Rankdown de vos musiques préférées - 12e édition

Nominations :
- Nightcall - Lusive (Miraw)
- Parcels - Somethinggreater (Claela)
- Glass Animals - Mama's Gun (Oniromancie)
- Cut Capers - Elephant (Oniromancie)
- The Toxic Avenger - Home Call (stromsolar)
- Nujabes - World's End Rhapsody (Di'mort)
- Les Ramoneurs De Menhirs, Louise Ebrel - Menez Daou (Cumulo)
- Sevadaliza - All Rivers at Once (Uan)
- Matthew Perryman Jones - Living in the Shadows (Zellec)

Classement:

Nominations :
- Parcels - Somethinggreater (Claela)
- Glass Animals - Mama's Gun (Oniromancie)
- Cut Capers - Elephant (Oniromancie)
- The Toxic Avenger - Home Call (stromsolar)
- Nujabes - World's End Rhapsody (Di'mort)
- Les Ramoneurs De Menhirs, Louise Ebrel - Menez Daou (Cumulo)
- Sevadaliza - All Rivers at Once (Uan)
- Matthew Perryman Jones - Living in the Shadows (Zellec)
- Cul De Sac - This Time  (Claela)

Classement:

Nominations :
- Parcels - Somethinggreater (Claela)
- Glass Animals - Mama's Gun (Oniromancie)
- Cut Capers - Elephant (Oniromancie)
- The Toxic Avenger - Home Call (stromsolar)
- Nujabes - World's End Rhapsody (Di'mort)
- Les Ramoneurs De Menhirs, Louise Ebrel - Menez Daou (Cumulo)
- Matthew Perryman Jones - Living in the Shadows (Zellec)
- Cul De Sac - This Time  (Claela)

Classement:

24e - Michael Kiwanuka - Cold Little Heart - Claela

Cold Little Heart est l’une de mes deux chansons ayant, pour moi, le plus de potentiel à la victoire. Je l’ai découverte simplement par une suggestion de ce cher algorithme Youtube que je chéris tant.
Je la trouve absolument incroyable, de ces chansons que l’on a plaisir et confort à retrouver, de ces chansons qui ne périment jamais et dont personne ne saurait se lasser.

La première moitié avant 4’45 a un pouvoir captivant extraordinaire. Je trouve qu’elle saisit notre esprit inéluctablement, peu importe que l’on soit concentré sur l’écoute ou en pleine préparation de spaghettis. Elle vient nous saisir et nous installer dans une ambiance qui lui est propre, qu’elle gouverne malgré nous. La lente montée en puissance, en “pente douce” je dirais, est de si haute volée… bon sang j’en suis amoureuse. Elle est tellement riche que chaque écoute me fait découvrir un angle que je n’avais pas relevé précédemment, m’apporte de nouvelles surprises ou de nouvelles sensations. Le dosage est précis tout autant que précieux, l’arrivée progressive des choeurs, des instruments, leurs variations intrinsèques… pour enfin finir sur cette apothéose fulgurante entre 3’50 et 4’15 que je trouve hyyyper bienvenue.
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La deuxième moitié voit arriver notre cher Michael Kiwanuka pour partir sur un registre assez différent, tout en restant lié à la première via les choeurs en arrière-plan. Je ne connaissais vraiment pas cet artiste précédemment et je vous conseille de fouiller ses titres parce que purée… les pépites sont nombreuses. Encore une fois, cette partie bénéficie de beaucoup de variations, Michael a définitivement rejeté le mot ennui de son dictionnaire et nous embarque dans la suite de son voyage musical, trouvant trois fois par minute l’astuce permettant de nous garder non pas seulement captifs, mais bien envouté.e.s par ce morceau, allant jusqu’à passer en pur guitare-voix à partir de 8’35…. et repartir klqdsdqm aaaaaa sachez que j’écoute bien évidemment la chanson en écrivant ces lignes, pour la 759ème fois et que l’effet est toujours présent.

Je vous souhaite indéniablement de vivre avec cette chanson autant d’émotions que j’en vis moi même.

Merci pour la victoire, bisous.

