais il a un certain charme. J'aime bien également dès les premières notes la manière dont il chante le texte. Je suis un peu moins fan des pré-refrain, mais les couplets sont super agréable, je pense que c'est mes parties préférées. J'aime aussi beaucoup la partie en double voix qui arrive au milieu de la chanson. Cette partie vient marquer un break dans la musique, et apporter une atmosphère un peu plus calme.

L'atmosphère instrumentale est assez sympathique, même si ce n'est pas ce qui me marque le plus dans cette musique. Les ponts instrumentaux sont plutôt plaisants, ils ne me transcendent pas mais restent plutôt cools et en adéquation avec le reste. J'aime bien le rythme qui est mis en place tout de même, je me vois marcher au milieu d'une autoroute (sans voiture) d'un air déterminé.

La fin quand on a une petite explosion de la voix et de la partie instrumentale est vraiment cool. Ça rajoute une vraie énergie dans la musique, là où ça aurait pu être répété simplement, ça vient redynamiser le tout.

Gerik - 1/17

Ce son c'est un ovni chez moi car je l'ai direct mis tier joker alors que ce n'est absolument PAS le genre de son que j'écoute. Du métal, dont je ne suis pas du tout amateur de base, avec de la folk indienne. C'est un mix bizarre, étrange, et pourtant j'ADORE. Très dur de l'exprimer avec des mots, mais j'aime toutes les interventions, même le refrain. C'est un bop qui envoie du lourd et même si ce fut très dur de départager le top, voir un son d'un style que je n'aime pas de base me plaire autant, ça mérite de le push. J'apprécie aussi que le son change un peu par moment, avec le passage à 2:05 super cool, probablement mon passage préféré. La musique indienne d'ailleurs, j'en ai pas parlé, mais c'est hyper dépaysant et super agréable. Super découverte et très curieux de la personne qui l'a mis, parce qu'il est possible que j'ai taillé ses chansons pour mettre celle-ci sur mon top


Di’mort - 1/17

Je connaissais déjà Bloodywood bien entendu. Mais je ne connaissais pas leur album de 2022 donc pour moi c’est une découverte totale que ce morceau.
On est dans la vibe parfaite de ce que j’adore : un morceau à la fois « ethnique » et metal. Mais pas metal gentillet, metal bien vénère que j’adore. Et c’est une énorme (mais plaisante) surprise pour moi que de voir ce morceau endgame, sans aucun joker utilisé pour le sauver qui plus est. Merci au ranker de m’avoir fait découvrir ce nouveau morceau et également ce nouvel album donc.
J’étais persuadé que c’était une musique de Lone… Mais non. Et Miraw a soit bien bluff… Soit c’est la musique de quelqu’un d’autre ?
Bref j’adore la vibe metal presque jent de ce morceau avec des vibe hard electro. L’intro est absolument incroyable, on rentre direct dedans et après on ne décroche plus du morceau une seule seconde. On rentre dans un morceau avec une vibe Rise Of The North Star d’Inde qui me régale totalement.
Puis il y a le passage qui commence à 2 minutes qui est totalement inattendu mais colle super bien dans ce morceau qui est un mélange de tout un tas de choses. Et ça pourrait être décousu, mais je trouve le morceau hyper cohérent malgré le gloubi-boulga de ce qu’il propose. Si ce morceau se mangeait, ça serait une pizza chèvre-miel : des éléments que je n’aurais jamais pensé avoir ensemble dans un même plat, mais quel régal et je voudrais en manger tous les jours !!
Bref : j’adore la puissance qui se dégage du morceau. Et au-delà de ça quelle dinguerie. Il y a tellement de passages que j’adore. Le passage un peu après 3min30 qui est juste la grosse lourdeur metal à l’état pur POUAH quel délice. Tout le morceau amenait à ce passage qu’on attendait et c’est vraiment kiffant. Je ne boude pas du tout les instruments aux vibes indiennes qui sortent par moment également, qui ajoutent une vraie couleur au morceau.
Merci énormément encore au ranker ou à la rankeuse pour ce morceau que j’ai juste adoré. Je connaissais le groupe, mais je ne m’étais jamais penché dessus plus que ça. Et c’est vraiment ce morceau qui m’a donné envie de m’y intéresser bien plus.


Stromsolar - 2/17

COUCOU C MOI
Oui juré ça vient de moi ! Coucou !
Ce morceau est le deuxième morceau de metal que j'ai écoute de mon coté et un de ceux qui m'a donné envie d'en connaitre plus sur le genre.
Mon dieu il envoit du lourd !
Le mélange Metal avec le Rap et l'instru plus traditionnel c'est juste tout ce que je pouvais espérer moi qui aime les mélanges de style différents
De plus, ça fait du bien (et j'en écoute trop peu) d'avoir un morceau avec un message réel concret (plus qu'un simple message philosophique quoi). Et derrière ce message se mélange parfaitement avec le morceau. On ressent toute la colère du chanteur dans cette chanson
Il transmet les émotions parfaitement notamment avec un passage juste incroyable je trouve entre 3min20 et 4min
On a un passage instru qui build doucement ou tu sens le groupe qui étends sa menace progressivement. Je parviens vraiment dans le petit passage instru à ressentir toute l'accumulation de colère qui se fait et qui explose ensuite dans un cri de rage qui est vraiment bien amené et bien executé. Car au final malgré cela, on reste toujours dans la musique, on n'en sort jamais
Je passe aussi sur les passages de rap pour dire que je les adore et qu'ils font beaucoup beaucoup de bien à la chanson.
Et je vais conclure en disant qu'un des gros points forts du morceau c'est de réussir à être catchy. Généralement je trouve le metal peu catchy car trop brut mais ici les divers aspects ajoutés en plus au morceau donne vraiment un coté mélodieux que je ne peux que saluer

Spectateurs - 6/17:

Miraw - 7/17

Une place qui n’est pas si surprenante que ça puisque Gaddaar est un des seuls titres que je connaissais de ce rankdown et que j’ai même proposé pour une découverte musicale. A vrai dire, si le morceau est à une place « si basse » (bien qu’une septième place soit tout à fait honorable), c’est d’une part parce que je préfère laisser une chance aux morceaux que je ne connaissais pas et classés dans le même tier leur chance et d’autre part parce que j’ai beaucoup trop écouté la composition. Instant pub : j’ai fait une chronique sur l’album Rakshak dont Gaddaar est l’un des titres, ce qui vous donnera un aperçu global que j’ai de la formation indienne : https://www.spirit-of-metal.com/fr/album/Rakshak/414515. En tout cas, je reste bluffé par la notoriété prise en une poignée d’années par le groupe. Alors qu’il a été fondé en 2016 par le vocaliste (celui qui hurle) et le joueur de flûte, qu’il s’agissait d’un simple délire entre potes avec des reprises de musiques traditionnelles indiennes en version metal avant de devenir des reprises de tubes internationaux, la lineup s’est agrandi avec quatre nouveaux membres et surtout une popularité qui dépassera leurs terres indiennes, en Europe et en Amérique, le tout en un peu moins de six ans. Le metal indien est actuellement inconnu, presque inexistant par ailleurs mais avec cette percée de Bloodywood, c’est une scène qui est vouée à grandir et à évoluer. Il faut dire aussi que c’est un pays qui ne vit pas des mêmes ressources que les pays européens ou l’Amérique et qu’en termes de maisons de disques ou de production, les producteurs et labels sont quasiment absents. Je suis le premier à être ravi de ce gain de popularité de la formation et j’espère qu’ils pourront faire apprécier le metal au plus grand nombre avec son identité si authentique.