23e - DPR IAN - So Beautiful - Stromsolar

Ce morceau, je l'ai choisi car il s'inscrit parfaitement dans le thème de ma PL qui est d'avoir des morceaux ayant leur propre ambiance unique et avoir des morceaux ayant une personnalité et c'est la définition exacte pour moi de la musique de DPR IAN. C'est une musique a la fois avec une certaine dose de beauté mais aussi un petit grain de folie au milieu de tout ça.
Je vais passer sur tout ce qui est cinématique dans la vidéo car c'est pas le but du RD mais la vidéo est juste très belle.
Ensuite quand on commence, on a une légère intro avec des violons qui permet de lancer avec perfection la musique pour se mettre dans l'ambiance (pour ça que pour moi les intros sont essentielles). Puis on est directement mis dans la musique qui commence avec un couplet très simple mais pour autant appréciable (pas besoin de commencer complexe).
J'adore d'ailleurs le petit sifflement tout au long de la chanson, ça ajoute un rythme un peu tranquille, calme et posé et c'est très appréciable. Mention spéciale aussi pour la voix de DPR IAN qui peut aller des aigus aux graves avec une aisance impressionnante. Genre pas besoin d'avoir un featuring, il peut tout faire de lui même.
La musique s'appelle So Beautiful et on ressent je trouve la beauté tout au long de la chanson, au moment des couplets et des refrains et malgré qu'on arrive au bout d'un moment juste après le deuxième refrain ou on commence à trouver peut être la chanson répétitive, on sort immédiatement de tout cela avec un enchainement sur une troisième partie au moment ou on s'attendait a entendre un "So Beautiful". Et ça vient casser le rythme établi et relancer l'intérêt de la chanson avec un énième changement dans le rythme du chant et dans l'instru. On a des passages de violons et aussi un passage instrumental à 3min qui est juste "Waw" et pourtant normalement j'aime pas les sonorités des instruments à cuivre mais là je suis conquis. Honnêtement je trouve y a de tout instrumentalement et dans le chant. Ca bouge, c'est beau, c'est varié, que demander de plus ?

22e - Beach Weather - Sex, Drugs, Etc - Oniromancie

Je ne vais pas m’étendre sur les paroles. Le thème est plutôt explicite. J’aime beaucoup le refrain. J’apprécie aussi le vers principal qui nous invite à flotter sur notre « lowkey vibe ». C’est d’ailleurs la raison pour laquelle beaucoup consomment des stupéfiants, afin de rester tranquille et de se sentir bien, mais cette musique ne manque de nous rappeler comment cela pourrait finir. On s’en aperçoit lors de l’avant-dernier refrain, où le chanteur nous invite à flotter sur notre « lowkey vibe » tout en hurlant de très loin. Assez ironique. Cela montre bien à quel point les drogues peuvent nous emporter trop loin parfois. Dans une distance telle qu’elle peut en devenir effrayante. Mention spéciale au vers suivant : Designer drugs from dead end streets » aïe, aïe, parfois une très mauvaise idée.

21e - Imminence - Heaven In Hiding - Miraw

Une de mes récentes découvertes en termes de metalcore. Imminence est un groupe dont je n’attendais pas grand-chose mais qui a su complètement me séduire grâce à un atout de taille : la présence d’un violon. Des formations qui proposent de cet instrument, il n’en existe presqu’exclusivement dans le metal symphonique et dans le folk. C’est quasiment mission impossible de le trouver dans des genres tels que la branche core, le neo, le death ou encore le black qui se veulent être des styles plutôt fermés (c’est surtout vrai pour le core). Et pourtant, c’est un manque énorme qui mériterait d’être on ne peut plus présent. Pour parler un peu plus du groupe, ils sont Suédois, composé de cinq membres et la formation qui s’approche le plus du quintet n’est autre qu’Architects, une bande anglaise que j’ai partagé plusieurs fois et notamment via le titre Royal Beggars (pour ceux qui auraient la mémoire courte : https://www.youtube.com/watch?v=HNpWuwSVyDk). La ressemblance est assez flagrante et n’ayant pas tant aimé le dernier disque d’Architects, j’ai pu avoir une porte de sortie. Et j’ai failli la louper par ailleurs car c’est via des YouTubers qui réagissent aux derniers morceaux metal que j’ai pu écouter la composition.

Je ne cache pas avoir eu beaucoup de frissons à l’écoute de ce morceau. L’intro au violon nous met déjà au parfum et offre une ambiance unique, agréable et réconfortante. Le travail vocal du chanteur m’a sérieusement ému, qu’il s’agisse des couplets ou des refrains. L’harmonie et la plénitude de sa voix lors des couplets contrasté par une puissance et un déchirement lors des refrains, c’est une recette 100% gagnante qui me touche presque à tous les coups. Le vocaliste est d’ailleurs un sérieux virtuose puisqu’il chante formidablement bien certes mais c’est également lui qui est derrière cette mélodie au violon, un exercice d’autant plus complexe qu’il joue parfois en même temps de chanter. Il faut trouver l’équilibre entre le souffle et la position, ce qui n’est clairement pas une mince à faire (j’ai déjà essayé avec la batterie, c’est un enfer). Toujours dans le registre vocal, pour reparler un peu plus de cette balance entre douceur et agressivité, c’est surtout la palette de l’artiste qui impressionnante, un sérieux concurrent dans le chant clair et dans le « screaming » (on parle plus de harsh vocal en anglais). Pour l’instrumental, on retrouve également cette antithèse avec cette introduction légère au violon et cette outro lourde qui n’est ni plus ni moins qu’un breakdown massif. On ne peut pas parler de la composition sans parler de son émotivité et de ses sensations. A la fois magnifique, violent, sombre et profond, Heaven In Hiding joue sur les sentiments et sur la mélodie. On pourrait presque parler de progressivité à ce stade.

Je ne parle que très rarement des clips vidéo qui peuvent accompagner les morceaux mais je vais le faire ici car cela me semble important d’en parler. Je ne prête que rarement l’attention sur les vidéos car lorsque j’écoute de la musique, je ne cherche qu’à entendre le son. Qu’il s’agisse d’une image fixe ou d’une conception, ce n’est pas cela qui va juger et me donner l’appréciation que j’ai d’une chanson. Mais ici, j’ai regardé l’ensemble de l’imagerie et je dois dire que j’ai été sur les fesses. Le jeu d’acteur est à l’image de la chanson : incroyable. Le storytelling est captivant, le cadre est idyllique, tel un scénario de film. Le tournage a eu lieu au cœur des paysages glacés de la Lettonie et le groupe nous emmène dans un immense voyage visuel cinématographique pour accompagner le son colossal et dramatique du single. Chez Imminence, la diversité et la dynamique sont sans restriction, nous emmenant du metalcore à l’acoustique. Au niveau du lyrisme, on retrouve parfaitement cet esprit obscur dont j’ai parlé un peu plus tôt. Ceci n’est que mon interprétation, elle peut être totalement biaisée mais voici ce que m’inspire les paroles : il s’agit de découvrir que nos pensées, nos actes les plus sombres continueront de se répandre, peu importe que ce qu’on fera pour éviter le pire. Aux yeux du public, on essaye de se cacher de ces ténèbres et on tente à tout prix d’éviter ce sujet car sinon, on risque d’emporter ceux que l’on aime dans notre descente. Voilà ce que j’avais à dire sur ce morceau qui, je l’espère, saura vous toucher.

20e - Daughter - No Care - Stromsolar

Musique que j'ai découvert au sein du jeu Life Is Strange et qui m'a fait découvrir ce groupe. Je l'ai mise car c'est une musique qui me fait ressentir comme si le monde n'avait aucune importance et juste me fais me dire "profites du moment plaisant". Et c'est une sensation qui me fait tellement de bien à certains moments et c'est quelque chose que je voulais voir dans ma PL.
La chanson est très énergique mais malgré tout possède une certaine touche de légèreté au moment des refrains avec la façon dont ceux ci sont chantés.
Et cette touche de légèreté, d'inconscience est tellement plaisante je trouve. J'adore aussi le fait que la chanson constamment alterne refrains et couplets, plus que genre juste deux trois fois. Ca contribue beaucoup à te mettre le refrain de la tête mais ça colle avec la chanson qui n'en a plus rien a faire de la construction classique des morceaux et n'en fait qu'a sa tête.
Si la chanson veut alterner des couplets de 4 lignes avec des couplets de 12 lignes, elle le fait. Si elle veut finir de manière abrupte le morceau au lieu d'enchainer sur un dernier couplet c'est fait aussi.
La chanson ne cherche pas la complexité mais la liberté, tout foutre en l'air pour oublier. Cela se ressent aussi dans les paroles ou la prota est confrontée a ses sentiments qui la font souffrir et qu'elle ne parvient pas à exprimer. Donc elle envoi tout en l'air pour tromper ses sentiments.
Après malgré tout à la fin de la chanson ses sentiments la rattrapent et elle n'arrive plus a enchainer le dernier couplet sur un 'No Care' et finit abruptement la chanson.