Pour en revenir avec Gaddaar et plus globalement du style des Indiens, les musiciens se déclarent être comme un groupe de folk metal. Mais cette étiquette va plus loin et leur musique se veut un mélange de metalcore, neo metal et musique traditionnelle. Pour la petite anecdote, le sextet se fait surnomé Raj Against The Machine en référence au combo de fusion américain. La comparaison n’est pas vraiment le fruit du hasard puisque le mélange entre rap et chant hurlé est le même modèle que la formation californienne. Sur Gaddaar, Bloodywood explore un lyrisme politique, un hymne à l’égalité des droits et des traitements ainsi qu’une meilleure justice des gouvernements. Ce n’est pas forcément le titre que je préfère de l’opus mais l’énergie, le dynamisme, le groove de la mélodie est juste dingue, par cet équilibre entre rap et hurlements bien sûr mais aussi par ce breakdown (panne, ce que l’on discerne à partir de 3:41) presque venu de nulle part qui vient nous donner une énorme claque. Bien qu’il ne s’agisse pas du titre où elles sont les plus présentes, les sections traditionnelles indiennes apportent la culture mais aussi l’originalité du groupe, la fusion avec le metal fonctionne d’ailleurs parfaitement. Les passages djent (bruit provoqué par la guitare lorsqu’elle est accordée basse et avec une forte distorsion, exactement ce que l’on entend pendant le breakdown) sont aussi formidables. Le morceau se renouvelle constamment si bien que la longueur tout de même conséquente de la composition passe à une vitesse folle. Un bon morceau d’un groupe exceptionnel dont je vous conseille d’écouter le reste de leur discographie.


Synecdoque - 7/17

La musique qui m'a fait le plus rire (et headbang aussi). J'adore quand le métal explore les genres et les cultures pour donner des musiques aux sonorités créatives. C'est le cas ici et je ne peux qu'aimer.


Bob_E1520 - 13/17

Alors. Il y aurait beaucoup à dire sur ce titre. Déjà que le clip m'a influencé car le sous-titrage m'a permis de comprendre la composition parolière et la thématique du titre à laquelle je suis fortement réceptif, je ne peux pas y rester politiquement neutre
Ensuite que musicalement parlant, le titre mèle habilement divers genres vocaux et instrumentaux, c'est assez unique. Le 2ème couplet est particulièrement notable et constitue l'atout majeur du morceau en ce point, mettant en valeur chaque composant vocal et instrumental sous leurs meilleurs angles. Malheureusement, je reste assez peu séduit par ce que je qualifie comme étant le screaming principal et la surreprésentation de la guitare électrique qui noient un peu le reste, notamment en terme de quantité de temps. Les refrains finissent ainsi et aussi par me fatiguer. En résulte une impression mitigée au final mais un Endgame et une découverte que je ne regrette absolument pas.


Apomuse - 14/17

Au début, j'avais un peu de mal avec cette musique, et puis au fil du temps, elle a plutôt glow up chez moi. Je pense que ce qui m’attire notamment ici c’est les sons orientaux, et le mix entre différents styles. Je trouve que tous se mélangent bien, j’ai pas l’impression d’écouter plus du rock, que de la musique traditionnelle, du rap ou autre.
J’adore l’introduction de la musique avec cette petite partie instrumentale, et cette voix presque râpée qui vient la surplomber.  Puis le tout s'emballe très vite mais pour mettre en place le motif aux cordes pincées qui fera son intervention dans plusieurs parties de la musique, reliant le tout. C’est ce motif que j’adore, et qui laisse porter mon oreille dans la continuité du morceau.
Après je ne suis pas spécialement fan des parties screamées, elles sont pas désagréables mais je sais que ce n’est pas ce qui m’attire forcément dans une musique. Il est évident que la voix du monsieur dégage tout de même une détermination et une énergie sans monstre, qui est assez incroyable. Le rythme de la voix fonctionne aussi très bien avec la dynamique installée par l’instrumentation. Encore une fois j’ai comme une impression de rap, mais mélangé avec du rock, et c’est vraiment cool! Cependant, la voix criée est pour moi un peu trop présente, ce qui me fait placer ce morceau derrière d’autres, où je vais privilégier un timbre particulier par exemple. La musique tourne aussi un peu trop en longueur pour moi, et je décroche au bout d’un moment.


Enibeline - 15/17

Encore une musique que j’avais nominé donc pour repprendre ce que j’avais dit, «Du coup pour la nomination, parlons de « crier ». Je pense que ça va râler un peu. Je n’apprécie pas le morceau. Cependant il a de nombreux atouts et originalités qui ont fait que jusque-là, je l’ai laissé de côté et assez haut. Mais il est quasi certain qu’à la fin du rd, je ne re écouterai pas le morceau hélas.
Les styles hard de musiques existent, je n’en suis généralement pas friande, mais je suis ouverte à découvrir. Cependant, il est vrai que quand cela crie,(beugle), trop j’ai du mal. Et hélas ici, le morceau passe tout juste la limite pour ma part … Qu’il y en ait à certains passages, pourquoi pas, mais tout du long, il est vrai que je n’arrive pas à m’y faire. Cependant, j’apprécie l’originalité des sonorités indiennes (les petites notes de l’instrument à corde que je nommerai pas pour ne pas dire de bêtise) qui sont un petit régal. Le mélange de style musical entre metal, rap et un peu folk.  
Bref, ma nomination est dû à ma capaciité à écouter ou non ce genre de musique. C’est un style, et je comprends que certains apprécient ça. Donc voilà, ça passe ou ça casse, et pour moi c’est un peu trop. »


Renegade Jackal - 15/17

Ce classement peut paraître franchement étonnant pour ceux qui connaissent mon penchant pour le Metal et pour les sons brutaux. Et en effet, j’adore cette instru, sa brutalité, et son côté un peu folk.

Mais j’ai vraiment du mal avec le message ultra politisé derrière dénonçant le fait d’être pris comme une masse contrôlable par de nombreux gouvernement, et la volonté de repartir de zéro.

Alors bien que je suis complètement d’accord sur le principe, j’ai énormément de mal avec ce genre de son car il ne propose pas de solution concrète. Ok, on détruit tout, mais vous voulez reconstruire quoi derrière ? Tu veux reconstruire ça ? ça ? Ou ça ? Ou rien du tout.

Voilà ce que je reproche à ce son : il porte un message de «Je veux détruire ce gouvernement» sans forcément réfléchir derrière à ce qui pourrait être mis en place, ou proposer des solution, pour que ce genre de situation ne se reproduise plus. Un peu comme la grognasse bourrée au bistrot hurlant «Tous pourris» sans réfléchir à «Ou se trouve le problème», ni comment le résoudre.

(PS : oui, ce son m’a rendu aigri, vous ferez avec. Caribou. Oué, j’avais envie de dire ça sans contexte et je le fais, vous ferez encore avec)

Spectateurs - 1/17:

Miraw - 3/17

YOU’RE MY BEAUTIFUL ANGEL !

Arkangel est un titre un peu particulier dans ma playlist car il a été choisi par notre cher MJ en personne. J’hésitais concrètement entre quatre morceaux du groupe et comme je n’arrivais pas à faire un choix, j’ai donc demandé à mon stromignon de me dire celui qu’il préférait. Comme un autre groupe/artiste de ma sélection, Thornhill performe sur la scène metalcore (je vous inviterai à lire mon autre commentaire qui explique de quoi il s’agit) et comme l’autre groupe/artiste, la formation est Australienne. Les deux collectifs sont d’ailleurs sur la même maison de disques et ont fait évolué leur style musical. La première écoute du quatuor est assez récente puisqu’elle date du début de l’année et a été faite grâce à une réaction d’un Youtuber. C’est Casanova qui m’a initié à Thornhill et j’admets ne pas avoir été transcendé par le morceau en premier lieu, très déstructuré et des effets vocaux qui m’avaient beaucoup gêné. Mais à force de persévérance et d’écoute, j’ai fini par l’apprécier et la version de Like A Version m’a beaucoup aidé pour la cerner. Par la suite, j’ai entendu le cover de Supremassive Black Hole que j’avais partagé lors d’une découverte musicale pour celles et ceux qui s’en souviennent et Arkangel est venu peu de temps après. J’ai finalement écouté tout leur dernier album Heroine (que j’ai même chroniqué : https://www.spirit-of-metal.com/fr/album/Heroine/417332) et je dois avouer que c’est l’un de mes opus coup de cœur de cette année. Et par rapport à leur premier album The Dark Pool paru trois ans auparavant, c’est une métamorphose quasi-totale qu’à vécu la formation.

En effet, Heroine et le titre Arkangel n’ont plus grand-chose de metalcore. La mélodie est bien plus accessible, même si Arkangel est peut-être une des seules exceptions avec une tonalité assez dure, très énergétique et percutante. Néanmoins, si l’instrumental est plutôt froide et inhospitalière, on ressent un air plus mélodique et mélancolique principalement lors des refrains du morceau. De même, cet aspect harmonieux se signale par la prestation vocale du vocaliste Jacob Charlton. Habitué au screaming (chant hurlé) lors de sa précédente toile, il n’en est strictement rien ici puisqu’il n’affiche que du chant clair. D’ailleurs, sa façon de chanter ainsi que son timbre de voix est une sorte de fusion entre Matthew Bellamy (Muse) et Chino Moreno (Deftones). Le titre reprend beaucoup des deux groupes avec une influence rock et ambient des années 2000 particulièrement présent. La composition est considéré comme du neo-shoegaze, du neo metal mêlé à du shoegaze à savoir des effets de guitare, des mélodies vocales quasi indiscernables. Mais la chanson ainsi que l’ensemble du disque érigent une thématique bien plus vaste, celui de la scène glamour d’Hollywood. Dans le chant, on constate rapidement ce charme par des passages assez sensuels, des montées dans les aigues assez torrides, un véritable eargasm comme dirait les ricains. C’est cet aspect qui peut clairement rebuter car les variations vocales, les effets vocaux, les passages dans les aigues qui peuvent être assez grinçantes sont autant de diversités que de freins, surtout si on n’y est pas du tout habitué.

La structure du morceau est assez intéressante car il n’y a à proprement parlé pas de « refrain » même si j’en ai parlé pourtant un peu plus tôt dans ma justification. En réalité, hormis les « You’re my angel », aucun propos n’est répété, ce qui n’empêche pas d’avoir une structure « d’un point A vers un point B » cohérent et splendidement bien écrit. Mais ce qui m’a le plus subjugué, c’est l’importance de la batterie dans la mélodie (how surprising !). Quelle technicité de la part du batteur, ces accélérations, cette énergie, cette personnalité plus incisive, c’est absolument tout ce que j’aime en termes de percussion. Plus loin que le rock, c’est une sonorité très industrielle qui s’émancipe de cette batterie. D’ailleurs, cela ne m’étonnerait pas que je tente un de ces quatre ce morceau. Le riffing est tout aussi communicatif que les percussions, peut-être moins efficaces due à une portée, une insertion moins forte (choix du mixage) mais diablement racoleur. J’en ai un petit peu parlé lors mon écrit mais claire, sans le mixage moderne, on pourrait avoir la sensation d’entendre un morceau sorti tout droit des années 2000, ce que j’estime être une belle qualité puisque une certaine atmosphère nostalgique s’en dégage. La fin du morceau est une sacrée surprise, un basculement dans une ambiance bien plus atmosphérique, rêveuse, sans pour autant perdre la tristesse, le déchirement initiés. Arkangel est une chanson à double tranchant : soit elle plait, soit elle rebute mais quoi qu’il en soit, je suis fier de la présenter dans ce rankdown.


Stromsolar - 4/17

Tiers 2/9
Miraw à de la chance car ce son aurait pu être bien plus bas. Mais j'ai grow dessus et après plusieurs réecoutes il à réussit à atteindre un niveau d'attractivité suffisant pour que je veuille souvent le réecouter ce qui était pas le cas au début.
C'était pas le cas car il manquait un refrain qu'on pouvait retrouver à 2/3 moments du morceaux et qui me resterait en tête. Mais au final j'ai finis par me contenter du passage à 1min55/2min pour ça
Bref, après j'adore l'intensité mise dans l'instru qui permet vraiment une libération brute d'émotions et je suis aussi très fan du mixage. Vraiment pendant la chanson on a l'impression le chanteur est submergé par les émotions car sa voix peine à dépasser l'intensité de l'instru et je trouve ça très bien fait.
Aussi c'est peut être un des morceaux les mieux construits dans cette PL. L'évolution est fantastique et originale.
Globalement une perle ce son.


Renegade Jackal - 5/17

Un son qui est assez prenant, assez percutant par sa brutalité et son intensité dès le départ, mais qui ne récolte ici qu’une X-ième place car il est malheureusement assez plat. La faute a une ambiance ne tournant pas assez vers la colère à mon goût compte-tenu du parolier évoquant une certaine violence et une certaine jalousie dans le texte.

Ça ne veut pas dire que le son n’est pas inintéressant, loin de là. Car malgré sa platitude durant les 2 premières minutes, cette chanson est entrecoupé de passage plus calmes qui donne quand même un peu de relief.


Di’mort - 6/17

Ce morceau est dans un style musical que j’apprécie totalement. Et malgré cela je ne pensais pas classer ce morceau si haut. Car même si il me plaît avec une intro incroyable et des vibes proches de Haken qui est un de mes groupes préférés, il souffrait à mes oreilles de la comparaison avec pas mal de morceaux du style que j’apprécie beaucoup…
Mais je dois le reconnaître : ce morceau a une construction qui me plaît beaucoup et une vibe générale qui me fait bien bouger la tête. Je ne me fais pas d’illusions : je ne vois pas du tout ce morceau gagner ce rankdown. Mais il me plaît beaucoup. Je ne m’ennuie jamais il a une vraie puissance qui me plaît malgré toute la « tristesse » qui se dégage du morceau. Et vraiment le passage de l’intro qui revient à plusieurs moments du morceau : quel plaisir.
Je disais d’un autre morceau de l’endgame que je trouvais qu’il enchaînait certains passages de manière décousue… je trouve que ça n’est pas du tout le cas de ce morceau. Les passages s’enchaînent bien, de manière parfois inattendue certes, mais ça ne me déplaît pas. Et le passage qui commence vers 3min23 me plaît beaucoup. Il a une vibe Smashing Pumpkins que j’adore… En fait je pourrais parler individuellement de chaque passage du morceau qui me plaît mais j’y passerai des heures.
Donc pour résumer pourquoi j’aime : plein de passages géniaux qui s’enchaînent bien, qui sont tous bien individuellement et qui vont tous bien ensembles. Merci au ranker ou à la rankeuse !!


Synecdoque - 6/17

J'aurai voulu joker Dead Can Dance mais je suis pas mécontent de mon choix. La bonne grosse guitare électrique bien vilaine et la voix du chanteur qui se mélange. Il m'en faut pas +, j'ai pris plaisir à headbang dessus. Bon j'ai un peu mal à la nuque maintenant.


Bob_E1520 - 11/17

Ici aussi, une fin de titre qui me raccroche efficacement à la locomotive de tête, je dois concéder que le titre m'égare un peu à partir d'1mn25 jusqu'à 2mn35... Mais loin de me déplaire, c'est un peu étrange à décrire. Je dois sans doute adhérer au timbre vocal et à l'instrumentation fournie, qualitative et assez unique, qui ne va pas dans mes registres fatals... Oui, c'est vraiment difficile à décrire mais pour résumer : j'aime bien. Conclusion extasiante, vraiment !


Enibeline - 12/17

Hélas, j’avoue qu’au stade où on en était, je l’aurai nominé/éliminé si Gerik et Apo ne l’avaient pas fait avant moi. Comme un peu Gaddaar en soit, je peux comprendre que des gens peuvent apprécier ce genre de musique. Il y a de quoi faire et dire dessus. Mais ce qui bloque est plus un ressenti personnel. C’est un tout. Le chanteur j’aime beaucoup. Le début de la musique, j’apprécie beaucoup. Puis vers 0,40 le morceau se déchaine. Alors oui l’instru n’arrête pas, le batteur fait des dingueries et l’ensemble aussi en soit, mais il y a trop de choses en même temps. On s’y perd, on ne sait plus où écouter. Trop de choses qui sont saturés et du coup j’ai du mal à les apprécier pleinement ce qui est vraiment dommage car je sais que sans ce côté grésillement, je suis sure que j’apprécierai énormément.


Gerik - 16/17

Un titre dans mon dernier tier depuis longtemps auquel j'ai touché, pour la justif détaillée. Il a l'avantage au moins sur le dernier d'avoir une bonne intro, c'est qui fait que malgré sa présence dans mon dernier tier, je l'apprécie déjà plus qu'avant. Mais la grosse majorité de la chanson, tout le milieu globalement, est très oubliable et vu la qualité du reste, je le classe un cran au moins en-dessous de la suite.


Apomuse - 17/17

Ce n’est pas une très grande surprise que cette musique se classe 17ème chez moi. Dans tous les morceaux qu’ils restent, c’est celle qui me plaît le moins. Il faut dire que la playlist est aussi extrêmement qualitative. Je ne serais même pas déçue de voir gagné le son que j’ai classé 12è, c’est pour dire! A défaut de me répéter, je vous laisse avec la justification que j’avais déjà faites lors de ma nomination de ce morceau

Je n'arrive pas à comprendre cette musique qui pour moi a beaucoup trop d'informations. J'ai l'impression d'un enchaînement de multiples éléments, parfois sans coïncidence entre eux, ce qui est très perturbant. Je n'arrive pas à trouver une certaine continuité dans la pièce, ce qui fait que je peux décrocher à tout moment. J'entends une mélodie, puis une autre, puis l'accompagnement qui garde son rythme, puis un changement de la ligne... Parfois je ne comprends pas la liaison entre certains éléments musicaux, ce qui rend difficile mon attention.

Au-delà de ça, j'ai du mal avec deux autres choses dans la musique. Concernant la voix, j'ai vraiment du mal avec le fait qu'elle ne soit pas clairement audible. Je ne parle pas forcément de l'effet qui y est ajouté, même si c'est pas celui qui me satisfait le plus, mais je trouve que la voix se retrouve cachée derrière l'accompagnement. C'est très perturbant parce que j'ai l'impression de devoir concentrer toute ma force sur celle-ci, en délaissant l'accompagnement. Mais c'est épuisant car l'accompagnement prend aussi beaucoup de place, et au final j'ai l'impression d'un amas de sons.

J'ai également du mal avec la distorsion du son. Dans certaines pièces ça ne me pose vraiment aucun souci, mais ici je trouve que c'est trop. J'entends cette accumulation de nombreuses sonorités, d'éléments sonores, de parties musicales qui se mêlent mais avec en plus la distorsion ça devient un trop plein pour moi. C'est trop d'informations qui me parviennent et je ne sais plus où donner de la tête. C'est presque épuisant de devoir prendre beaucoup de force pour se concentrer sur un élément, sans compter la distorsion qui vient alourdir le problème.

Renegade Jackal - 1/17

YES. YES. YES. YES. YES.

Bon, je ne vais pas y aller par quatre chemins, j’adore le côté délirant, chaotique, et grossier de ce son. D’autant plus qu’il est porteur d’une histoire et que le changement d’air durant le refrain, et la dernière partie du son, sont cohérentes avec celle-ci. C’est cette complétude entre intensité, ambiance, et cohérence que je recherche.


Di’mort - 2/17

Tout simplement mon morceau le plus écouté de 2022. Si j’avais pu le mettre 1st, je l’aurais fait car vraiment je l’adore. Juste le premier morceau que j’ai proposé du rankdown et je suis très heureux qu’il ait fait l’endgame, autant que j’avais été déçu de le voir nominé très tôt. Et super heureux de l’avoir vu se faire joker donc merci beaucoup Lone pour ça !!
Mon commentaire de base : « Banger absolu. Comme beaucoup des musiques que j’ai proposé dans ce rankdown (presque toutes en fait), j’ai pu découvrir cette musique grâce aux Découvertes de la semaine de Spotify. J’avoue avoir été surpris avec cette musique… Mais ce fut une très belle surprise !
C’était vraiment LA musique que je voulais mettre dans ce rankdown, et je me doute qu’elle ne plaira pas à tous, mais pour moi c’est une dinguerie absolue : la ligne de basse est fantastique, les petits « yes » derrière ajoute un côté que j’adore, la batterie fait le taf, la voix de la chanteuse à la Die Antwood va super bien avec le ton de la musique… Et le drop je n’en parle même pas, il est super efficace et envoie du lourd. J’aime beaucoup le passage avec le synthé aigu aussi à la fin, ça donne une progression intéressante à la musique qui n’est pas juste une bête répétition en boucle mais bien une musique qui évolue.
Le clip est quant à lui totalement légendaire, il a autant de sens que la musique est relève du génie.
J’aime beaucoup cette musique mais je la vois mal être appréciée de tous les rankers, donc je pronostique qu’elle terminera entre 50 et 60 en espérant quand même qu’elle aille plus loin… Mais elle peut totalement sortir avant aussi donc bon… C’est assez difficile à deviner.
Dans tous les cas cette musique me fait un peu penser à Devil Says Hi que Oniromancie avait proposé au rankdown précédent et que je vous conseille d’écouter si vous avez aimé cette musique que je trouve totalement unique en son genre ! »
Ce morceau transpire la folie avec sa voix à la Die Antwood, ses paroles déjantées, son instrumentale qui part dans tous les sens à la Bloody Beetroots… Ce morceau c’est celui qui personne n’attendait mais qu’on ne savait pas qu’il pouvait manquer dans notre vie avant de le découvrir. C’est l’alchimie de tout un tas de choses qui vont très bien ensemble sans qu’on comprenne trop pourquoi. Le morceau prend une toute autre tournure vers 2min30 et j’adore également ce passage. En à peine 3min30 on nous propose un morceau absolument complet, rempli de tout et n’importe quoi ; mais des n’importe quoi super bien amenés. Rien à dire, c’est impeccable.


Miraw - 2/17

Un morceau qui avait commencé en tier 2 et qui est petit à petit devenu un de mes titres préférés de ce rankdown. C’est simple, Butts Tits Money est une des chansons que j’écoute le plus en ce moment et il n’existe presque pas un jour où je ne l’écoute pas. A première vue, la chanson peut sembler ringarde, voire même beauf mais elle est tellement aguicheuse que l’on finit par y revenir. La ligne de synthétiseur est extrêmement simple, basique, même répétitive mais si funky qu’on y accroche de suite. La batterie suit cette même logique, peut-être un peu plus technique mais il s’agit du début à la fin du même rythme. L’association des deux instruments donne forcément un résultat assez classique mais si bien ficelée que l’on ne prête pas attention à cette conventionnalité. Au départ, je n’étais pas spécialement fan du chant mais avec le temps, j’ai fini par l’apprécier. Ce qui me gênait aux premiers abords, c’est cette palette assez aigüe de la chanteuse qui n’est pas vraiment ma tasse de thé. Mais finalement, dans cet univers assez électronique, elle passe plutôt bien même si je ne suis pas non plus en trance dessus. En réalité, je regrette surtout une voix trop timide, pas assez de force ou de poussée et finalement un chant assez lambda. Pour la partie masculine, elle se résume à des « YES » ici et là mais elle a réussi à me faire esquisser plusieurs sourires. Ces « YES » sont plutôt par sections et non sur l’intégralité de la mélodie mais je pense que c’est un meilleur choix car sur 3:30 environ, ça aurait pu finir par nous prendre la tête.

Après, le tout est bien rattrapé par le travail instrumental que j’adore et qui explique pourquoi le titre a gagné autant de place au fur et à mesure du concours. C’est dansant, ça rentre rapidement dans la tête, ce petit côté sensuel relève du génie sans non plus entrer dans le vulgaire pur et dur, c’est barré sans trop l’être (si on omet le clip mdr) et ça fonctionne parfaitement. Le titre offre une belle dynamique avec une seconde partie radicalement différente de la première avec un esprit légèrement symphonique pour ne pas dire épique. Elle arrive d’ailleurs à point nommé car elle permet d’amener plus de fantaisie et d’éviter le schéma couplet-refrain qui aurait pu nous faire décrocher du morceau en l’espace d’une ou deux minutes. On a d’ailleurs un certain jeu de clair-obscur entre les refrains et les couplets. Les couplets sont plutôt aériens, mélodiques avec une ligne synthétiseur/percussions lumineuse tandis que les refrains sont bien plus sombres, quelque peu dissonants avec ces effets électroniques. Côté longueur, on est plutôt bien puisque ce n’est ni trop court, ni trop long et l’artiste a su s’arrêter quand il le fallait. Sur la production, j’ai été plutôt surpris par cette ascendance de la batterie même si ce n’est aucunement pour me déplaire. Néanmoins, je ne sais pas vraiment si c’est l’attrait électronique de la chanson qui veut ce caractère un peu particulier mais les percussions ont tendance à être assez grésillantes. Même en dehors de toutes les caractéristiques que j’ai pu citer, KNOWER se démarque de la masse avec un thème lyrique assez osé et une image assez amusante.


Bob_E1520 - 4/17

Incroyable glow up au classement dans les tiers, en grande partie dû au fait que je suis souvent revenu de moi-même vers la musique. Pourtant le titre a un gros défaut, le 2ème refrain est assez redondant et un peu long à entendre... Mais c'est complètement occulté par les qualités vocales, électroniques, de la batterie et des cordes de tout le reste de la chanson, et de la 3ème partie, qui est juste envoutante et que je repasse souvent deux fois de suite en regrettant même que la portion de 3mn07 à 3mn14 ne resserve pas à conclure le morceau !
No comment pour le clip (sacrément barré le duo ) , best joker ever !

Spectateurs - 4/17:

Gerik - 9/17

C'est fun, ça bouge bien, même le titre de la musique est énorme. Il y a un décalage au niveau des deux voix, l'instru vient te claquer des grosses accélérations, ça t'envoie dans tous les sens et j'adore. C'est un titre qui bouge comme il faut et j'aime bien l'univers qui se dégage des artistes. Pas un coup de coeur, mais une découverte très agréable.


Stromsolar - 11/17

Tiers 3/9
Merci pour ce morceau mdrrr
C'est un gros rush d'adrénaline qui me fait passer un gros moment délire.
Donc juste je profite et je me pose pas de questions. Je vais pas approfondir car je pense pas que c'est le genre de morceau qui a besoin de beaucoup d'explications.
Juste un morceau délire et déjanté dont je profite bien.


Apomuse - 13/17

On arrive clairement dans les morceaux que j’adore. Et je déconne pas, j’ai eu beaucoup de mal à classer à partir de cette place jusqu’au top 1 (bon j’avoue mon top 1 je l’avais déjà mais voilà). Les différences de classement se jouent vraiment à pas grand chose.
J’adore le rythme de la musique, j’adore l’instrumentation un peu électro, j’adore l’ironie et le lâcher-prise qui est présent dans cette musique. C’est juste un moment de plaisir et de fun, et ça fait du bien. Je suis emballée dès le début de la musique par les “yes” et le petit rythme qui se met en place. J’ai juste envie de danser et de secouer la tête.
Je la place en 12ème parce que j’adore aussi les autres musiques, et que dans cette musique il y a la petite partie un peu plus douce à laquelle j’adhère un peu moins. Même si en soit, elle fonctionne bien avec la musique, et qu’elle apporte un plus, un break dans la dynamique. C’est vraiment un détail parce qu’il a fallu que je fasse des choix.


Synecdoque - 15/17

Le clip est drôle. La musique m'agace un peu en définitive. Je ne la voyait pas endgame, c'est on va dire le seul point sur laquelle cette musique aura pu me surprendre.


Enibeline - 17/17

Là encore, je l’avais nominé, du coup je vais reprendre ma justification : « Si le morceau semble au départ parti pour être assez fou et dynamique, je m’ennuie durant la musique. Ce que je préfère est la partie à partir de 2min 35, elle m’amuse bien.
Cependant, j’ai dû mal à oublier la première partie, et l’attente d’arriver à cette dernière musique est longue.
Tout d’abord l’instru : La base électro de fond n’est pas si désagréable, mais sur la longue me dérange. Je trouve ça lourd, et un peu tabassant. (Le tabassant est volontaire je me doute, mais pas mon kiff).
Ensuite il y a la voix de la chanteuse, qui hélas, est trop portée dans l’aigue et franchement je n’aime pas trop.
On ajoute enfin à ça le texte. Plus particulièrement la répétition du « yes » par le gars en mode gros lourdeau et surtout la répétition du « Butts and tits and money » qui m’insupporte. »

Bob_E1520 - 1/17

Morceau à l'origine d'une autre excellente découverte de son album, la Part VI, une oeuvre juste musicalement sublime dans un genre où l'innovation est d'une difficulté croissante, Thomas Roussel crée ici d'une main de maitre un morceau que je qualifie de masterpiece. À ma connaissance, je crois qu'il n'est pas issu d'un film / série à l'origine, même si son usage y serait parfaitement judicieux... Mais je peux me tromper. Nulle erreur en tête de mon classement dans tous les cas !


Apomuse - 2/17

Je suis matrixée par cette composition, où plutôt par les compositions qui composent l'œuvre Prequell. Je n’ai pas encore pris le temps de tout écouter, mais c’est quelque chose que je dois faire. Je découvre certaines parties petit à petit, et c’est toujours une belle découverte. Pour ce rankdown j’ai hésité entre la partie I et la Partie V, je pense que ce sont mes deux préférées pour l’instant. Dernièrement j’écoute également pas mal la Partie IV. Si vous appréciez cette œuvre, je vous conseille vivement de vous intéresser au reste. Ce sont des petits bijoux de composition, et d’ailleurs j’étais tombée sur une très courte vidéo d’explication du compositeur Thomas Roussel et c’est très dommage que la vidéo ne dure pas plus longtemps. Je pourrais l’écouter encore et encore. Je vous joins la justification que j’avais écrite au début du rankdown!
Mon amour pour les musiques minimalistes… Je pense qu’elle va vite se faire bouger parce que “ça tourne en rond”, et pourtant il ressort de cette musique une beauté et une force qui la rendent incroyable.
Je trouve qu’il y a dans cette musique une vibe très Max Richter, qui est un compositeur que j’adore. On a très peu de motifs, qui tournent en rond, mais pourtant l’harmonie construite entre les voix et les instruments crée une certaine tension. C’est cette tension qui vient me faire garder mon attention et me tenir en haleine pendant toute la pièce. On attend la suite, on ne sait pas, est ce que ça va encore tourner? Est-ce que ça va se modifier petit à petit? Est-ce que ça va complètement changer? Oui ça tourne en rond, mais aussi prévisible que cela puisse paraître, c’est finalement d’une grande imprévisibilité et d’une grande instabilité.
J’adore les sonorités de cette musique, la harpe au début, la mélodie tournoyante qui commence, et ces sons graves tenus par la contrebasse qui passent presque au plan de mélodie. C’est magnifique. Puis on a l’émergence de cette mélodie aux violons que je trouve extraordinaire. Elle est simple, très mélodique, mais je ne sais comment expliquer, elle m’attire. Elle est envoutante. Il faut également retenir la manière dont les motifs s’entremêlent, et les timbres des instruments viennent complètement changer l’image de la mélodie : elle est là l’imprévisibilité! Je pense notamment à la mélodie qui était à l’aigu dans les violons, et qui passe aux contrebasses alors que les violons se chargent du motif tournoyant. Tout ça, c’est sans compter la fin qui arrive et qui parfaire la partie avec un passage puissance, plein de tension, de force. J’adore la fin, je la trouve incroyable. Je ne sais pas comment l'expliquer mais elle garde toute mon attention, je suis comme envoûtée par les motifs qui se sont accumulés, le crescendo du son, les différences de sonorités… On retrouve les éléments du début, mais avec une force supplémentaire, ce qu’on entend très bien dans la partie de contrebasse.
Enfin, je pense que dans une musique on accorde pas assez d’importance aux silences, et pourtant c’est ce qui peut la sublimer. La force des silences ici est extrêmement importante, et augmente la tension qui est émise dans la musique. On pense avoir fini une section, ça se finit très justement par un silence qui nous dit “qu’est ce qui arrive?”, et BIM ça reprend toujours de plus belle, toujours avec quelque chose de nouveau. Quand on l’a compris une fois, on se dit : “et c’est quoi la suite?”


Gerik - 4/17

Probablement le futur gagnant du RD et ça ne me dérangerait pas du tout. C'est une composition assez simple, et pourtant, j'ai l'impression durant les premières notes que je pourrais m'envoler loin, très loin, tel un oiseau. Puis, pendant mon voyage, la mélancolie me prend, je me rappelle d'où je viens, je vis des épreuves, c'est parfois dur. Je prend le temps de réfléchir, à moi-même, je grandis, je m'élève. Tout d'un coup, tout est derrière moi, j'avance. Et dans la dernière minute, je m'élance, je me transcende et j'ai enfin le sourire. Ce paragraphe n'a aucun sens ? Sans doute, mais c'est un peu ça, l'histoire que provoque ce son chez moi. C'est vraiment fort et je remercie vivement le ranker, j'ai adoré.


Di’mort - 5/17

Je pense qu’on a là un bon prétendant à la victoire finale. Même si je préfèrerai qu’un morceau de mon top4 (qui est largement au-dessus du reste de l’endgame vu mes notes) l’emporte, ce morceau est celui que j’apprécie le plus en dehors de ces 4.
Pourquoi ce morceau est top ? Car il est beau. C’est un superbe morceau orchestral et j’avoue que c’est un style auquel je suis sensible. Je ne sais pas si je dirais que celui-ci sort du lot par rapport à d’autres morceaux du style, mais en tout cas il me plaît et m’emporte… Le passage qui commence vers 2min30 c’est exactement ce que j’attends du morceau au moment où je l’attends. Après les deux tiers du morceaux très calme, on a une fin en puissance… Et tout ce que j’attends c’est que le morceau continue et ne s’arrête pas là en si bon chemin mais bon… Tout est dans le titre : part 1.
Quoiqu’il en soit, c’est un morceau que j’apprécie dans sa globalité et qui fut une bonne découverte et ça me convient très bien de pouvoir bien le classer dans cet endgame !


Enibeline - 5/17

Cette musique m’a un peu troublé lorsque je l’ai entendu pour la première fois au rd. Pendant plusieurs semaines mon but a été de retrouver où est-ce que je l’avais déjà entendu car j’étais certaine de la connaître. En effet le début ne me disait rien, mais à partir de 2min30, c’était évident, je la connaissais. Puis un jour j’ai retrouvé, une scène de skam France, saison 2. Pas la meilleure saison à mon gout, mais la musique était bien là.
J’aime beaucoup ce morceau, très doux, très calme avec une partie poignante qui te prend et te tient dans une bulle de nostalgie tout du long, et ce fameux passage du 2min30 jusqu’à la fin qui vient définitivement te frapper en pleine tête, te réveiller et prendre conscience de ce qu’il se passe.
Bref merci au ranker pour la redécouverte

Spectateurs - 7/17:

Stromsolar - 8/17

Tiers 3/9
Un morceau sur lequel j'ai bien grow (il a du gagner facile 5-6 places par rapport au classement auquel il aurait pu être).
C'est vraiment le type de morceau qu'on aime plus on l'écoute. Y a une grosse sensibilité et une grosse dose d'émotions qu'on ne peut ressentir que quand on laisse le morceau nous emporter. J'écoute pas suffisamment de musique classique mais quand j'entends des morceaux comme celui-ci ça me donne envie de m'y intéresser davantage.
Le son n'est pas plus haut car je suis pas encore suffisamment accroc à celui-ci mais ça viendra. Merci en tout cas pour la proposition qui fait beaucoup de bien à cette PL


Synecdoque - 10/17

Bordel lui aussi je le kiff. C'est pas ma préféré de son album mais il arrive à rendre sa musique tellement poétique que sa m'emballe à chaque fois. Mais je préfère vraiment Part IX par exemple, ici Part I reste beaucoup trop simple.


Renegade Jackal - 12/17

Alors, j’ai adoré la fin, mais j’ai détesté le début: sweat_smile:

. La raison tient au fait que les premières 2:30 de ce son consiste en un loop d’un même segment ce qui rajoute artificiellement un peu de longueur au morceau proposé ici. Morceau est plus une introduction qu’autre chose.

La montée en intensité dans la dernière minute était plus que bienvenue pour réhausser le son et lui donner un peu de caractère. Néanmoins, vu le recyclage durant la première partie du son, je ne peux pas le mettre plus haut que le milieu de tableau.


Miraw - 16/17

C’était ma dernière nomination donc forcément, cette avant-dernière place n’est pas du tout une surprise, même si je sais que c’est une composition qui ira assez loin dans cet endgame. Je vais quand même être honnête en disant que je serai sacrément déçu si la chanson est vainqueure de cet endgame car autant je conçois qu’elle sorte du lot, autant je ne vois pas spécialement ce qu’elle a de si spécial. Mais bon, les goûts et les couleurs ne se discutent pas donc on verra bien. J’étais parti avec Part I sur une impression très positive, une vision limite cinématographique assez inédite dans ce rankdown, un esprit musique classique avec sa touche de modernité prometteur et intrigant ainsi qu’un sentiment d’espoir, d’un futur beau bien mis en avant sans pour autant rendre la composition pesante. Le titre aurait largement sa place dans un film, dans une scène où par exemple deux individus se retrouveraient après plusieurs années, des retrouvailles heureuses, remplies de larmes de joie. D’ailleurs, de ce que je lisais des commentaires YouTube, la musique vient d’une série télévisée initialement et je comprends donc mieux ce sentiment filmique. C’est un énorme risque pris par le ranker de proposer une musique un peu en dehors du paysage musical « classique », un peu dans la même idée que Medievil 2. Malheureusement, le titre le paye un peu cash à ce stade du rankdown car autant, je n’ai vraiment rien à redire sur la production en elle-même, autant pour une musique qui se rapporte au cinéma ou au jeu vidéo, parfois même en musique classique, j’ai besoin d’un contexte ou d’une situation pour que le voyage opère. Et comme je ne l’ai pas au sein de Part I, je me retrouve quelque peu embêté avec une perception de l’œuvre qui est peut-être totalement faussée par mon propre ressenti.

Un point que je sentais venir gros comme une maison et qui n’a malheureusement pas loupé, c’est sur la progression de la musique. Généralement, sur des titres aux durées conventionnelles (entre trois et quatre minutes), la progression est soit trop abrupte, soit trop lente. Pour Part I, c’est la seconde option qui se manifeste avec une bonne minute trente où il ne passe pas grand-chose, où la progression est extrêmement discrète avec une première couche de violons/violoncelles mesurée, douce et éthérée accompagnée d’une seconde couche un peu plus voluptueuse, un peu plus dans la distinction et dans l’ascendance. Néanmoins, si les deux mélodies sont parfaitement distinctes, elles n’offrent pas énormément d’évolutions notamment celle qui est plus en arrière-plan qui est quasiment similaire sur quasiment toute la totalité de la composition et qui se schématise sur trois notes. Je suis tout autant déçu par cette harpe que l’on entendait splendidement bien pendant l’introduction et qui finit par être noyé par les violons/violoncelles. De mon point de vue, cette première section d’une bonne minute trente aurait pu être coupé de moitié car elle sonne plus comme du remplissage par son absence d’amplitude. La seconde section est en revanche bien plus enchanteresse, la mélodie se met quelque peu à bondir et à proposer de la diversité. Même si on gagne en puissance, en hâtiveté aussi la notion d’optimisme ne se défait pas et même une certaine pointe de nostalgie se met en place. Là encore, on peut noter une redondance sur la mélodie mais elle est bien moins choquante sur ce passage car d’une part elle est un peu plus courte et d’autre part, le dynamisme gomme quelque peu ce sentiment. Cependant, je ne cache pas que je reste un peu sur ma faim et que la composition avait un souffle frais pour construire une atmosphère encore plus enjouée, encore plus spectaculaire. Ici, on se contente du minimum et la magie n’a pas le temps d’opérer. En comparaison, j’ai largement plus apprécié le Part V dont la patte classique est peut-être moins omniprésente mais qui intègre de nombreuses subtilités et une diversité bien plus importante.

Enibeline - 1/17

Cette musique est mon coup de cœur de ce rd. OK peut-être être un peu trop pop par rapport à mes habitude, mais ça fait jamais de mal. J'ai aimé cette musique le jour 1 et je l'aime toujours autant. Je l'écoute régulièrement. Elle a cette évolution dans son rythme qui me plaît l'accélération jusqu'au et pendant le premier refrain qui fait déjà le travail suffisant à me plaire. Elle me met un réel punch dans la journée quand tu l'écoute, elle te remotive ou te pousse encore et encore. Elle te donne la banane sans vraiment comprendre pourquoi ni comment. J'adore la partie solo piano qui suit ce refrain. Mais bordel ce refrain qui te reste en tête, que tu veux chanter à tue-tête justement, c'est une sensation plaisante que je ne saurai expliquer.

Concernant le fond, si on pense facilement qu’elle parle d’amour, d’une personne ou d’une relation, il parait qu’elle parle de son affection pour sa vocation qu’est la musique. Et quand on prend conscience de ça, je peux comprendre cette frénésie en écoutant cette musique. Quand je pense à mes passions, au sport, mon envie de vouloir progresser encore et encore, donner le meilleur de moi-même, c’est un refrain et une musique de cette puissance qui me viennent en tête, que je veux derrière moi, prête à hurler si nécessaire.


Synecdoque - 1/17

Claque dès la première écoute. La musique est tellement puissante qu'on ressent tout fois 1000. La voix de la chanteuse est juste divine. Bref je la spam en boucle.

Spectateurs - 1/17:

Apomuse - 4/17

Mon amour pour cette musique est si grand… Je ne m’en lasse pas. Je vous laisse apprécier ma justification.
Pour moi cette musique c’est l’amour passionnel. Qui n’a pas envie de chanter à tue-tête avec Mitski “I NEED YOU TO LOVE ME MORE, LOVE ME MORE, LOVE ME MORE”. La musique est juste trop séduisante, et trop cool!!
A peine l’introduction commencée, j’ai déjà les notes du refrain qui résonnent en moi. J’adore l’atmosphère de cette musique. Mais surtout, le timbre de voix de la chanteuse que je trouve incroyable.
L’introduction peut paraître assez simpliste, mais dès que la voix entre on est transporté dans un autre univers. J’adore la voix de Mitski. Je trouve qu’elle a une réelle identité vocale. Sa voix est séduisante, attirante. Elle ajoute un côté mystique à la musique. J’aime beaucoup la manière dont elle pose les mots, la manière dont elle chante comme si c’était faible, comme si elle voulait presque chuchoter. Ça introduit une atmosphère calme, relaxante, mais très attractive. J’apprécie beaucoup que la mélodie des couplets soit reprise après. Je ne la trouve pas redondante, et j’y suis toujours attachée. J’aime également les petites pauses instrumentales qui viennent relâcher l’atmosphère de la musique, je trouve ça super agréable!
Puis, le refrain arrive, c’est mon moment préféré! Tout s’emballe, comme si c’était le cœur qui parlait. Et pourtant, la voix reste très fluide, elle ne pousse pas dessus. Mais l’instrumentation devient très tournoyante, comme entêtante et ça fait résonner la phrase “I need you to love me more”. Ça rend accro.
Je n’ai pas grand chose à ajouter sur cette musique, je ne sais pas vraiment expliquer pourquoi je l’aime autant. Il y a des musiques dont on ne peut expliquer pourquoi on veut les chanter, et les écouter encore et encore. Je suis juste complètement fan du refrain, complètement fan de la voix de Mitski, complètement fan de l'atmosphère…


Stromsolar - 5/17

Tiers 2/9
QUEEN INCROYABLE
J'adore ce son que je connaissais déjà avant le RD. Je l'avais mis déjà dans un jeu musical jsp où je crois. Enfin bref j'en suis très fan. Juste le morceau réussit à la fois à être catchy au point que je l'ai beaucoup chanté ou fredonné mais réussit aussi transmettre au travers des paroles, de la voix et de l'instru une sacré dose d'émotions (suis un gros fan de ce genre d'atmosphère et de ce genre d'instru. N'importe quel instrument au clavier, j'adore). Le mix émotion/attractivité est fatal pour moi.
Et je jure que je le mets vraiment aussi bas que car je le connais déjà car si ça avait été une découverte sur ce RD, ça aurait été la première place sans aucune question.
C'est l'une de mes découverte de 2022 en tout cas  !


Gerik - 7/17

Je suis absolument fan de la musique et c'est le plus gros glow-up de mon endgame. Au début, j'avais du mal à le départager avec quelques autres, mais j'me suis rendu compte que j'adorais toute la musique, que ce soit pour la voix, l'instru, le côté entrainement et l'ambiance dégagée. Elle aurait presque pu finir dans mon tier joker, mais elle ne l'est pas car je pense que sur la durée je pourrais me lasser plus facilement que les autres devant.


Renegade Jackal - 8/17

Oh bordel, j’ai pensé à la dépendance affective direct en écoutant ce son. Ce son possède un côté un peu triste et mélancholique exprimé par l’instru, ce qui colle avec le besoin exprimée de la narratrice d’être plus aimé encore. Comme si cet amour était une drogue dont elle ne pouvait pas se lasser.

Le tout rend ce son très cohérent, et suffisamment touchant pour que je me mette à l’apprécier. Seulement, je me dois d’être honnête, ça me renvoie aussi à des problèmes que j’ai rencontré dans mon passé à ce sujet ce qui fait qu’il me fait un peu mal aussi

J’aurais été moins sensible à cette thématique, je suis que ce son aurait été mieux classé. Mais là, ça saigne


Bob_E1520 - 10/17

L'interprétation des couplets est impliquée et passionnée, l'instrumentale est sans faute et j'apprécie beaucoup le titre mais le second refrain (oui car la chanteuse ne fait pas l'erreur d'en ajouter un 3ème qui n'aurait rien apporté) me lâche un peu, au lieu de trainer en durée j'y aurais bien vu une conclusion instrumentale originale et plus longue. Très bon morceau au final !


Di’mort - 11/17

Morceau que j’ai revu légèrement à la hausse ; il gagne quatre places par rapport à ce que j’attendais au début en écrivant à l’endgame. Car même si c’est un morceau assez classique dans son style… Il y a pas mal de choses qui me plaisent. Comme par exemple les très courts passages avec une tonalité inattendue qui est très bien montrée par le voix comme à 0:29-0:31 et à 0:47-0:50 et un refrain très beau qui mêle parfaitement l’instrumentale à la voix et également aux paroles… Une musique qui veut transformer la mélancolie et la tristesse du manque d’amour en une danse de nightclub sur le dernier morceau qui ferme la boîte à 6h alors que l’alcool commence à redescendre et qu’il va falloir rentrer dans le froid pendant que le jour se lève… Oui je suis précis mais c’est un peu le feeling du morceau avec cette belle mélancolie que je trouve belle et presque joyeuse.
Ce morceau c’est pas une immense originalité, mais c’est un morceau de mood et je trouve que le mood est parfaitement exprimé. Donc chapeau bas !! Mais ça ne suffira pas pour monter dans le top10 désolé… Malgré le fait qu’il ait pu beaucoup monter dans mon classement !


Miraw - 14/17

Love Me More m’aura pas mal embêté sur son classement final mais je ne peux malheureusement pas la mettre bien haut. Initialement dans mon tier 4, après plusieurs réécoutes, je ne me sens pas plus emporté que cela par la musique et aura finalement perdu quelques places. Je pense que Mitski s’est principalement concentré sur l’aspect lyrique du titre et à ce niveau, c’est parfaitement réussi. Sur ce titre, la chanteuse revient sur le choix qu’elle a fait de devenir artiste. Elle s’intéresse à différentes thématiques dont les principales sont propres à l’isolement. Même si la musicienne a écrit ce titre avant la pandémie qui nous a touché, certaines lignes ont été en totale adéquation sur ce que certains d’entre nous ont pu vivre pendant cet enfermement. D’autres concernent directement le parcours de Mitski, certaines décisions qu’elle a pu regretter et qu’elle considère comme des erreurs, cette volonté de ne pas se ressasser le passé, de regarder vers le futur, vers un nouveau départ. On ressent également son vide artistique, son appel à la « remplir » émotionnellement, ce besoin constant d’amour de la part de quelqu’un (son public ?) pour rebondir, pour se relever des erreurs qu’elle déteste. On la voit tenter désespérément d’implorer cet amour pour noyer une douleur, d’oublier la réalité, on peut d’ailleurs aisément comparer ses dires aux étapes d’un deuil : d’abord dans le déni et dans la négociation, l’artiste fini par accepter son sort, elle reconnait ses erreurs de parcours et veut repartir de l’avant. En ce sens, j’ai trouvé le lyrisme profond, sincère et magnifiquement bien écrit.

Malencontreusement, je n’ai pas du tout le même avis sur la prestation vocale et l’écriture instrumental. Pour ce qui est de la voix de la chanteuse, j’apprécie dans leur ensemble les timbres calmes et aériennes comme c’est le cas de Love Me More. Mais à l’inverse des paroles qui m’ont plutôt touchés, je ne retrouve absolument pas cette passion ou ce saisissement dans la proposition vocale de l’artiste. Bien au contraire, son chant sonne quelconque, très assagi mais sans provoquer l’étincelle ou la stupéfaction. Je vais paraître un peu sec dans mon propos mais de mon point de vue, la musicienne ne possède pas vraiment de voix, le ressenti est la linéarité voire même la fatigue. Ca s’emballe un peu plus lors des refrains où la vocaliste pousse un peu plus sa voix mais là encore, absolument rien n’est renversant et l’absence d’émotions est définitivement palpable. Pourtant, lorsque l’on est en recherche d’amour comme ici, cette demande doit venir des tripes, avec une puissance vocale importante. Dans notre cas, cette envie semble insignifiante, indifférente, complètement ordinaire, ce qui est totalement en contre-courant de l’effet recherché. Et sur la mélodie, le constat est à peu près similaire : des refrains qui préservent cette même ligne au synthétiseur, une boîte à sons classique, un pré-chorus qui accentue le clavier et un refrain qui vient donner un peu plus de prestance et de dynamisme. On pourra déceler surtout un passage fort sympathique qui est ce petit solo de piano après le premier refrain qui permet d’une part de se différencier et d’autre part d’apporter plus de variations dans la chanson avant que l’on rebascule finalement dans cet instrumental classique. Love Me More est une composition entre-deux qui ne m’aura pas plus accroché que cela.