19e - Nightcall - Lusive - Stromsolar

Bon cette chanson j'ai hésité à la mettre car je suis pas sûr qu'elle plaira a beaucoup. Enfin c'est un gros point d'interrogation pour moi et j'y trouve même quelques défauts donc j'ai hésité.
Mais malgré tout je l'ai mis car la chanson a une ambiance hypnotique chez moi. Quand je rentre dedans c'est comme rentrer dans un monde à part dans lequel je me sens bien, je me sens à l'aise et duquel je n'ai pas envie de sortir. Je suis incapable d'expliquer le pourquoi du comment de ce sentiment mais je trouve que la chanson a vraiment une ambiance complétement à part de ce qu'on peut écouter (même dans les morceaux instrumentaux).
La phrase répétée en boucle le long de la chanson "Just a girl" (enfin je crois c'est ça) reste gravée dans mon esprit un peu comme une incantation qui ne veut pas partir.
La chanson prend son temps et est clairement vraiment une chanson d'ambiance, une chanson que je peux écouter en plus en toute condition personnellement. Y a aucun passage en dessous pour moi.
Le passage a partir de 40s donne un peu une impression d'être sous l'eau en apnée et j'adore cet effet.
Surtout qu'ensuite il résulte sur un drop juste d'une beauté et d'une intensité majestueuse et épique devant lequel je suis juste bouche bée et juste j'apprécie comme si j'étais hypnotisé.
On a même pleins de passages plus calmes qui permettent de mieux build ensuite et qui permettent un moment de pause avant de replonger dans la grandeur du refrain. Un moment de pause qui permet de souffler, comme si tu étais dans une bulle avant que celle ci explose.
Aussi vraiment l'ajout des notes de piano sur le dernier refrain, c'est comment monter encore plus haut dans l'intensité alors que tu penses que c'est impossible.
Bon après le morceau c'est un morceau que je vois mal aller hyper loin car j'ai pas l'impression que les morceaux instrumentaux réussissent bien en RD mais qui sait ?

18e - Sevdaliza - All Rivers at Once - Diplo

C’est la dernière musique que j’ai rajouté à ma playlist, je la dédicace à Fenrill qui m’a aidé à choisir entre plusieurs morceaux de cette artiste. J’ai découvert Sevdaliza vraiment au pif, et si c’est pas une artiste que j’adore tant que ça ou à laquelle je reviens régulièrement, j’ai été surpris par la diversité des morceaux de son album dont est issu le titre. On a de l’électro, de la pop, et des musiques… comme celle-ci que je ne saurais pas vraiment décrire. Mais qui est sans conteste très émotionnelle. J’adore l’ambiance presque féerique qui est installée dans la chanson, je pense que ce que je préfère c’est les notes de piano très aériennes qui surviennent de temps en temps, alors que le ton de la chanteuse et la guitare sont particulièrement graves ; je trouve que ça donne un cachet double à la musique (ce qui ne veut rien dire). Du coup, son atmosphère totalement unique m’a séduit, et j’espère que ça sera la même pour vous. Je m’attends pas du tout à ce qu’elle aille loin mais qui sait, elle pourrait plaire à quelques uns d’entre vous ! Si vous voulez aller plus loin, j’ai hésité à proposer Rhode ou The Darkest Hour de la même artiste.

17e - Nujabes - Worlds End Rhapsody - Diplo

De toutes les musiques que j’ai pu présenter dans les rankdowns musicaux, celle-ci est peut-être ma préférée, en tout cas fait partie de mes préférées (c’est d’ailleurs ma musique la plus passée en boucle en 2021 selon Spotify Wrapped). J’ai beaucoup hésité à la mettre mais je me suis toujours retenu car je me disais qu’elle ne plairait pas, mais bon je l’adore à un point indécent et elle fait aujourd’hui pleinement partie de ma personnalité alors je me lance :

Tout d’abord, Nujabes est un artiste très important pour moi, car c’est le premier musicien dont j’ai épluché la discographie en profondeur, alors qu’à l’époque la musique n’avait pas une place aussi importante dans ma vie qu’aujourd’hui. C’était la première fois qu’un artiste résonnait aussi profondément en moi et que j’ai eu envie d’en apprendre plus sur lui. En effet ses morceaux sont contemplatifs, aériens et remplis d’émotions, et m’ont toujours rendu plus serein, durant cette époque tourmentée qu’est l’adolescence. Depuis, le nu-jazz fait parti de mes genres de musique préférés et je pense très sincèrement que mon état d’esprit actuel et ma manière de voir le monde a été très forcément influencé par tout cela. Si je devais vous recommander une musique qui décrit bien tout ça, ce serait avec le morceau Luv(sic) Partie 3, qui est mon deuxième préféré de Nujabes.
Le premier étant, vous l’aurez compris, World’s End Rhapsody. Pourtant, c’est un peu un outsider dans sa discographie et ne représente pas forcément très bien l’artiste.

Je ne sais pas par où commencer en parlant du morceau… Déjà si ça vous intéresse, voici le sample utilisé par Nujabes qui contient du coup la phrase qui est répétée tout au long de la musique. Je trouve que c’est une idée assez géniale de reprendre un morceau de disco (je suppose?), qui a beau être très sympa et attirant mais ne dépasse pas vraiment le cadre d’une musique d’ambiance festive et d’amour. Mon interprétation de cette musique est que tout le côté disco samplé par Nujabes semble un peu… distant. Comme si on s’élevait au-dessus de toute considération « concrète » (et donc matérielle, superflue) pour rentrer dans un état d’esprit très direct. C’est à cela que je rattache la signification du titre de la musique « World’s End Rhapsody » : lors de la fin du monde, on ne se soucie plus de tout cela, mais on ferait plutôt une rétrospective de notre vie passée, de tous nos moments passés. Au fond, l’humain n’est que la somme de tous ses souvenirs, et je pense que c’est important de garder en tête que même si tout ne dure pas éternellement, au moins ça aurait été un beau voyage… Et puis si c’est pas fini, alors continuons ! Je trouve cet état d’esprit ultra bienveillant voir carrément wholesome, j’adore ce message !!

Pour moi tout cela est parfaitement retranscrit dans cette musique. Si j’écoute de la musique, c’est parce que je ressens via celle-ci des émotions qui ne peuvent pas être formulées par la parole. Ici, c’est parfaitement le cas : le piano et la batterie qui s’adressent à nous tout au long de la musique me donnent un sentiment indescriptible. Le contraste entre l’énergie et le rythme du sample mis en même temps que le piano assez lent et aérien marche du tonnerre. De plus, bien que la musique puisse sembler répétitive (c’est exactement pour ça que vous allez l’éliminer je vous vois venir!!), j’ai lu un post sur Reddit qui montrait que chacune des « phrases » de la musique était parfaitement différente des autres, et c’est ouf quand même. Mais en même temps elle se renouvelle souvent, entre le piano qui part limite en solo, les tambours qui arrivent au milieu du morceau, je trouve vraiment qu’il y a tout dedans. J’arrive vraiment pas à m’en lasser et je pense que ce sera jamais le cas

Je me fais pas énormément d’espoir sur sa place dans le rankdown, je sais que c’ets pas une musique qui parlera à tout le monde, mais je pense que ça plaira quand même à une partie du casting (Zellec, Cumulo au moins) donc ça me semblait être le moment où jamais pour la mettre !

Titres de l'endgame :

Coconut Records - West Coast
Cul De Sac - This Time
Cut Capers - Elephant
Glass Animals - Mama's Gun
The Glitch Mob - Animus Vox
ichikoro - Enemy
Kid Cudi, Ratatat - Alive (Nightmare)
Matthew Perryman Jones - Living In The Shadows
Michael Kiwanuka - Love & Hate
Mildlife - The Magnificent Moon
Moon Hooch - Acid Mountain
NONONO - Like The Wind
Parcels - Somethinggreater
Les Ramoneurs De Menhirs, Louise Ebrel - Menez Daou
Tip Stevens - Flowers To The Moon
The Toxic Avenger - Home Call

Cul De Sac - This Time
Miraw | Moyenne : 10,3

Commentaires:

Michael Kiwanuka – Love and Hate
Cumulo | Moyenne : 10,2

Commentaires:

Les Ramoneurs De Menhirs, Louise Ebrel - Menez Daou
Zellec | Moyenne : 9,8 -

Commentaires:

The Toxic Avenger – Home Call
Uan | Moyenne : 9,8 +

Commentaires:

NONONO – Like The Wind
Zellec | Moyenne : 9,4

Commentaires:

The Glitch Mob – Animus Vox
Cumulo | Moyenne : 9,2 -

Commentaires:

Parcels - Somethinggreater
Uan | Moyenne : 9,2 +

Commentaires:

Matthew Perryman Jones – Living in the Shadows
Di’mort | Moyenne : 8,8

Commentaires:

Coconut Records – West Coast
Zellec | Moyenne : 8,7

Commentaires:

Tip Stevens – Flowers To The Moon
Uan | Moyenne : 8,3

Commentaires:

Mildlife – The Magnificent Moon

Diplo | Moyenne : 8,1

Commentaires:

Moon Hooch – Acid Mountain
Di’mort | Moyenne : 7,7

Commentaires:

Kid Cudi – Alive (Nightmare)
Zellec | Moyenne : 6,9

Commentaires:

ichikoro - Enemy
Miraw | Moyenne : 6,8

Commentaires:

Glass Animals – Mama’s Gun
Di’mort | Moyenne : 6,6

Commentaires:

Cut Capers - Elephant
Miraw | Moyenne : 6,1

Commentaires: