[Partie 8] Texas Zombie
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- Kurotsuki
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[Partie 8] Texas Zombie
Lun 3 Fév - 18:24:13
Bonjour Brain Game Zone,
Je vous propose de participer à une partie de Texas Zombie, pour le plus grand plaisir des spectateurs qui se feront un plaisir de suivre vos aventures abracadabrantesques ! Mais Texas Zombie... kécécé ? Eh bien, très cher amis, je vous renvoie à ce topic créé par notre Gobou favori où vous pourrez y retrouver le détail des règles. Mais pour faire simple : des situations problématiques, des objets inutiles, et de jolis petits textes de votre part pour vous en sortir c:
Petites précisions pour la partie :
- Jeu en 5 manches, je pense laisser 10 à 15 jours pour l'écriture, et 8 à 10 jours max pour les votes (qui sont censés être plus faciles )
- Le système de vote par lettre (de A à F) était dans mes derniers souvenirs le plus majoritairement apprécié, on repart donc sur ça sauf si objection
- Je ne pense pas imposer le nombre d'objets de chacun à chaque manche, mais plutôt vous laisser vous débrouiller avec la répartition de vos objets (sachant bien sûr que vous devez en utiliser au moins un par manche)
- Je ne me suis pas encore arrêté sur une idée de thème, donc si vous avez des idées, n'hésitez pas à m'en faire part !
Sur ce, place aux inscriptions, il me faut six joueurs braves et vaillants !
Je vous propose de participer à une partie de Texas Zombie, pour le plus grand plaisir des spectateurs qui se feront un plaisir de suivre vos aventures abracadabrantesques ! Mais Texas Zombie... kécécé ? Eh bien, très cher amis, je vous renvoie à ce topic créé par notre Gobou favori où vous pourrez y retrouver le détail des règles. Mais pour faire simple : des situations problématiques, des objets inutiles, et de jolis petits textes de votre part pour vous en sortir c:
Petites précisions pour la partie :
- Jeu en 5 manches, je pense laisser 10 à 15 jours pour l'écriture, et 8 à 10 jours max pour les votes (qui sont censés être plus faciles )
- Le système de vote par lettre (de A à F) était dans mes derniers souvenirs le plus majoritairement apprécié, on repart donc sur ça sauf si objection
- Je ne pense pas imposer le nombre d'objets de chacun à chaque manche, mais plutôt vous laisser vous débrouiller avec la répartition de vos objets (sachant bien sûr que vous devez en utiliser au moins un par manche)
- Je ne me suis pas encore arrêté sur une idée de thème, donc si vous avez des idées, n'hésitez pas à m'en faire part !
Sur ce, place aux inscriptions, il me faut six joueurs braves et vaillants !
Inscriptions a écrit:- Soraniak
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- KefkaDC
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Re: [Partie 8] Texas Zombie
Lun 3 Fév - 18:25:16
Le salaud, il a utilisé la technique ultime pour snipe le premier slot.Inscriptions a écrit:- Soraniak
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- Genesix
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Re: [Partie 8] Texas Zombie
Lun 3 Fév - 18:26:48
Inscriptions a écrit:- Soraniak
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Promis je note les textes cette fois Et je veux encore écrire
- Phénicia
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Re: [Partie 8] Texas Zombie
Lun 3 Fév - 18:30:45
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Re: [Partie 8] Texas Zombie
Mar 4 Fév - 17:28:50
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Re: [Partie 8] Texas Zombie
Jeu 6 Fév - 20:53:29
Inscriptions a écrit:- Soraniak
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Re: [Partie 8] Texas Zombie
Ven 7 Fév - 0:51:49
Inscriptions closes !
Nous avons nos six joueurs, six personnes valeureuses prêtes à affronter tous les dangers. Prêtes ? Pas tout à fait, car il leur manque encore leur équipement, 10 objets par personne, objets qu'ils devront utiliser pour se tirer des périlleuses situations qu'ils rencontreront.
Et ces objets, les voici !- Pour Soraniak :
- - Boule de bowling
- Hameçon
- Foulard
- Bouquet de fleurs
- Boîte de Doliprane
- Stéthoscope
- Toupie Beyblade
- Jouet mécanique
- Paire de lunettes
- Montre
- Pour KefkaDC :
- - Tuyau de douche
- Sac de couchage
- Clé USB
- Boîte de clous
- Plateau de go
- Thermomètre
- Frisbee
- Déodorant
- Chapeau
- Réveil
- Pour Genesix :
- - Pompe à vélo
- Manuel IKEA
- Règle graduée
- Boîte d’allumettes
- Perroquet dans sa cage
- Ukulélé
- Stylo
- Masque
- Escabeau
- Petite voiture Hot Wheels
- Pour Phénicia :
- - Boîte de crayons
- Vinyle
- Casserole
- Sèche-cheveux
- Pointeur laser
- Paire de ciseaux
- Oreiller
- Casque
- Bouteille de rhum
- Trottinette
- Pour Faalcon :
- - Paire de moufles
- Boîte à meuh
- Longue-vue
- Sceptre
- Briquet
- Valisette
- Bescherelle édition 2020
- Caméscope
- Seringue
- Coquillage
- Pour Lone Jackal :
- - Tubes d’acrylique
- Boîte de macarons
- Écharpe
- Mug « Tartiflette un jour, tartiflette toujours »
- Seau
- Rouleau de Scotch
- Rasoir jetable
- Couteau à beurre
- Porte-voix
- Peluche Vipélierre
On peut dire que vous êtes gâtés ! Mais peut-être n'êtes-vous pas pleinement satisfaits de ces attributions. Si tel est le cas, il vous est encore possible d'optimiser votre équipement en pratiquant l'art ancestral du troc. Vous avez jusque samedi 22h pour effectuer des échanges d'objets à annoncer sur le topic. La partie pourra alors commencer pour de bon avec les listes mises à jour. À samedi !
- SICIA
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Re: [Partie 8] Texas Zombie
Sam 8 Fév - 0:10:07
Qui est tenté par un mug Tartiflette à tout hasard ?
J'aime pas la tartiflette
J'aime pas la tartiflette
- Soraniak
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Re: [Partie 8] Texas Zombie
Sam 8 Fév - 0:51:13
Lone Jackal et moi même échangeons la boite de Doliprane contre la peluche Vipelierre !
- SICIA
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Re: [Partie 8] Texas Zombie
Sam 8 Fév - 18:50:46
Phénicia et moi-même avons décidé d'échanger la casserole de madame contre le mug tartfilette du monsieur
- Kurotsuki
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Re: [Partie 8] Texas Zombie
Dim 9 Fév - 0:28:10
Début du premier round !
J'ai bien pris compte des deux échanges et mis vos listes d'objets à jour. Sur ce, il est temps de commencer notre aventure.
Vous l'aurez compris, à défaut d'avoir reçu des propositions, je me suis décidé pour revenir au titre du jeu, et vous faire affronter des zombies ! Mais quelles situations allez-vous affronter ?
Je vous rappelle que je vous laisse en auto-gestion sur le nombre d'objets que vous utilisez, songez simplement qu'ils vous en faut au moins un par manche !
J'attends vos textes pour le samedi 22 février, ce qui vous laisse deux semaines. Faites preuve d'imagination, et bon courage à vous !
J'ai bien pris compte des deux échanges et mis vos listes d'objets à jour. Sur ce, il est temps de commencer notre aventure.
La salle était comble pour cette cérémonie annuelle de remise des Gérards de BGZ. Tout le forum était réuni pour assister à ce grand moment dans la joie et la bonne humeur. En particulier, Soraniak, KefkaDC, Genesix, Phénicia, Faalcon, et Lone Jackal attendaient avec impatience le début des festivités, bien à l’aise dans leurs fauteuils de velours. La rue semblait tapageuse au dehors : des cris indistincts se faisaient entendre depuis l’extérieur. Sans doute une foule en délire avide de connaître les résultats.
Après quelques instants perdus à ramener le reste des convives du buffet vers le gradin, le maître de cérémonie s’avança sur l’estrade, prêt à prendre la parole, quand soudain, un grand fracas retentit dans les couloirs, suivis de cris de douleur. Un silence plana sur l’assemblée, qui se rompit lorsque les portes de la salle s’ouvrirent dans un vacarme retentissant, laissant paraître une vision angoissante.
Des zombies. Une marée de zombies, traînant leur corps en putréfaction, prêts à se repaître de cervelle et de chair fraîche.
En un instant, ce fut la débandade. Oubliée, la cérémonie. Tout le monde ne pensait plus qu’à une chose. Fuir pour sa vie.
Après quelques instants perdus à ramener le reste des convives du buffet vers le gradin, le maître de cérémonie s’avança sur l’estrade, prêt à prendre la parole, quand soudain, un grand fracas retentit dans les couloirs, suivis de cris de douleur. Un silence plana sur l’assemblée, qui se rompit lorsque les portes de la salle s’ouvrirent dans un vacarme retentissant, laissant paraître une vision angoissante.
Des zombies. Une marée de zombies, traînant leur corps en putréfaction, prêts à se repaître de cervelle et de chair fraîche.
En un instant, ce fut la débandade. Oubliée, la cérémonie. Tout le monde ne pensait plus qu’à une chose. Fuir pour sa vie.
Vous l'aurez compris, à défaut d'avoir reçu des propositions, je me suis décidé pour revenir au titre du jeu, et vous faire affronter des zombies ! Mais quelles situations allez-vous affronter ?
Soraniak a écrit:Se faufilant avec grâce entre les invités en panique et les zombies affamés, Soraniak était parvenu à se glisser hors de la salle filait à présent dans les couloirs tel une flèche afin de s’échapper avant que les zombies ne quittent la salle principale pour revenir explorer le reste du bâtiment. Cependant, l’esprit embrumé par la panique, son sens de l’orientation le perdit et le mena dans un cul-de-sac. Rien de plus que des WC condamnés pour travaux. Se retournant, il se trouva nez-à-nez avec un zombie isolé du troupeau. Coincé. Il allait devoir s’occuper de ce sinistre individu.
- Objets de Soraniak:
- - Boule de bowling
- Hameçon
- Foulard
- Bouquet de fleurs
- Peluche Vipélierre
- Stéthoscope
- Toupie Beyblade
- Jouet mécanique
- Paire de lunettes
- Montre
KefkaDC a écrit:Plutôt que traverser la vague de zombies, KefkaDC avait préféré battre en retraite en vitesse vers le fond de la salle, espérant trouver une sortie loin des mangeurs de cervelle. Avisant la sortie de secours, il s’y engagea, se retrouvant à l’extérieur dans l’escalier de service. Cependant, les marches semblaient pour le moins délabré, voire prêtes à s’écrouler pour certaines ! Mieux valait pour lui trouver un moyen de descendre en s’évitant une chute de trois étages sur l’asphalte…
- Objets de KefkaDC:
- - Tuyau de douche
- Sac de couchage
- Clé USB
- Boîte de clous
- Plateau de go
- Thermomètre
- Frisbee
- Déodorant
- Chapeau
- Réveil
Genesix a écrit:En fin stratège, Genesix s’était caché dans un coin de la pièce plutôt que de tenter une fuite dans ce capharnaüm. Lorsque, un long moment plus tard, le carnage fut terminé, et que les derniers zombies quittèrent la pièce, il sortit de sa cachette, s’approcha de la porte pour s’en aller… et ne parvint pas à l’ouvrir. Quelque chose semblait la bloquer de l’autre côté, probablement d’autres cadavres qui avaient dû s’amonceler dans le passage. Il lui fallait pourtant ouvrir la porte. Et vite… avant que les premiers macchabées ne se réveillent sous forme de zombies.
- Objets de Genesix:
- Genesix :
- Pompe à vélo
- Manuel IKEA
- Règle graduée
- Boîte d’allumettes
- Perroquet dans sa cage
- Ukulélé
- Stylo
- Masque
- Escabeau
- Petite voiture Hot Wheels
Phénicia a écrit:Dans la panique, Phénicia avait presque atteint la sortie du bâtiment avant de rencontrer un duo de zombies barrant le passage. Alors qu’elle se préparait à se défendre, un homme surgit, armé d’une batte de base-ball, et éclata le crâne des deux monstres. Cependant, avant qu’elle ne puisse le remercier, il se tourna vers elle avec une lueur meurtrière dans le regard.
- Donne-moi une bonne raison de ne pas te réserver le même sort alors qu’ils t’ont peut-être déjà contaminée…
Oh oh. Il allait falloir se montrer convaincante.
- Objets de Phénicia:
- Phénicia :
- Boîte de crayons
- Vinyle
- Mug « Tartiflette un jour, tartiflette toujours »
- Sèche-cheveux
- Pointeur laser
- Paire de ciseaux
- Oreiller
- Casque
- Bouteille de rhum
- Trottinette
Faalcon a écrit:Cela faisait déjà un moment que Faalcon se déplaçait furtivement vers la sortie, évitant avec habileté d’attirer l’attention du moindre zombie. Il avait presque quitté l’immeuble, quand un invité étendu par terre l’appela à l’aide. Les jambes blessées, l’individu ne pouvait visiblement pas se déplacer. Cependant, s’il persistait à l’appeler de sa voix plaintive, cet abruti allait finir par attirer les zombies ! D’une manière ou d’une autre, il fallait s’occuper de lui.
- Objets de Faalcon:
- - Paire de moufles
- Boîte à meuh
- Longue-vue
- Sceptre
- Briquet
- Valisette
- Bescherelle édition 2020
- Caméscope
- Seringue
- Coquillage
Lone Jackal a écrit:Filant comme un dératé à travers les couloirs, Lone Jackal s’était extirpé en vitesse du bâtiment pour découvrir dans la rue une scène de chaos. Partout, les gens couraient en tous sens, affolés. Lui-même devait trouver un moyen de quitter la ville. Soudain, il avisa devant lui une femme prête à enfourcher sa moto. Un moyen de transport ! Il ne pouvait pas laisser cette moto filer sans lui !
- Objets de Lone Jackal:
- - Tubes d’acrylique
- Boîte de macarons
- Écharpe
- Casserole
- Seau
- Rouleau de Scotch
- Rasoir jetable
- Couteau à beurre
- Porte-voix
- Boîte de Doliprane
Je vous rappelle que je vous laisse en auto-gestion sur le nombre d'objets que vous utilisez, songez simplement qu'ils vous en faut au moins un par manche !
J'attends vos textes pour le samedi 22 février, ce qui vous laisse deux semaines. Faites preuve d'imagination, et bon courage à vous !
- Kurotsuki
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Re: [Partie 8] Texas Zombie
Dim 23 Fév - 0:14:03
C'est l'heure de la validation ! Sans plus attendre, découvrons les textes proposés par nos candidats. En italique : leur situation initiale. En police normale : leurs écrits.
Il est à présent temps pour tous, candidats comme spectateurs, de voter ! Ceci se fait en attribuant une note entre A et F à chaque texte, A étant la meilleure note, et F étant la plus mauvaise. Je rappelle que LE VOTE DES JOUEURS EST OBLIGATOIRE et que vous ne devez pas attribuer de note à votre propre texte.
Je laisse les votes ouverts jusque mercredi 4 mars.
- Soraniak:
- Se faufilant avec grâce entre les invités en panique et les zombies affamés, Soraniak était parvenu à se glisser hors de la salle filait à présent dans les couloirs tel une flèche afin de s’échapper avant que les zombies ne quittent la salle principale pour revenir explorer le reste du bâtiment. Cependant, l’esprit embrumé par la panique, son sens de l’orientation le perdit et le mena dans un cul-de-sac. Rien de plus que des WC condamnés pour travaux. Se retournant, il se trouva nez-à-nez avec un zombie isolé du troupeau. Coincé. Il allait devoir s’occuper de ce sinistre individu.
Grâce, élégance, que dis-je, PANACHE ! Telles étaient les traits qui me caractérisaient humblement alors que j’esquivais la foule de disgracieux morts-vivants qui venaient d’envahir la cérémonie des Gérards de BGZ. Être un serpent a quand même ses avantages, pensai-je alors que je filais dans les couloirs du théâtre, pour l’instant désert de tout zombie. Cependant, confondant ma droite et ma gauche (j’avais un peu trop forcé sur le champagne, je dois l’avouer), je parti dans la mauvaise direction, vers les toilettes en travaux du premier étage.
Me rendant à l’évidence que je m’étais trompé de chemin, je m’apprêtai à me carapater avant que les zombies derrière moi ne se rapprochent, quand j’entraperçu un mouvement à côté de la porte des toilettes, une silhouette humaine rachitique, menaçante, maladive et décharnée… Pas de doute, un zombie (ou un mathématicien, mais ce n’est pas le moment ni le sujet) ! Il fallait vraiment que je prenne mes jambes à mon cou. Alors que j’essayais de faire un demi-tour si serré qu’il rendrait Takumi Fujiwara fier, j’entendis un bruit de gargouillis répugnant derrière moi, tandis qu’une flaque d’un liquide verdâtre atterrit devant moi. Grâce à mes réflexes affutés (un peu) et un coup de chance (surtout), je réussis à l’éviter. Enfer ! Les jeux vidéo avaient donc raison, il existe plusieurs types de morts-vivants, et il est probable que s’il me touchait avec ses projectiles, je serais contaminé aussi !
« … eaux » grognait la créature derrière moi, de manière complétement clichée, si je puis me permettre. Quel zombie digne de ce nom marmonnait en permanence « Cerveaux » durant le XXIème siècle, je vous le demande !
« Gâteaux… Saleté… » continua-t-il. Ah ?! Ça, ce n’était pas normal… Me rendant compte que j’avais perdu mes lunettes lors de la fuite, je mis celles qui se trouvaient dans mon sac. Elles n’étaient pas exactement à ma vue, mais bon, j’allais faire avec. Regardant à nouveau le zombie, je me rendis compte que cette silhouette faible et tourmentée n’était pas une goule, mais bien un mathématicien ! C’était Kuro’, comme quoi, je devrais faire plus attention aux apartés stupides de mon esprit.
« Si jamais j’attrape ce connard de serpent… » marmonna le désormais identifié membre de BGZ. Me retournant, je vis que l’étrange substance verte était en fait une flaque prédigérée d’une substance inconnue et probablement toxique, le fameux gâteau surement. Mais, pourquoi m’accusait-il ?! C’était Tho qui avait cuisiné le gâteau, pas moi ! Bon, certes, je lui avais peut-être volé le gâteau, et je l’avais peut-être donné à Kuro’ en lui faisant croire que ça venait de moi pour qu’il vote pour moi dans la catégorie du meilleur MJ, mais je suis complétement innocent dans cette affaire ! Je ne pouvais pas savoir que Théo était une quiche à cuisiner des gâteaux ! Cependant, mon cheminement de pensée fut vite interrompu alors que Kuro’ se tournait vers moi. Je devais me cacher, et vite ! Sortant in extremis de mon sac un petit foulard bleu ciel avec des fleurs des plus coquets, et l’enroulant au niveau de mon cou, je regardai Kuro’ avec des yeux de serpent-biche.
« Enfin je te tiens, saleté écailleuse ! » dit-il en se précipitant sur moi, visiblement avec des intentions moins qu’amicales. « Ton gâteau m’a fait rater toute la cérémonie ! ». Avant qu’il ne puisse commencer à m’insulter de tous les noms, et afin de garder un PEGI tous publics pour cette histoire (et aussi d’éviter qu’il ne m’étrangle, accessoirement), je commençai à parler dans ma meilleure imitation de la voix de Phénicia (qui ressemblait donc plus à la voix d’un lapin dévoré par les Statitiks de Phénicia dans je ne sais quel rituel étrange et sordide) : « Pardon Monsieur, mais je ne suis pas Soraniak, mais je suis sa cousine, Sorania… Mon cousin vous a causé des problèmes ? ». Allez, ça devait marcher ! Après tout, dès qu’un lézard met un nouveau vêtement, il devient une personne différente, non ? Les tortues-ninja et Denver ne m’auraient tout de même pas menti, quand même ?
- Objets de Soraniak:
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- Bouquet de fleurs
- Peluche Vipélierre
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- Toupie Beyblade
- Jouet mécanique- Paire de lunettes
- Montre
- KefkaDC:
- Plutôt que traverser la vague de zombies, KefkaDC avait préféré battre en retraite en vitesse vers le fond de la salle, espérant trouver une sortie loin des mangeurs de cervelle. Avisant la sortie de secours, il s’y engagea, se retrouvant à l’extérieur dans l’escalier de service. Cependant, les marches semblaient pour le moins délabré, voire prêtes à s’écrouler pour certaines ! Mieux valait pour lui trouver un moyen de descendre en s’évitant une chute de trois étages sur l’asphalte…
Le 26 janvier 1972, Vesna Vulović survit au plus grand saut en parachute sans parachute de l'histoire de l'humanité, 10 160 mètres. Vesna Vulović fut cependant très gravement blessée, de nombreux os brisés et plusieurs semaines dans le coma. Bien que ces trois étages paraissent minables en comparaison, il reste important de prendre en compte plusieurs paramètres aggravant ma situation:
1. La chute de madame Vulović fut amortie par son siège.
2. Plutôt que de l'asphalte, c'est une couche épaisse de neige qui stoppa net sa chute.
3. Madame Vulović n'était pas poursuivie par une horde de morts-vivants.
Une fois que l'on a pris en compte ces trois éléments, nous pouvons en tirer deux conclusions majeures:
1. Sauter de trois étages n'est une solution valable que si je veux me suicider.
2. Il y a actuellement un zombie derrière moi qui s'est approché pendant mon monologue.
Vous vous demandez probablement comment je vais me sortir de cette situation, et figurez vous que j'ai déjà déterminé plusieurs options!
1. Accepter mon destin et procéder à une euthanasie non subventionnée par l'Etat.
2. Utiliser correctement mes objets.
3. Continuer à faire des listes jusqu'à ce que vous en ayez marre et cessez de lire, pausant indéfiniment l'histoire, ce qui empêcherait les zombies de me tuer.
4. Faire une référence à la pop culture.
Bien entendu, la seule réponse acceptable était la proposition 4. Je me saisis donc de mon chapeau, et le lance en direction du plus proche poursuivant.
..
Per Diu, hà travagliatu! Aghju trasfirutu a mo cuscenza in un zombie! Ah, stu ghjovanu maravigliu si vede deliziosu.. U mo Diu, ma chì dicu? Si ùn andu micca abbastanza veloce, i nostri dui esseri sò in periculu di fusione!
[Pardon, il semblerait qu'un problème technique force l'interruption de notre histoire.]
- Oh, Lisandru, chì site chì fate?
- Ùn bluccà u modu!
[Les zombies ayant des cordes vocales et fonctions cérébrales détériorées, ils ne peuvent s'exprimer que dans des cris barbares]
[Veuillez excuser ce contretemps et utiliser les sous-titres en attendant la résolution de cette péripétie.]
Oh dannatuda a to mamma!
[Pardieu, les autres zombies sont la, vite, je dois les convaincre de ne pas manger mon corps!]
- Cagna, sta cosa hè podrida!
[-Mes amis, je pense cet humain périmé, nous ne devrions pas en manger.]
- Cazzo ti!
[-Réellement? Qu'il en soit ainsi, allons donc ailleurs.]
Pare chì aghju fattu, i zombies partenu, puderaghju finalmente sguassà stu cappellu!
[Merveilleux, contrairement à moi, les morts-vivants ont choisis l'option 1, je devrais maintenant pouvoir me délester de ce couvre-chef.]
..
Morbleu que ce fut étrange, jamais je n'aurais cru survivre à cette rencontre, mais pourtant! Laissez moi juste high kick ce chapeau probablement contaminé par dessus bord et.. reprenons. Une partie de la horde zombie s'étant écrasée au sol, le facteur aggravant "asphalte" est désormais nullifié. Plus qu'à descendre. Trois étages. Avec des zombies comme airbag. Je ne sais pas ce qui est pire entre ça et l'asphalte en fait.
-Oh hé, Aghju i salsicci, chì vulete?
Et je crois entendre de nouveaux morts-vivants arriver. Forcé par l'existence de ces poursuivants, je commence à descendre les escaliers.
Une marche...
Deux marches....
Trois marches.....
Quatre mar-CRACK
Ok ok trois marches, trois marc-CRACK! D'accord d'accord d'accord deux marches, non zéro marches c'est très bien en fait! Retournons à la case départ, il doit forcément y avoir quelque chose. Si je pouvais au moins réduire la distance à sauter d'un étage, je devrais pouvoir m'en sortir. Je crois me souvenir d'avoir vu quelque chose, si je retourne un peu sur mes pas... Il y a quelques grognements, mais il semblent encore suffisamment éloignés, encore un peu et Bingo! Un sac de couchage, cela servira de cordage de fortune.
Ni une, ni deux, je m'empresse de retourner à la cage d'escalier pour préparer mon accrochage, et effectue ma descente. L'allonge du sac n'est que de deux mètres, mais cela me permet de trouver une marche capable de me supporter. Plus qu'à décrocher le sac et je pourr-kriiiiiik
Ah. La moitié du truc s'est barrée. À ce rythme je peux descendre d'au plus.. un étage et demi, parfait. Une assez longue session de descente plus tard, et je peux enfin me laisser tombe, l'atterissage étant finalement la phase la plus simple du plan.
Et maintenant, qu-est-ce que je peux bien faire?
- Objets de KefkaDC:
- - Tuyau de douche
- Sac de couchage
- Clé USB
- Boîte de clous
- Plateau de go
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- Frisbee
- Déodorant- Chapeau
- Réveil
- Genesix:
- En fin stratège, Genesix s’était caché dans un coin de la pièce plutôt que de tenter une fuite dans ce capharnaüm. Lorsque, un long moment plus tard, le carnage fut terminé, et que les derniers zombies quittèrent la pièce, il sortit de sa cachette, s’approcha de la porte pour s’en aller… et ne parvint pas à l’ouvrir. Quelque chose semblait la bloquer de l’autre côté, probablement d’autres cadavres qui avaient dû s’amonceler dans le passage. Il lui fallait pourtant ouvrir la porte. Et vite… avant que les premiers macchabées ne se réveillent sous forme de zombies.
Merde... pourquoi ça ne s’ouvre pas bordel ?
J’avais beau forcer comme un sagouin sur la porte, la seule chose que j’obtenais, c’était un tout petit jeu en la poussant vers l’extérieur. Mais c’était tout. Pas moyen de l’ouvrir complètement, j’étais définitivement coincé. Et pour ne rien arranger, plein de cadavres trainent au sol et ce n’est qu’une question de temps avant qu’ils ne se réveillent, putréfiés par la contamination, et avide de la cervelle.
Forcer avec mes pauvres biceps ne servait à rien. Il y avait quelque chose qui bloquait derrière, certainement des cadavres qui s’étaient déjà amoncelés. Pas possible de me jeter par la fenêtre, sinon je me mange le vide… enfin le bitume. Et j’ai encore envie de vivre merde…
Le problème, c’est qu’avec cette porte condamnée, soit je trouve un moyen de l’enfoncer, soit je me bats contre les zombies. Et le seul moment où je me suis déjà battu contre des zombies, c’était sur Minecraft, une épée en fer à la main, décimant en va et vient ces créatures pourrissantes et pullulant la surface. Mais je n’avais rien pour m’aider dans chacune des deux options…
Wait… mon sac, on nous avait donné un sac avant de partir. Il doit bien avoir forcément quelque chose dedans pour m’aider non ? Je ne sais pas, une arme, une hache pour détruire la porte ?
Je me rue sur mon sac le plus vite possible pour perdre le moins de temps. Je l’ouvris… Qu’est-ce que… Alors, une petite voiture Hot Wheels ne me sera d’aucune utilité ici, mais que fout un putain d’escabeau dans ce sac ? Et comment ça peut rentrer dedans ?
Je n’ai pas le temps de réfléchir. J’entends une sorte de grognement qui me pousse à me précipiter. Dans un sursaut, je dégaine l’escabeau qui sortit du sac. Perturbé par le poids de ce dernier, je tombe en arrière et manqua de me prendre l’objet en pleine face, retombant de toute sa masse sur moi.
… son poids. En plus d’être assez grand, il est plutôt lourd. À tel point que je me rendis compte que si je l’avais laissé se rabattre sur ma pauvre tête, elle aurait fini explosée. Mais ce n’était pas ce qui m’importait. Tout en me relevant, je redresse l’échelle de métal, prenant appui dessus. Son poids et sa taille me paraissent assez intéressants pour tenter d’enfoncer la porte. Si moi je n’y arrivais pas par mes propres moyens et mon propre poids, avec un peu d’inertie et la masse de cet escabeau, ça devrait le faire.
Je recule de quelques pas et commença une première charge. Je sens la porte s’enfoncer, mais ce n’est pas suffisant : elle reste presque intacte, seul une trace de l’impact était visible. Je retente ma chance une seconde fois, avec un peu plus d’élan, mais là encore la porte tient bon, malgré le fait qu’elle se fissure au moment de l’impact ; ce n’était pas encore suffisant. Je sens que je n’ai pas beaucoup d’essais : je me fatigue vite, et j’entends de plus en plus de grognements près de moi, comme si les cadavres déjà au sol étaient déjà en train de se transformer. Je me redresse, recule du mieux que je peux, et me lance une troisième fois dans une course effrénée, et balance en avant mon bélier improvisé. Cette fois-ci, j’avais mis assez de force : la porte se fissure en deux de manière suffisante pour créer un trou, tout en expulsant un peu des cadavres qui trainaient devant. Je m’engouffre par l’ouverture : il n’y a plus une minute à perdre. Je dois fuir.
- Objets de Genesix:
- Genesix :
- Pompe à vélo
- Manuel IKEA
- Règle graduée
- Boîte d’allumettes
- Perroquet dans sa cage
- Ukulélé
- Stylo
- Masque- Escabeau
- Petite voiture Hot Wheels
- Phénicia:
- Dans la panique, Phénicia avait presque atteint la sortie du bâtiment avant de rencontrer un duo de zombies barrant le passage. Alors qu’elle se préparait à se défendre, un homme surgit, armé d’une batte de base-ball, et éclata le crâne des deux monstres. Cependant, avant qu’elle ne puisse le remercier, il se tourna vers elle avec une lueur meurtrière dans le regard.
- Donne-moi une bonne raison de ne pas te réserver le même sort alors qu’ils t’ont peut-être déjà contaminée…
Oh oh. Il allait falloir se montrer convaincante.
- J-Je…
Telle fut la première réponse de Phénicia face à ce qui semblait bien parti pour être son futur meurtrier. Evidemment, cela ne lui convenait pas et, déjà, l’inconnu s'approcha après avoir laissé échapper un soupire. Paniquée, la victime à venir hurla, prise de panique :
- ‘T-T-T-Ttends !
En réussissant à vaguement prononcer ce dernier mot, elle tendit sa main gauche, tremblant autant que sa voix, à l’inconnu.
- Je… Ils m’ont pas touchés ! J-J’suis gentille, moi !
Tout en prononçant ces mots, elle fit glisser de son épaule le sac qu’elle avait emporté dans la fuite. Il contenait assez d’objets en tout genre, l’un d’eux pourrait l’aider, elle en était persuadée ! Visiblement, sa réflexion avait en plus interloqué l’inconnu… C’était positif ! Elle avait gagné un peu de temps ! Il restait juste à ne pas en perdre davantage… Elle ne pourrait prendre qu’un seul objet… Rapidement, elle fit glisser sa main à l’intérieur du sac, attrapa le premier objet qui venait et… sorti un trottinette ?!
- Hein ?!
Pas le temps, elle devait fuir, et maintenant ! Sans plus tarder, elle posa le pied droit sur le plateau, attrapa d’une main le guidon, de l’autre son sac et fonça à toute vitesse, son pied gauche frappant le sol aussi fort que possible pour lui faire gagner un maximum de vitesse. Elle put ainsi avancer le long du couloir, sentir le vent dans ses cheveux, s’exclamer un petit “Ouiiiii~ !” joyeux à l’idée d’être sauvée… sur environ un mètre. Là, sa roue avant se heurta au corps d’un zombie que l’inconnu avait dû mettre à terre plus tôt, s’arrêta instantanément et provoqua la chute du véhicule ainsi que de sa passagère. Le plan trottinette était donc un échec. Surtout que l’inconnu n’avait qu’un mètre à faire pour à nouveau l’atteindre.
- Bon, écoute, je vais être sympa : t’arrête de bouger et je fais en sorte de te tuer en un coup, ça marche ? Parce que là, entre la fuite et ta réput’ de toujours être méchante, je ne peux pas te laisser en vie. Mais d’un autre côté, tu fais tellement pitié avec ta trottinette que je te dois au moins une mort rapide…
Merde. Donc, en plus, de ne pas pouvoir s’enfuir, elle ne pouvait même plus essayer de parler à l’individu pour qu’il se rende compte qu’aucun zombie ne l’avait touchée ? Elle allait donc mourir comme ça ? Bêtement, parce qu’elle était trop stupide pour s’expliquer ? Encore que… Le gars voulait être sympa ?
- Tu… Tu peux me laisser une dernière volonté ? avait-elle alors crié pleine d’espoir.
- Magne-toi !
L’inconnu enjambea le plateau de la trottinette tombée au sol et se prépara à frapper… mais ne fit pas un geste de plus. Il lui laissait réellement une dernière volonté ! La future victime écarquilla les yeux un bref instant avant de se ruer sur son sac… Un dernier objet… Juste un…
- Tu veux boire un coup à ma mort ? lança-t-elle alors en brandissant fièrement la bouteille de rhum qu'elle venait d'extraire avec un grand sourire crispé.
C’en était définitivement trop pour l’inconnu, d’un coup de batte, il fit éclater la bouteille, propulsant des morceaux de verre dans la zone, mais aussi une importante quantité de liquide ambré au sol. Rapidement, il reprit sa position pour frapper. Au même instant, Phénicia attrapa le guidon de la trottinette et le fit glisser rapidement devant elle. L’inconnu fut alors frappé aux chevilles par l’engin, or, sa pause ne lui accordait pas un équilibre parfait étant donné qu’il se focalisait davantage sur son coup à venir, sans parler du fait que le sol était devenu glissant à cause du rhum ! Alors qu’il trébucha, la cible se releva d’un bond, donna un coup de trottinette supplémentaire à celui qui aurait dû être son bourreau et fuit à toutes jambes.
- ‘solééééée !!!
Elle était sauvée. Mais pour combien de temps ?
- Objets de Phénicia:
- Phénicia :
- Boîte de crayons
- Vinyle
- Mug « Tartiflette un jour, tartiflette toujours »
- Sèche-cheveux
- Pointeur laser
- Paire de ciseaux
- Oreiller
- Casque- Bouteille de rhum- Trottinette
- Faalcon:
- Cela faisait déjà un moment que Faalcon se déplaçait furtivement vers la sortie, évitant avec habileté d’attirer l’attention du moindre zombie. Il avait presque quitté l’immeuble, quand un invité étendu par terre l’appela à l’aide. Les jambes blessées, l’individu ne pouvait visiblement pas se déplacer. Cependant, s’il persistait à l’appeler de sa voix plaintive, cet abruti allait finir par attirer les zombies ! D’une manière ou d’une autre, il fallait s’occuper de lui.
Qu’est-ce que je fais ? Je pourrais le laisser là, mais au mieux il les retiendrait quelques minutes, et dans le pire des cas ça fera un zombie à ma poursuite, qui m’a vu passer. Non, il faut faire quelque chose. Le tuer ? Quelle idée, jamais je ne pourrais faire ça, on n’est pas dans un film. En plus il ne mérite pas ça, il était simplement au mauvais endroit, au mauvais moment, et un peu pas doué quand même. Non, je vais devoir le prendre avec moi, au moins pour un temps. Enfin, s’il n’a pas déjà été infecté…
Dans toutes les histoires de zombies dignes de ce nom, ce sont les morsures qui transforment les gens en zombie, les griffures dans certains cas. Je m’approche du malchanceux que je surplombe, et, en faisant attention à me mettre à l’abri de tout coup de dents ou d’ongles.
Ouf, il ne s’est pas fait attaquer, il a juste trébuché et s’est ouvert la jambe. Et probablement cassé quelque chose, parce que je ne suis pas sûr qu’une cheville puisse faire un angle pareil.
Si je veux m’en sortir avec lui, il faut arrêter le saignement (heureusement celui-ci est assez modéré), faire cicatriser sa plaie, et, quand on sera sortis de cette saleté de bâtiment, lui faire une attelle de fortune. Avec un anti-douleur si possible, histoire qu’on puisse courir en cas de besoin. C’est mauvais pour sa cheville, mais je suis à peu près sûr qu’il préfère ça à se faire boulotter. Mais avant tout, je dois le faire taire. Je travaille mieux quand je ne dois pas me battre avec des morts-vivants.
J’essaie la manière douce, en lui expliquant pourquoi il faut qu’il la boucle, mais ça ne marche pas. Bon, tant pis, on va y aller brutalement.
« Si tu prononces encore un mot je te laisse ici ! Je veux bien t’aider, mais il faut que tu saches une chose : si à un moment, n’importe lequel, m’occuper de toi me met en danger, je te laisse en pâture aux zombies. Ma bonté a des limites ».
Bon, il a eu l’air convaincu puisque les cris sont devenus des gémissements étouffés. Tant pis s’il me voit comme un bourreau, au moins on est vivants. Reste à nous sortir de là. En fouillant dans l’espèce de sac qu’on m’a donné à l’entrée je trouve le parfait kit du petit héroïnomane (qu’est-ce que c’est que cette soirée ?), et cela inclut un briquet. Fonctionnel, en plus. Cela fera l’affaire. Idéalement, il lui faut un truc à mordre. Je trouve une paire de moufles ; ça fera l’affaire.
Je m’approche de la jambe de mon patient, lui donne la moufle gauche en lui disant de mordre dedans, et allume le briquet juste à côté de sa plaie. Je le sens se débattre, et l’immobilise grâce à une clé improvisée (mes deux ans de judo n’auront pas servi à rien !). Quand le saignement s’arrête et que les poils autour se mettent à sentir le brûlé, je m’arrête. Ça devra faire l’affaire. Je garde le briquet, il peut encore servir.
Reste à me débarrasser du sang. Je ne m’en suis pas mis dessus. Je déchire donc le pantalon de mon comparse en prenant garde à ne rien me mettre dessus. De toute façon, troué comme il était, c’était irrattrapable. Pour le sang qu’il s’est mis dessus, j’enlève ce que je peux en frottant avec la moufle qu’il me reste et un peu de salive. Plus qu’à espérer que ça sera suffisant.
Je reviens sur mes pas jusqu’à la dernière intersection, jette les moufles et le pantalon souillés vers le chemin que je n’ai pas pris, et repars en courant. J’ai entendu des grognements, il s’agit de faire vite. Je prends donc mon compagnon tant bien que mal sur mes épaules, en essayant de protéger sa jambe, et je repars, un peu moins vite que précédemment.
Alors que nous arrivons finalement à la sortie, j’entends une voix en poussant la porte.
« Merci… croasse celui que j’ai sauvé
-Mais de rien, tout le monde aurait fait comme moi. Au fait, comment est-ce que tu t’appelles ? »
- Objets de Faalcon:
- Paire de moufles
- Boîte à meuh
- Longue-vue
- Sceptre- Briquet
- Valisette
- Bescherelle édition 2020
- Caméscope
- Seringue
- Coquillage
- Lone Jackal:
- Filant comme un dératé à travers les couloirs, Lone Jackal s’était extirpé en vitesse du bâtiment pour découvrir dans la rue une scène de chaos. Partout, les gens couraient en tous sens, affolés. Lui-même devait trouver un moyen de quitter la ville. Soudain, il avisa devant lui une femme prête à enfourcher sa moto. Un moyen de transport ! Il ne pouvait pas laisser cette moto filer sans lui !
Paniqué et sous adrénaline, le chacal se demandait comment faire partie du voyage de cette femme s’apprêtant à démarrer sa moto. Cette moto était un modèle sportif, une Yamaha YZF-R1 qui était plus fait pour affoler les radars que pour transporter la famille avec la grosse malle bleue.
Il se demanda alors comment procéder, hésitant entre la séduction, l’agression ou l’honnêteté.
La situation se prêtant à tout sauf au rencard (la motarde s’apprêtant à démarrer), il décida d’abord de jouer l’honnêteté avant d’utiliser la force.
« Bonsoir madame, je suis désolé de vous déranger mais pouvez-vous m’emmener sur votre moto ? »
« Mais t’as vu la tête de la moto ? Si tu montes, tu arraches tout l’arrière ! C’est un R1, pas un Panzer ! »
« Je peux vous faire une autre proposition ? »
« Non, laisse-moi tranquille ! Maintenant, je m'en va… »
Devant le refus appuyé de madame, Lone Jackal sortit la casserole pour assommer la pauvre femme s’apprêtant à démarrer. Elle s’écroula sur le sol, le corps gisant à terre. Cependant, il se sentit mal à l’idée de la laisser au milieu de cette scène chaotique. Car oui, chaotique était le mot. Les gens couraient dans tous les sens, d’autres s’adonnaient aux joies du pillage, et la ville pris petit à petit des allures de scènes de guerre.
« Bon ! J’ai pas vraiment eu le choix, mais bon ça m’emmerde quand même de la laisser là. Comment je peux faire pour la transporter… »
L’écharpe contenu dans le sac du chacal était contemplé par ce dernier. Il pensa alors que la meilleure solution était d’attacher le corps inerte de la femme au sien afin de la transporter en dehors de cette ville.
« Je déchire l’écharpe en 2 dans le sens de la longueur, j’attache son bassin au mien et sa poitrine à mon dos et ça devrait le faire. Mais avant, il faut la poser sur la moto. »
Une fois ceci fait, le chacal entoura le corps et le buste de la femme à l’aide de son écharpe coupée en 2. Puis il entoura son corps avec le reste de l’écharpe et fit un nœud.
« Bon et tant qu’à faire, je prends la casserole en guise de casque. Go ! »
Sur ces mots, le 4 cylindres vrombit avec une sonorité très forte et très aiguë, typique des motos de courses de cette catégorie. Le chacal démarra en seconde et sortit en trombe de la ville jusqu’à un endroit isolé du monde où il gara la moto. Il se mit alors à allonger la femme, et contempla le soleil en attendant son réveil.
- Objets de Lone Jackal:
- - Tubes d’acrylique
- Boîte de macarons- Écharpe- Casserole
- Seau
- Rouleau de Scotch
- Rasoir jetable
- Couteau à beurre
- Porte-voix
- Boîte de Doliprane
Il est à présent temps pour tous, candidats comme spectateurs, de voter ! Ceci se fait en attribuant une note entre A et F à chaque texte, A étant la meilleure note, et F étant la plus mauvaise. Je rappelle que LE VOTE DES JOUEURS EST OBLIGATOIRE et que vous ne devez pas attribuer de note à votre propre texte.
Je laisse les votes ouverts jusque mercredi 4 mars.
Vote a écrit:
- Soraniak :
- KefkaDC :
- Genesix :
- Phénicia :
- Faalcon :
- Lone Jackal :
- SICIA
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Re: [Partie 8] Texas Zombie
Lun 24 Fév - 8:44:25
Vote a écrit:
- Soraniak : E
Que dire... Je vais tâcher d'être franc sans être blessant, j'ai été ennuyé dans ton texte par pas mal de points :
- Le texte est assez lourd à digérer. La situation était déjà posée par le MJ, était-ce vraiment utile d'en rajouter des tonnes dans tes premières phrases ? à la limite le passage avec Tho et Kuro était assez marrant (ce qui t'a sauvé du F chez moi) mais le reste me fait penser à un remake écrit de Goku VS Freezer, ou tout le texte ne font pas avancer l'action.
- Les 2 objets utilisées n'ont servi à rien pour résoudre le problème. Ce qui est vraiment dommage par rapport aux textes proposés par les autres joueurs (le sac de couchage de DC, la trotinette de Phéni, le briquet de Faalcon pour citer des exemples).
- En parlant de résoudre le problème... T'as pas vraiment mentionné comment tu t'en es sorti. C'est dommage car c'est aussi ça qui donne au jeu sa saveur : être créatif sur la solution, quitte à parfois faire dans l'absurde. Là, je n'ai rien vu. Et le seul bilan que je peux tirer de la situation finale est que t'es toujours à ta situation de départ avec Kuro à la place du zombie. Et que tu risques de crever.- KefkaDC : C
Well DC, ton texte était sympa au premier abord...Jusqu'au passage avec la traduction. Autant ce genre de procédé aurait sa place dans de l'audiovisuel, autant dans un texte, le tout rend franchement ce passage lourdingue et pas vraiment utile. De plus, tu as l'air aussi d'esquiver un peu le problème avec le coup de l'humain périmé et les zombies qui se suicident juste après.
En dehors de ces 2 points, le texte est assez dynamique et assez marrant.- Genesix : B
Un bon texte pour démarrer. Le début est un poil long, mais l'action est présente, la tension est construite au fur et à mesure, et on s'imprègne très bien de la situation.- Phénicia : A
Que dire... Les dialogues sont vraiment bons, et contribuent le lecteur à avoir de l'empathie, la tension est palpable avec l'action évoluant continuellement, le texte est clair et facile à lire... Bref, un très bon texte sans défauts.- Faalcon : B
à peu près la même chose que pour Gene, c'est un très bon texte également, bien qu'un poil long à démarrer. La tension est bien construite, mais seul bémol, on ressent peut-être moins d'empathie à l'égard du héros par rapport à Phéni et sa structure du bourreau-victime. L'exercice est probablement plus difficile à cause de la situation donnée, mais il n'empêche qu'il manque ce coté attachant qu'on peut trouver chez Phéni. Cela dit, c'est un bon texte également.- Lone Jackal : /
- KefkaDC
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Re: [Partie 8] Texas Zombie
Lun 24 Fév - 19:11:04
Vote a écrit:
- Soraniak : D Le texte est gonflé artificiellement par un paraphrasage de la consigne, je dirais que ça prend environ un tiers du texte avant de vraiment démarrer. Au dela de ça, sur tes deux objets l'un d'entre eux est quasiment inutile, tandis que l'autre est indécis. En effet ton texte s'achève trop tôt, ta situation n'est pas résolue, ce qui fait le texte apparait plus comme du stall. Cependant, c'est la que s'arrêtent les points negatifs, le texte est bien écrit, il n'y a pas d'attentat à la langue française en dehors de légères fautes par endroits (à peine de quoi y perde un point au plus dans une copie de lycée) et ce n'est pas indigeste, non pas que je possède une quelconque autorité sur ce point la au vu de ma notoriété dans ce jeu.
- KefkaDC : X
- Genesix : B Aussi bien amenée qu'elle soit, la solution reste assez basique, même si le texte dans sa généralité est plus que correct, il ne vaut pas un A selon moi.
- Phénicia : A Peu de choses à dire, la solution est originale et bien faite, y a du fake out, une alternance dans leur utilisation, et ça c'est cool.
- Faalcon : B Même si je trouve ce texte un peu en dessous de celui d'au dessus et celui d'en dessous, il reste tout de même trés bon, d'autant que contrairement à mon VDD, je n'ai aucun problème avec un personnage moins empathique.
- Lone Jackal : A J'ai rien à dire. Non vraiment. C'est si bien que ça.
Je trouve cette première fournée très bonne comparée à d'autres TZ, ça me hype pour la suite.
- Genesix
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Re: [Partie 8] Texas Zombie
Lun 24 Fév - 23:04:19
Welp, here we go a écrit:
• Soraniak : E
J'ai vraiment hésité car je trouve que ça fait vraiment dur pour débuter. Il y a de l'idée. Mais je pense que y en a trop, clairement. Pour être honnête, j'ai aussi fait demi-tour au niveau de ton texte, mais plus pour essayer de récupérer des infos que je pensais avoir oublié alors que… non en fait je suivais bien le texte. Au fur et à mesure de la lecture, de plus en plus d'infos se rajoutent et on perd clairement le fil de ce qu'il se passe ; soit beaucoup d'éléments qui sont mal amenés . Il y a aussi des soucis au niveau de la conjugaison au début du texte notamment. Mais les deux plus gros problèmes me concernant, c'est, dans un premier temps, la non-utilité des objets, que pour moi tu as tu as utilisé car tu devais en utiliser, et c'est dommage. Le second problème, c'est que tu ne résous pas ton affaire ; tu la laisses clairement en suspends. Et ce n'est juste pas concevable quand le but même du jeu, c'est de résoudre la situation. C'est ce dernier point qui m'a conforté dans mon choix de note.
• KefkaDC : B
J'ai ri. Clairement, j'ai beaucoup ri. Le style du texte est différent de ce à quoi on a l'habitude et cette référence à Mario Odyssey est juste excellente. Les traductions / sous-titres ajoutent quelque chose d'assez cool et original au texte, c'est un plus que je valorise. Il y a juste deux petites choses qui me gênent, le début qui est peut-être légèrement trop développé, mais ça va dans l'ensemble ; et la fin avec le sac de couchage qui se craque, je pense plutôt qu'il se déchire totalement et que tu te casses la gueule sur le bitume, mais après chacun a son interprétation à ce niveau.
• Genesix : LEEROOOOOOOOOOOOOOY JENKINS
• Phénicia : A
Ce texte est juste trop mignon et super drôle à la fois. Les petites mimiques textuelles que tu inclus dedans contribuent à donner cette atmosphère mignonne que dégage ton personnage. L'utilisation des objets est géniale, l'atmosphère est bancale entre le kawaï et le danger permanent que représente le mec mec en face de toi et tu jongles parfaitement avec. Vraiment, mon coup de cœur de cette première manche.
• Faalcon : B
Globalement, pas grand-chose à redire. Dans l'ensemble c'est du solide, le seul point qui fait que je baisse la note c'est la lenteur au début, aussi intéressante soit-elle, ça met tout de même un peu de temps avant de vraiment se lancer. Sinon, comme dit, c'est propre.
• Lone Jackal : A
J'ai juste envie de dire que c'est un texte à ton image, digne de ce qu'on pourrait attendre de toi. Un motard un peu brute mais au cœur tendre, what else.
- Faalcon
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Re: [Partie 8] Texas Zombie
Mar 25 Fév - 20:40:22
Vote a écrit:
- Soraniak : C
Comme disent les autres, ton texte met trop de temps à paraphraser la situation initiale pour pas grand chose, et le style est assez confus : il faut s'y reprendre à deux fois pour tout avoir, c'est dommage.
Je mets C cependant pour 2 raisons : la blague du mathématicien m'a bien fait rire, et les objets sont relativement bien amenés (surtout la paire de lunettes)- KefkaDC : B
Le début de ton texte est excellent, et j'ai bien aimé la fin, mais la partie traduction m'a vraiment laissé perplexe, j'ai compris ni l'enchaînement d'événements ni la résolution. Du coup B.- Genesix : B
Tu passes trop de temps à faire de l'exposition, je trouve. Du coup, comme tu n'utilises qu'un objet, la résolution de ta situation prend...la moitié de ton texte qui est déjà assez court, donc on a l'impression qu'il ne s'y passe pas grand chose. Par contre le texte en lui-même est très bien écrit- Phénicia : A
Niveau finition, le texte n'est pas parfait (fautes d'orthographe/concordance des temps), et si le style le rend agréable à lire ce n'est pas mon préféré. Par contre tu arrives à créer de l'empathie pour ton personnage, et le rythme est exactement le bon. Et tes dialogues sont très bons, en plus.- Faalcon :
F-ct nul- Lone Jackal : B
Comme pour Genesix, il manque un truc. Là c'est pas la résolution, la longueur est acceptable (même si ça aurait mérité d'être un peu plus long), mais ton texte manque d'émotion. Tu dis que ton personnage est paniqué, mais rien ne le montre dans ses actions, de même pour la suite du texte. C'est dommage parce que la résolution elle-même est bien.
(et, remarque qui ne change rien, interrompre quelqu'un se fait entre deux sons. Tu peux pas dire "je m'en va..." puisque le "ai" de "vais" est un seul son, il aurait fallu mettre "je m'en v...". C'est complètement useless mais ça m'a perturbé)
- Kurotsuki
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Re: [Partie 8] Texas Zombie
Ven 28 Fév - 21:22:14
Vote a écrit:
- Soraniak : D
Félicitations, c'est le texte où je suis le plus embêté. Parce que stylistiquement parlant, j'adore, c'est pile ce que j'aime, et certaines vannes marchent très bien (comme Faalcon, j'ai beaucoup aimé la confusion zombie/mathématicien). Seulement, pour ce qui est de la résolution de la situation et de l'emploi des objets, c'est pas ça. Pour commencer, comme ça t'a déjà été dit, ta situation n'est pas résolue, c'est l'inverse du but du jeu. Rien ne t'empêche de décréter que ta ruse marche effectivement et de dépasser le zombie, c'est même ce qu'on attend de toi : que tu proposes une solution qui fonctionne. Si les votants ne sont pas d'accord, ils te le font savoir via les notes, pas besoin de poser la question en laissant le texte en suspens. C'est d'autant plus étrange que tu as ta solution : tu t'es déguisé, ça y est ! On dirait presque que tu as simplement oublié d'écrire ta dernière phrase. En plus de paraître étrange, ça donne l'impression que ton objet est inutile, alors qu'il suffirait d'une phrase de conclusion pour qu'il devienne fonctionnel. Pour ton premier objet, c'est le même problème. Ça pourrait être une bonne idée assez audacieuse, mais une mauvaise exécution fait que ça plante. Tu te sers des lunettes pour identifier que l'ennemi n'est pas un zombie, mais en fait moi-même. Certains n'apprécieront pas, personnellement c'est le genre d'arnaques que j'utilise à tour de bras quand je suis moi-même joueur donc je ne te le reprocherai pas. Seulement, pour faire passer une arnaque, il faut gérer derrière. Pour moi, ça passe par deux points. D'abord, il faut un bon style pour que le lecteur ne bugue pas à la lecture (comme je te l'ai dit, je suis satisfait sur ce point). Seulement, il faut aussi que ton arnaque te soit utile. Et ici, on n'en est même pas vraiment loin, c'est dommage ! Car pour moi, ton utilisation du foulard ne fonctionne que parce que ton adversaire est un Kuro recherchant spécifiquement Soraniak, alors qu'un zombie se contreficherait de connaître sa victime. Et tes lunettes sont donc utiles ! Ce sont elles qui préparent le terrain ! Mais deux problèmes se posent selon moi. D'abord, si c'était bien ton projet, il faut que le lien entre l'identification de l'ennemi comme Kuro et l'utilisation du foulard soit explicite, qu'on voit ton raisonnement. Moi ça me paraît évident, car encore une fois je fais toujours des arnaques comme ça. Mais ça ne l'est pas tant que ça. Deuxième point : encore une fois, ton utilisation du foulard est invalidée par ta situation qui reste en suspens. Et si le foulard ne sert à rien, tes lunettes non plus puisqu'elles ne servent (selon moi) qu'à justifier le foulard.
Bien, j'ai été trèèèèèèès loquace. Tout ça pour dire que la non-résolution ne me permet pas de te mettre une bonne note, mais je ne veux pas te mettre E ou F car le style reste très bon, je trouve. Cette maladresse de l'absence de résolution plombe vraiment tout le texte, mais réciproquement il suffirait de corriger ce point-là pour que le texte devienne excellent selon moi, donc je ne doute pas que tu reçoives de bien meilleures notes à la prochaine manche !- KefkaDC : A
Que dire ? Je comprends que ça puisse ne pas plaire à tout le monde, personnellement c'est un type d'humour que j'aime beaucoup. Rien que tes listes numérotées recèlent un superbe potentiel comique, j'ai adoré (mention spéciale à la notion de "subvention de l'État", cet artefact de légende qui m'a bien fait rire). Pour ce qui est du passage en corse (heureusement que Google Translate est là, je n'aurais pas deviné la langue), je trouve que le gag fonctionne à plusieurs niveaux. Lire une première fois sans rien comprendre est déjà bien absurde, mais si on fait l'effort d'aller chercher la traduction, on découvre un beau décalage entre les phrases corses injurieuses et les traductions en langage soutenu. En y regardant de plus près, on pourrait trouver des points bancals dans la résolution, mais c'est très bien enrobé, et j'aime beaucoup l'idée d'amortir ta chute dans les cadavres de zombies. Et le petit détail que j'aime beaucoup : tu trouves de toi-même une bonne raison RP de ne pas pouvoir réutiliser tes objets. C'est du bonus bien sûr, ça n'est en rien demandé par le jeu, mais j'aime l'idée. Chapeau bas ! Héhéhé, c'est une blague... parce qu'il a utilisé un chapeau dans son texte... hahaha...- Genesix : B
Pas grand-chose à dire, ça ne s'embarrasse pas de fioritures, mais l'enfonçage de porte par escabeau est une valeur sûre, c'est efficace. Je ne sais pas si tu voulais être particulièrement comique en décrivant la manière dont tu manques de te faire écraser par l'escabeau en le sortant du sac, mais j'ai trouvé ça drôle. Le point faible de ton texte est un problème linguistique : tu as un souci récurrent de concordance des temps. Passer du passé au présent (ou l'inverse) entre deux paragraphes ne me dérange pas, c'est un effet stylistique, mais dans la même phrase ça n'est pas possible (exemple : "plein de cadavres traînaient au sol et ce n'est qu'une question de temps avant qu'ils ne se réveillent"). Le problème se répète suffisamment pour gêner un poil ma lecture, je pense que c'est le principal point sur lequel tu puisses t'améliorer (et c'est ce qui te achève de te faire manquer le A, en plus d'une appréciation personnelle un peu moins forte que pour KefkaDC et Phénicia). De bon augure pour la suite !- Phénicia : A
C'est très chouette et très amusant, dans un style très différent de l'autre A que j'ai donné. Pas d'absurde ou de grandes envolées lyriques, juste un comique de situation très épuré mais néanmoins impeccable. Rien que cet accident de trottinette, je ne peux pas me l'imaginer sans avoir un sourire débile scotché sur mon visage. De plus, la solution est efficace. Quelques erreurs d'orthographe épisodiques toutefois, ça ne gêne pas encore la lecture, mais attention ! Oui, je pinaille comme je peux :>- Faalcon : A
J'ai beaucoup hésité, j'ai failli ne pas te mettre A pour mettre en avant Phénicia et KefkaDC qui m'ont apporté de l'humour que j'ai moins retrouvé dans ton texte, mais je trouve ta solution diablement efficace, sans doute ma préférée de toute la fournée, sur le critère de l'ingéniosité en tout cas. La combinaison est simplement parfaite : les deux objets sont essentiels, tant pour soigner l'individu que pour éviter qu'il n'alerte les zombies, et le fait qu'ils soient utilisés en même temps plutôt qu'étape par étape renforce vraiment l'impression de synergie. J'ajouterai que je n'aurais sans doute jamais pensé à cette utilisation des moufles. Bref, je place sans doute ton texte dans sa globalité un peu en-dessous des deux autres A (même si je ne décèle aucune erreur linguistique !), mais je tenais à saluer cette solution.- Lone Jackal : B
Simple et efficace, on reconnaît ta patte. Encore une fois, je ne suis pas autant emballé que par les textes de KefkaDC et Phénicia, et la solution ne m'a pas autant surprise que celle de Faalcon, mais cela n'enlève rien à l'efficacité de la résolution et du texte en général. Un joli B, donc, que je transformerais bien en B+ si je pouvais car j'aime beaucoup l'image d'un motard avec un casque-casserole, huhu.
Bon, je me rends compte que je n'ai pas été aussi volubile pour tous, mais ne vous y trompez pas, je trouve tous vos textes très prometteurs, et j'ai hâte de voir vos prochaines productions. Bon courage pour la suite !
- Phénicia
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Re: [Partie 8] Texas Zombie
Sam 29 Fév - 20:09:47
Vote a écrit:
- Soraniak : E J'avoue, c'est surtout ton texte qui m'a fait prendre énormément de temps. Globalement, si déjà le système de lettre me met en micro-pls pour juger, le fait d'avoir un texte comme le tien n'aide pas parce que... bah j'ai l'impression que le texte est "vide". La situation n'a absolument pas avancé, les objets n'ont pour ainsi dire pas servi (un changement de voix peut se faire sans foulard et les lunettes ne sont utiles que parce que les tiennent ont dépop pour les besoin du scénario...). Du coup, j'avoue que je t'ai surtout mis si bas parce que, pour moi, l'objectif du texte n'est pas rempli. Basiquement, tu passes de "Je suis face à un zombie, que faire ?" à "Je suis face à Kuro, je ne fais rien". Du coup j'attends ton prochain tour pour voir ce que ça va donner
- KefkaDC : B Au début, j'avais pas la ref', du coup, je peux affirmer que, sans avoir la ref', ton texte perd une bonne partie de son humour (parce que, sans la ref', bah tout le passage de la traduction saute aussi, évidemment...). Par contre, le début avec le listing est tout simplement excellent une fois qu'on a passé le "mais de quoi il parle ?" et, au final, en relisant, je me suis plutôt bien marrée x) Mention spéciale au sac de couchage qui est, de mon point de vue, la meilleure utilisation d'un objet de tout le premier tour !
- Genesix : B J'ai beaucoup hésité entre A et B j'avoue. Globalement, ton texte est bon dans l'ensemble, mais peut-être un peu trop "simple" au niveau de la résolution. Au final, tu as presque mis plus de temps à "poser" ta situation qu'à essayer de t'en sortir vraiment et je trouve ça un peu trop "léger" pour du A :/ Après, le fait que tu n'as utilisé qu'un seul objet n'aide sans doute pas non plus.
- Phénicia :
- Faalcon : A Un truc que j’ai vraiment adoré dans ton texte, c’est qu’il y a une notion très “on est à 100% dans la tête du personnage”. J’ai vraiment l’impression qu’on lit ses pensées, qu’on a que les informations qui l’intéresser et pas le reste et ça aide vraiment à s’y identifier ! Tu as vraiment LE texte où j’ai le plus envie de suivre les aventures du personnage ! Pour le reste, bonne utilisation des moufles !
- Lone Jackal : A Globalement, un texte qui m’a fait aussi hésiter sur la note. Globalement, un peu comme pour Gene, j’ai trouvé l’utilisation des objets un peu “simple”, bien qu’efficace. Au final, le truc qui a vraiment fait pencher la note sur le A plutôt que sur le B, c’est le fait qu’à lire ton texte… Bah c’est juste tellement évident que c’est toi qui l’a écrit ! Non pas que ce n’est pas le cas pour les autres, mais ici, en lisant, je me suis dit “Lone a fait du Lone !”. C’est purement subjectif, mais j’aime beaucoup retrouver la “patte” des gens dans les textes qu’ils écrivent, ça donne une sorte d’unicité au récit que je trouve géniale !
Re: [Partie 8] Texas Zombie
Dim 1 Mar - 22:37:14
Vote a écrit:
Soraniak : D
Sans vouloir être trop direct, ton texte n'a pas vraiment de sens je trouve. La cohérence du texte du Zombie n'est pas là, ton personnage n'avance pas vraiment, les objets sont utilisés d'un manière on ne peut moins original... Mais te décourage pas, le premier jet est jamais le meilleur
KefkaDC : C
Je ne sais pas ce qui m'a le plus dérangé entre l'énumération de possibilités au début peut-être un peu présente, et les passages entre crochets, qui n'aident pas à la compréhension du texte. Cependant, j'ai beaucoup aimé l'utilisation du sac de couchage, et le reste du texte est assez bon en général !
Genesix : B
Le texte est lisible et bien construit, la solution trouvée est bonne. À la limite, ce qui fait que le texte n'a pas un A est la présentation de ta situation un poil trop importante, mais sinon, c'est cool !
Phénicia : A
J'adore ce texte !! Il est complet sur tout les points : drôle mais pas ridicule, touchant sans être niais. Que de positif donc, continue comme ça !!
Faalcon : B
Comme Genesix, le texte est un peu lent à démarrer, mais une fois que c'est fait, on est bien dedans ! Pense peut-être à aérer un peu plus ton texte histoire de le rendre plus "digeste" et ça sera top
Lone Jackal : A
Du typical Jiji, et c'est tout ce qu'on aime !! Le texte est agréable à lire, comme pour Pheni, il fait rire sans être ridicule, les objets sont utilisés d'une façon "ordinaire" mais c'est suffisamment bien amené pour que ça ne soit pas dérangeant. Hâte de lire la suite !!
- Soraniak
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Re: [Partie 8] Texas Zombie
Mer 4 Mar - 15:28:22
Vote a écrit:
KefkaDC : A
J'ai vraiment beaucoup aime ce texte, j'ai ri comme une baleine jusqu'à la fin, que ce soit les zombies parlant le corse, l'énumération du début que j'ai trouvé excellente ou la résolution, tout était très bon. La ref' était un peu obscure cependant, faudra faire gaffe pour la prochaine fois (et t'as de la chance qu'on puisse pas mettre de -).
Genesix : B
Petit texte sympa, logique, bonne utilisation des objets, mais un peu banal à mon goût. C'est pas le genre de texte qui te fait dire "Wow", et c'est ce qui je pense manque pour le A, désolé.
Phénicia : B
Je suis pas vraiment fan de ton texte, j'ai hésité longtemps entre B et C, mais il a des qualités indéniables, donc tu gardes le B. Je ne sais pas, j'ai un feeling vraiment ordinaire qui s'en dégage, je ne le trouve pas super drôle, mais il reste bien. Voilà, c'est un bon texte, mais sans être excellent pour moi (après, je sais avoir des goûts particuliers).
Faalcon : A
Mon commentaire pourrait être semblable a celui de Genesix, cependant, tu as ce petit truc en plus, ce je ne sais quoi fait la différence entre le B et le A. Peut être sont-ce des vannes qui font plus mouches, des commentaires sarcastiques... Je ne sais pas trop. Mais en tout cas, très bon texte.
Lone Jackal : A
Pareil que Faalcon, excellent texte, usage des objets pertinents, des vannes qui font bien mouche (notemment celle du Panzer, la comparaison est si stupide que ça m'a bien fait rire). Bref, un A bien mérité.
- Kurotsuki
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Re: [Partie 8] Texas Zombie
Jeu 5 Mar - 1:23:45
Ce premier tour est à présent terminé !
Merci à tous les joueurs d'avoir voté à temps, et merci à Whaiky, seul spectateur, d'avoir bien voulu ajouter son vote aux nôtres. Comment vous en êtes-vous tirés ? En bas du classement nous trouvons Soraniak, qui marque 20 points. Après lui se trouve une égalité, entre KefkaDC et Genesix, qui marquent tous deux 35 points. C'est Faalcon qui ouvre le podium avec ses 38 points, derrière Lone Jackal et ses 40 points. De justesse, Phénicia est donc le meilleur texte ce tour-ci, avec 41 points au compteur !
Merci à tous les joueurs d'avoir voté à temps, et merci à Whaiky, seul spectateur, d'avoir bien voulu ajouter son vote aux nôtres. Comment vous en êtes-vous tirés ? En bas du classement nous trouvons Soraniak, qui marque 20 points. Après lui se trouve une égalité, entre KefkaDC et Genesix, qui marquent tous deux 35 points. C'est Faalcon qui ouvre le podium avec ses 38 points, derrière Lone Jackal et ses 40 points. De justesse, Phénicia est donc le meilleur texte ce tour-ci, avec 41 points au compteur !
Mais trêve de palabres, il est l'heure pour vous de faire face à de nouveaux obstacles !
Soraniak a écrit:- Oh, veuillez m’excuser, très chère, répondit Kurotsuki. Je suis bien à la recherche de votre cuistre de cousin, mais je m’en voudrais de vous importuner plus longtemps. Bonne soirée à vous !
La ruse de Soraniak avait fonctionné, il pouvait de nouveau prendre la fuite, en prenant soin cette fois de consulter un plan de l’immeuble avant de se perdre à nouveau dans les couloirs. Avant d’atteindre la sortie, il fit un crochet par les cuisines, espérant y récupérer des vivres pour survivre à l’apocalypse. À son grand dam, celle-ci était vide. Les convives avaient déjà tout mangé lors du buffet. Tout, sauf… une boîte de cookies, qui traînait encore sur un comptoir. Se léchant les babines, Soraniak posa sa main dessus… et rencontra la main d’un autre survivant, convoitant la même denrée. Un regard entre les deux hommes suffit pour comprendre qu’il était hors de question de partager les précieux gâteaux. Que faire ?
- Objets de Soraniak:
- - Boule de bowling
- Hameçon- Foulard
- Bouquet de fleurs
- Peluche Vipélierre
- Stéthoscope
- Toupie Beyblade
- Jouet mécanique- Paire de lunettes
- Montre
KefkaDC a écrit:Sa dangereuse descente enfin terminée, KefkaDC se remit prestement en route, ne jugeant pas bon de s’attarder dans ces rues en proie au chaos. Il lui fallait trouver un abri, au moins le temps de se reposer quelques temps sans crainte s’il voulait suffisamment de forces pour fuir la région. Errant de ruelle en ruelle, il finit par trouver l’endroit idéal : à l’écart des zones les plus fournies en zombies, peu de fenêtres attaquables, la maison était parfaite ! Mais au moment de s’approcher, une voix retentit de l’intérieur :
- Je suis arrivé avant toi, gamin ! Barre-toi d’ici, ou je te plombe !
Diantre, n’y avait-il pas moyen de convaincre l’habitant de l’héberger pour la nuit ?
- Objets de KefkaDC:
- - Tuyau de douche
- Sac de couchage
- Clé USB
- Boîte de clous
- Plateau de go
- Thermomètre
- Frisbee
- Déodorant- Chapeau
- Réveil
Genesix a écrit:La porte à présent enfoncée, Genesix pouvait enfin s’enfuir ! Filant comme un dératé à travers les couloirs, il se rua hors du bâtiment, enfin à l’air libre… pour voir sa course stoppée de nouveau. Une immense masse de zombies tombant d’on ne sait où le plaqua au sol, avant d’accueillir la chute supplémentaire de KefkaDC qui s’enfuit sans demander son reste. Qu’est-ce qui lui prenait à balancer des zombies du ciel, celui-là ? Mais il n’était pas temps de fulminer : si ses bras libres lui permettaient encore de fouiller son sac, les jambes de Genesix étaient coincées sous le tas de créatures. Il lui fallait vite se dégager avant qu’elles ne décident de faire de lui son repas !
- Objets de Genesix:
- Genesix :
- Pompe à vélo
- Manuel IKEA
- Règle graduée
- Boîte d’allumettes
- Perroquet dans sa cage
- Ukulélé
- Stylo
- Masque- Escabeau
- Petite voiture Hot Wheels
Phénicia a écrit:Phénicia fuyant dans les rues, évitant les groupes de zombies, quand une boule de poils passa à vive allure dans son champ de vision et manqua de lui porter un coup. Se retournant pour identifier la menace, elle découvrit sous ses yeux ébahis un chat zombifié, qui semblait bien impatient de se repaître de sa chair, comme tout bon zombie qui se doit. Mais contrairement à ses congénères humains, celui semblait ne rien avoir perdu de sa vivacité. Comment se sortir de cette situation épineuse ?
- Objets de Phénicia:
- Phénicia :
- Boîte de crayons
- Vinyle
- Mug « Tartiflette un jour, tartiflette toujours »
- Sèche-cheveux
- Pointeur laser
- Paire de ciseaux
- Oreiller
- Casque- Bouteille de rhum- Trottinette
Faalcon a écrit:- Je m’appelle Elliot. Vraiment, je ne sais pas comment te remer…
Avant qu’il ne puisse finir sa phrase, Elliot fut interrompu par des grognements. Ralentis par la jambe blessée, Elliot et Faalcon s’étaient en effet laissés rattraper par un groupe de zombies ! Nombreux comme ils étaient, le combat s’annonçait risqué. Mais étrangement, ils n’avaient pas l’air hostiles. Ils semblaient même considérer Elliot et Faalcon comme faisant partie des leurs… Peut-être à cause de leur démarche lente ? En tout cas, il fallait en profiter, et trouver un moyen de se tirer de là avant qu’ils ne réalisent leur méprise !
- Objets de Faalcon:
- Paire de moufles
- Boîte à meuh
- Longue-vue
- Sceptre- Briquet
- Valisette
- Bescherelle édition 2020
- Caméscope
- Seringue
- Coquillage
Lone Jackal a écrit:Lone Jackal était parvenu à s’éloigner de la ville. Mais était-il tiré d’affaire pour autant ? Rien ne lui permettait de savoir si le drame avait atteint ou non le reste du pays. Et si le monde avait véritablement sombré, il n’était pas dit qu’il puisse facilement refaire le plein lorsque son réservoir serait à sec. Il en était là de ces réflexions lorsqu’un grand bruit parvint à ses oreilles. Dans les airs, au-dessus de lui, un hélicoptère s’approchait de la ville. Un contact de l’extérieur ! Si seulement il pouvait trouver un moyen d’attirer son attention…
- Objets de Lone Jackal:
- - Tubes d’acrylique
- Boîte de macarons- Écharpe- Casserole
- Seau
- Rouleau de Scotch
- Rasoir jetable
- Couteau à beurre
- Porte-voix
- Boîte de Doliprane
Au vu de mes propres disponibilités, vous gagnez quelques jours supplémentaires par rapport aux deux semaines de base : vos textes sont attendus pour dimanche 22 mars. Bon courage !
- Kurotsuki
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Re: [Partie 8] Texas Zombie
Jeu 26 Mar - 11:04:20
Avec un peu de retard, et je vous prie de bien vouloir m'en excuser, il est l'heure de la validation. Nous pouvons à présent découvrir les textes de nos valeureux écrivains !
Mais comment s'en sont-ils tirés ? Encore une fois, c'est à vous de le décider, en leur attribuant une note allant de A et F. Les votes sont ouverts jusqu'au dimanche 5 avril. Alors, à vous de jouer, chers critiques, et bonne lecture !
- Soraniak:
- - Oh, veuillez m’excuser, très chère, répondit Kurotsuki. Je suis bien à la recherche de votre cuistre de cousin, mais je m’en voudrais de vous importuner plus longtemps. Bonne soirée à vous !
La ruse de Soraniak avait fonctionné, il pouvait de nouveau prendre la fuite, en prenant soin cette fois de consulter un plan de l’immeuble avant de se perdre à nouveau dans les couloirs. Avant d’atteindre la sortie, il fit un crochet par les cuisines, espérant y récupérer des vivres pour survivre à l’apocalypse. À son grand dam, celle-ci était vide. Les convives avaient déjà tout mangé lors du buffet. Tout, sauf… une boîte de cookies, qui traînait encore sur un comptoir. Se léchant les babines, Soraniak posa sa main dessus… et rencontra la main d’un autre survivant, convoitant la même denrée. Un regard entre les deux hommes suffit pour comprendre qu’il était hors de question de partager les précieux gâteaux. Que faire ?
Mes yeux croisèrent ceux de l’autre survivant alors que nos deux mains étaient côte à côte sur les cookies. Il n’oserait tout de même pas ?! Je plissai instantanément les yeux en sa direction, pour lui faire comprendre que toute tentative de me priver de ces cookies était vaine. Ils étaient miens. En réponse, la petite merde osa lever un sourcil vers moi, indiquant qu’il n’allait pas se laisser faire. Ah ouais ? pensai-je alors qu’une musique de Western commençait à résonner en arrière-fond de manière extradiégétique. C’est-ce qu’on allait voir… Je penchai ma tête de quelques centimètres sur le côté, refusant de céder un quelconque avantage dans cette battle de regard qui puait la testostérone et les vieux films de Sergio Leone.
Pendant ce temps-là, du côté des zombies qui venaient d’entrer dans la pièce :
-« Uuuuuurgrrrrrr » (Humains, nous sommes venus manger vos cerv- Mais c’est quoi c’bordel ?!)
-« Grrrrrgrrr » (Chef, pourquoi vous vous êtes arrêté ?)
-« Grrrrrrrrbrrrrruuuuuurrr »(Non mais regardez-les ! Ils ne nous calculent même pas ! Ils préfèrent leur boite de cookies ! On est quoi nous, de la merde ?!)
-« Brrruuuuuuuurgrrrrr » (Ne vous en faîtes pas chef, au moins on parle pas corse comme ceux d’au-dessus, on a encore un semblant d’honneur !)
-« Brreeeeergrruuuuu »(Vous avez raison. Bon, bah tant pis pour eux, on les prendra par surprise. Zombie united : Chargeeeeeeeeeez !)
Oui, le langage zombie est très concis.
Alors que j’étais sur le point de remporter notre duel (si si, je vous jure), nous fûmes interrompus de la plus rustre des manières par une troupe de macchabés qui se jeta sur nous, l’air encore plus agressifs que tout à l’heure. N’avaient-ils donc aucun respect pour les duels d’honneur ?! Saletés de morts-vivants ! Regardant une nouvelle fois mon rival de pâtisserie, je vis que des sentiments similaires aux miens embrasaient son coeur, et d’un simple hochement de tête, nous nous mîmes d’accord. Eux d’abord, les cookies après. Nous retournant vers la horde, nous sortîmes chacun notre arme. Lui dégaina son FAMAS, un fusil automatique qui avait déjà fait de nombreuses fois ses preuves lors des opérations internes comme externes de l’armée française. Je sortis un petit jouet mécanique en forme de singe avec des timbales, un joujou qui avait déjà fait de nombreuses fois ses preuves lors de mes parties en mode zombie de Bo2 (me jugez pas hein, je ne pouvais pas savoir qu’il y aurait une apocalypse de zombie, hein. Si j’avais su, moi aussi j’aurais pris un FAMAS, non mais).
Activant l’automate et le jetant au milieu de la horde de zombie, je constatai avec un plaisir (je l’avoue complétement sadique) que la majorité se dirigèrent vers le bruit fait par le singe, alors que mon nouveau compagnon d’infortune les descendait par pelletés, utilisant des rafales bien senties de son arme. Une fois la masse régulée comme il se devait, je ne réussis cependant à m’empêcher de faire ce que n’importe quel humain normalement constitué aurait fait : aller voir un des cadavres et lui shooter dedans. Mon dévolu se porta vers un de ceux qui avaient été littéralement ouvert en deux par une rafale de mon partenaire.
-« C’est qui le maillon dominant de la chaîne alimentaire ?! Hein ?! C’est qui ?! »
Mes pulsions de taunts désormais apaisées, je me retournai afin de féliciter mon camarade, mais à peine notre amitié avait-elle commençait que je me sentais déjà trahi : il courrait vers la boite, bien décidé à la prendre. L’enfoiré ! Plongeant ma main dans la plaie béante du ventre du zombie qui m’avait servi de défouloir, j’en ressorti un truc assez long (je crois que c’était l’intestin grêle) auquel j’accrochai mon hameçon. Je devais faire vite ! Il s’était déjà saisi de l’emballage et avait entrepris de l’ouvrir. Jetant mon lasso/fil de pèche improbable, je réussis par miracle à accrocher celle-ci et à la tirer vers moi avant qu’il ne se serve dedans, lui ôtant littéralement le pain de la bouche. Me voyant désormais avec les cookies dans la main, il dit :
-« Fait pas le con… Partage. On est dans cette merde tous les deux… »
Vidant la moitié de la boîte dans mon sac (j’en pris quand même un tout de suite au passage), puis regardant son visage désespéré, je me mis à afficher un sourire sardonique :
-« En vérité », dis-je d’un ton grave, « je n’ai jamais trop aimé les cookies ».
Puis, j’ouvris ma main, laissant le reste de la boite tomber dans le ventre ouvert du zombie en dessous de moi, rendant son contenu impropre à la consommation. L’autre survivant tomba à genou, hurlant :
-« NOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOON »
C’était avec cette douce mélodie de fond que je fis demi-tour, d’un pas claquant sur le sol, riant de manière démoniaque (et avançant tout de même assez rapidement, je n’avais pas envie qu’il récupère ses esprits et m’envoie une rafale de balles dans le dos pour se venger, nan mais oh). Ah, les cookies… Si bon qu’on en deviendrait méchant.
- Objets de Soraniak:
- - Boule de bowling
- Hameçon- Foulard
- Bouquet de fleurs
- Peluche Vipélierre
- Stéthoscope
- Toupie Beyblade- Jouet mécanique- Paire de lunettes
- Montre
- KefkaDC:
- Sa dangereuse descente enfin terminée, KefkaDC se remit prestement en route, ne jugeant pas bon de s’attarder dans ces rues en proie au chaos. Il lui fallait trouver un abri, au moins le temps de se reposer quelques temps sans crainte s’il voulait suffisamment de forces pour fuir la région. Errant de ruelle en ruelle, il finit par trouver l’endroit idéal : à l’écart des zones les plus fournies en zombies, peu de fenêtres attaquables, la maison était parfaite ! Mais au moment de s’approcher, une voix retentit de l’intérieur :
- Je suis arrivé avant toi, gamin ! Barre-toi d’ici, ou je te plombe !
Diantre, n’y avait-il pas moyen de convaincre l’habitant de l’héberger pour la nuit ?
Combien de temps s'était écoulé depuis ce jour fatidique? Je ne le sais plus à vrai dire. Tout avait commencé en 1985, dès ma naissance je pressentais déjà mon importante destinée. Je ne savais pas encore dans quel domaine, mais je deviendrais l'un des plus grands de cette ère. À 8 ans déjà je pouvais réciter plus de décimales de Pi que les plus grands de ce groupe prétentieux qui tenaient leur stupide cérémonie dans le quartier. Mais reprenons. 1998 marque un grand tournant dans ma vie: l'entrée à l'université la plus prestigieuse de Tokyo, ou je fis la rencontre de ma future femme. La bas, je dépassais tout les autres étudiants dans de nombreuses matières, mathématiques, histoire, langues.. Il était de plus en plus apparent que je serais un jour l'homme le plus important de ce monde. Pourtant, la célébrité ne venait toujours pas. En effet, il me manquait toujours quelque chose: une spécialité, un accomplissement! Je ne faisais qu'apprendre ce que d'autres avant moi avaient déjà fait, et si j'étais en effet en train de participer à l'immortalité du savoir humain, je ne lui apportais rien!
2005: Mon marriage ne change finalement rien à ma vie.
2007: Ni la naissance d'un héritier.
2009: Alors que mes recherches allaient enfin me donner la célébrité, quelqu'un me devance et raffle tout les honneurs. Intolérable, ne suis-je pas après tout le personnage principal de cette grande pièce que l'on appelle "L'Histoire"?
Les années passaient et se ressemblaient. Chaque fois que la gloire s'approchait, quelque chose venait me l'arracher, comme si quelque chose, quelqu'un voulait stopper ma destinée. Puis ce jour fatidique arriva.
Aujourd'hui, l'apocalypse zombie a commencée. Je réalise désormais quel est mon but: travailler sans cesse et sans relâche pour trouver une cure, rien ni personne n'arrêtera mon chemin vers la gloire!
*tap* *tap* *tap*
Des bruits de pas? Impossible, personne ne devrait venir ici! Tout ces PnJ devraient être en train d'agoniser dehors, attendant patiemment mon remède!
- Cool une maison safe, je devrais pouvoir heal un peu et sauvegarder avant l'inévitable séquence de fuite.
Impossible! Je me saisis rapidement de mon fusil, et me jette devant la fenêtre, tant pis si il me repère!
À ce moment même, de deux voix résonnèrent la même phrase
- ET MERDE, UN PNJ!
- Je suis arrivé avant toi, gamin ! Barre-toi d’ici, ou je te plombe !
- Ta gueule! Je me suis fait chier à venir ici je reste !
Bordel, je reconnais son visage, c'est un de ces salauds prétentieux d'en face! Je le laisserai pas s'en tirer comme ça, mais je dois faire attention, ces mecs la sont bizarres, il a peut-être des potes, ou un genre de piège.
- Bon tu te casse de la oui ou merde? C'est pas que j'ai besoin que tu dégage mais j'ai genre super besoin que tu dégage!
Mais il se prends pour qui ce sale gosse? Je vais lui apprendre qui est le boss ici!
- Quelles sont les 41ème et 42ème décimales de Pi?!
- 69.
Rapide, sans hésitation ou aide extérieure. Il est seul, mais il est très clairement dangereux, il me faut un meilleur plan.
De l'autre côté de la fenêtre
Putain il est complétement barge ce type! Il a un flingue mais il se bat avec des décimales de Pi, heureusement que je connaissais que celle-la sinon j'étais fichu. Ce PnJ est très clairement dangereux, il me faut un meilleur plan.
- Fais pas le con Phillipe! Écoute moi, tout les deux on peu-
- Ta gueule!
Ah tiens il s'est trompé de réplique.
- Je veux bien te laisser venir ici, à une condition unique! Qu'est-ce que tu peux apporter à mes recherches?
Oh merde la fetch quest. Euh, euh. Euh, oh et puis merde!
- J'ai un réveil!
- Sa fréquence peut-elle détruire l'infection?
- Aucune idée, j'ai un frisbee sinon.
- Aucune utilité!
- Thermomètre? Déodorant?
Aucune réponse, logique.
- Euh, j'ai une clé USB?
- Avec toutes les données sur l'infection?
- Non, juste 42Go de hentai.
- ...
- .......
*click*
La porte s'ouvre.
- Merci, héros! Tu sera toujours le bienvenue en mon humble demeure malgré ces temps difficiles!
Ah ces PnJ! Ils ont toujours des backstory compliquées, mais ça sert jamais à rien de les lire, c'est toujours la même ligne de dialogue à la fin de leur quête!
- Objets de KefkaDC:
- - Tuyau de douche
- Sac de couchage- Clé USB
- Boîte de clous
- Plateau de go
- Thermomètre
- Frisbee
- Déodorant- Chapeau
- Réveil
- Genesix:
- La porte à présent enfoncée, Genesix pouvait enfin s’enfuir ! Filant comme un dératé à travers les couloirs, il se rua hors du bâtiment, enfin à l’air libre… pour voir sa course stoppée de nouveau. Une immense masse de zombies tombant d’on ne sait où le plaqua au sol, avant d’accueillir la chute supplémentaire de KefkaDC qui s’enfuit sans demander son reste. Qu’est-ce qui lui prenait à balancer des zombies du ciel, celui-là ? Mais il n’était pas temps de fulminer : si ses bras libres lui permettaient encore de fouiller son sac, les jambes de Genesix étaient coincées sous le tas de créatures. Il lui fallait vite se dégager avant qu’elles ne décident de faire de lui son repas !
Aouch. Sonné par ma chute, je prends quelques instants pour reprendre mes esprits, car mine de rien ma tête a bien cogné contre le sol ; je suis quitte pour une belle bosse.
Bon… tout ça pour rester bloqué encore une fois… J’essaie de me surélever avec mes deux bras, comme pour faire une pompe, mais j’oublie dans ma frayeur deux choses : je suis un poids plume sans réelle force, et j’ai quelques cadavres sur mes jambes, au moins trois ou quatre. Je m’essouffle assez rapidement avant de m’étaler de nouveau au sol.
Heureusement, j’ai encore mon sac. Je le mets devant moi et l’ouvre, et fouille dedans, paniqué à l’idée de servir de garde-manger. Rapidement, je sens quelque chose qui m’intrigue… des barreaux de métal, des plumes… je mets ma tête dans le sac et je vois… qu’est-ce que c’est que ça ???
Dans une cage surdimensionnée, un perroquet géant (littéralement) de Nouvelle Zélande. Le truc a disparu depuis je ne sais plus combien d’années et j’en ai un dans mon sac. Non mais, vous vous rendez compte que le bestiau pèse quand même 7 kilos et mesure un mètre ?
Mine de rien, ça me donne une idée. Le piaf peut quand même me tirer de là si je m’accroche à lui, vu son poids il doit pouvoir me donner suffisamment d’inertie pour me sortir du petit tas de cadavre qui entrave mes jambes. Avec beaucoup de difficultés, je parviens à sortir la cage du sac, qui s’élève désormais devant moi tel un gratte-ciel d’un mètre trente de hauteur, tandis que moi je reste plaqué au sol.
Bon… réfléchissons… comment je vais m’y prendre pour me tirer hors de là ? La première idée qui me vient à l’esprit c’est de sortir l’oiseau de sa cage et m’accrocher à ses pattes tandis qu’il s’envole pour qu’il puisse me tirer hors de là. Bon mes jambes allaient probablement prendre cher, à être raclées sur le bitume, mais est-ce que j’ai vraiment le choix ?
Je tente le coup tout en sachant que si l’oiseau s’envole, c’est mort. J’ouvre la cage et, au moment où le piaf se rend compte qu’il peut être potentiellement libre, il se rue sur l’ouverture, se jette à l’extérieur tout en propulsant la cage en arrière dans un bruit de métal horrible, et se met à battre des ailes. C’est ma chance : je prend appui sur mes deux mains et je me propulse du mieux que je peux pour attraper ses deux pattes et m’envoler avec lui…
… sauf que j’oublie que même si je suis léger et que je pense qu’avec son inertie ça peut me sortir de là, en l’occurrence ici c’est moi qui l’attire vers le sol du fait du poids de mon buste, et je m’éclate violement sur le sol, en amenant avec moi dans ma chute le pauvre oiseau qui n’avait rien demandé. En un instant, je me rends compte que c’est la merde. L’oiseau me regarde, furax, et commence à balancer sa tête en avant pour me foutre un coup de bec sur les mains.
Je prends un premier coup sur la main droite et je hurle à plein poumons tant j’ai mal. Mais je maintiens ma prise, je ne peux juste pas le laisser s’échapper. Il tente alors de s’en prendre à ma main gauche, et moi, dans une tentative désespérée, je lui hurle dans une voix remplie de désespoir :
- Arrête, arrête s’il te plait j’ai besoin de toi.
Mais le perroquet n’en a rien à faire de ma demande. Il continue de tenter de picorer ma main gauche, tandis que je joue à un jeu d’abrutis avec lui en la bougeant pour qu’il évite de m’handicaper encore plus que ce que je le suis actuellement. Désespéré, je regarde mon sac, et je me demande si je n’ai pas quelque chose pour essayer de le forcer à me tirer de là. Je prends la patte que je tenais dans ma main droite en la passant dans ma main gauche, continue de divertir le perroquet avec cette dernière tandis que l’autre cherche au fond du sac. Ma main tâte alors quelque chose, une petite boite en carton avec des bords un peu rugueux. Sans vraiment savoir à quoi m’attendre, je sors une boite d’allumettes…
… oh, mais j’ai une idée… la SPA ne va pas apprécier, mais bon je crois que j’ai déjà fait suffisamment de conneries avec lui pour me défendre. Je sors une allumette, coince la boite sous mon coude gauche, allume l’allumette avec énormément de mal tandis que j’encaisse un coup sur ma main gauche qui me fit hurler, et alors que j’étais au bord des larmes et que le piaf s’apprêtait à me mettre un coup certainement fatal à la main gauche, je lui brandis mon allumette allumée avec une belle flamme juste devant lui, et je lui hurle de tous mes poumons :
- MAINTENANT SI TU VEUX PAS FINIR EN REPAS DU SOIR TU ME TIRES, [censored] DE POULET DE [censored] !!!
Le perroquet, en voyant la flamme et en ressentant sa chaleur, stoppe net son action et commence à prendre peur, et me tourne instantanément le dos tout en essayant de foutre le camp. Mais il ne pouvait pas tant que je lui tenais les pattes. Et finalement, au bout d’un moment, alors qu’il battait des ailes comme un taré, je sens mon corps glisser difficilement sur le bitume, et petit à petit l’emprise des zombies sur mes jambes se faisait moins sentir, à tel point que seuls mes mollets étaient encore bloqués. Après un dernier effort du perroquet, je peux enfin me relever et dégager mes jambes légèrement endolories, puis relâche le pauvre oiseau qui s’enfuit immédiatement, tout en jetant mon allumette sur le tas de zombies qui commence à se mouvoir. C’était moins une.
- Objets de Genesix:
- Genesix :
- Pompe à vélo
- Manuel IKEA
- Règle graduée- Boîte d’allumettes- Perroquet dans sa cage
- Ukulélé
- Stylo
- Masque- Escabeau
- Petite voiture Hot Wheels
- Phénicia:
- Phénicia fuyant dans les rues, évitant les groupes de zombies, quand une boule de poils passa à vive allure dans son champ de vision et manqua de lui porter un coup. Se retournant pour identifier la menace, elle découvrit sous ses yeux ébahis un chat zombifié, qui semblait bien impatient de se repaître de sa chair, comme tout bon zombie qui se doit. Mais contrairement à ses congénères humains, celui semblait ne rien avoir perdu de sa vivacité. Comment se sortir de cette situation épineuse ?
“ J’ai tué un type… Vu que j’ai tapé un coup de plus, j’peux même plus dire que c’était de la légitime défense… Putaiiiin !” était en train de se lamenter Phénicia tout en courant à travers les rues, ne prêtant même pas attention aux zombies qu’elle esquivait. À un moment, néanmoins, elle fut bien forcée de remarquer celui qui la prenait pour cible, en effet, elle ne pouvait rester de marbre face à la créature…
- TROP MIGNOOOOOOOOOOOOOOOOON !!!
Elle s’était arrêtée d’un coup, fixant le félidé avec de grands yeux émerveillés, mais surtout : en étant complètement immobile ! Évidemment, l’animal se décida à profiter de la stupidité apparente de l’humaine, ainsi, il s’élança sur elle. De justesse, l’humaine se décala, évitant la morsure de la créature “trop mignonne” que grâce à la distance qu’elle avait laissé entre eux quand elle l’observait. Interdite un moment, elle eut un mouvement de recul, se contentant de murmurer :
- Ok, pas mignon ! Pas mignon, j’ai compris !
Toujours était-il qu’elle imaginait sans mal qu’un chat n’accepterait pas des excuses proférées en langage humain… Il lui fallait donc utiliser les pouvoirs du sac magique, et surtout : rester en mouvement ! Se déplaçant dans la zone, elle fit d’ailleurs attention à rendre ses mouvements aussi aléatoires que possible afin que l’animal n’ait aucun moyen d’anticiper ceux-ci. Laissant glisser le sac sur son épaule droite, elle y engouffra rapidement la main opposée, cherchant un moyen de contrer ce nouvel ennemi.
- Un mug… non. Des crayons… non. Un sèche-chev- mais qu’est-ce que ça fiche là ça ?!
Énumérant un à un les objets, elle finit néanmoins par s’arrêter sur un pointeur laser, mais serait-ce suffisant ? Un chat zombie était-il, au fond, plus un chat ou plus un zombie ? Jugeant que ce n’était pas la priorité que de réfléchir à pareille question, Phénicia brandit le pointeur laser sur les pattes de l’animal, l’allumant par la même occasion. Un petit faisceau rougeâtre apparut alors à l’endroit souhaité et, comme prévu, le chat bondit dessus ! Victoire ! Il ne restait qu’une chose à faire à présent : l’éloigner !
Phénicia fit aller le faisceau lumineux dans la direction opposée à celle où elle devait se rendre, doucement, laissant à l’animal l’occasion de sauter à chaque fois sur la lumière. Jusqu’à ce que la distance soit trop importante pour que la lumière reste bien visible… Rapidement, le chat revint vers sa cible et ce ne fut que grâce à un pas sur le côté de dernière minute que Phénicia échappa à une nouvelle morsure. Tout aussi vite, elle remit en place le faisceau, occupant à nouveau le zombie miniature.
- D'accord, d'accord, mauvais plan !
Fouillant à nouveau son sac, elle fut néanmoins illuminée par la meilleure idée du monde : utiliser le casque qu’elle avait ! Un grand sourire aux lèvres, elle lança toute joyeuse :
- Pôtit chat, tu sais, on a un point commun tous les deux : on a les oreilles sensibles ! Si j’peux pas supporter de musique trop fort, toi non plus, pas vrai ? Tu veux écouter du growl à plein volume ?
Glissant le casque autour de son cou, elle porta alors sa main libre à sa poche pour… réaliser qu’elle avait oublié son portable dans la salle.
- Merde…
Ainsi, son plan tombait à l’eau à peine avait-il était mis en place. De rage, elle attrapa à nouveau l’objet qui aurait dû lui servir, s’apprêta à le claquer au sol… quand une idée lui vint. Elle fit venir le chat doucement, tout doucement, vers elle, prenant bien garde à ce qu’il ne la touche pas. Quelques fois, elle dut même utiliser le pointeur pour faire reculer le chat plutôt qu’avancer, et ce dans le but d’être aussi sûr que possible de ne rien risquer. Finalement, quand le félidé fut à portée, elle se contenta d’un :
- Désolée mon petit, mais c’est toi ou moi sur ce coup-là…
L’instant suivant, l’animal se prit un vif coup de casque, l’assommant au passage. Sans plus tarder, Phénicia utilisa le fil du casque pour entourer le ventre du chat. Ce faisant, son seul but était de faire gagner du temps à quiconque croiserait le chemin de la créature : étant félin avant zombie, il chercherait à retirer ce qui le gênait… pas vrai ?
- Mais encore faut-il que je sois pas la seule qui ait survécu, quoi… Parce que le seul que j’ai vu vivant ici, il est à terre dans du rhum...
- Objets de Phénicia:
- Phénicia :
- Boîte de crayons
- Vinyle
- Mug « Tartiflette un jour, tartiflette toujours »
- Sèche-cheveux- Pointeur laser
- Paire de ciseaux
- Oreiller- Casque- Bouteille de rhum- Trottinette
- Faalcon:
- - Je m’appelle Elliot. Vraiment, je ne sais pas comment te remer…
Avant qu’il ne puisse finir sa phrase, Elliot fut interrompu par des grognements. Ralentis par la jambe blessée, Elliot et Faalcon s’étaient en effet laissés rattraper par un groupe de zombies ! Nombreux comme ils étaient, le combat s’annonçait risqué. Mais étrangement, ils n’avaient pas l’air hostiles. Ils semblaient même considérer Elliot et Faalcon comme faisant partie des leurs… Peut-être à cause de leur démarche lente ? En tout cas, il fallait en profiter, et trouver un moyen de se tirer de là avant qu’ils ne réalisent leur méprise !
Bon, on n’est pas dans la mouise, ma super distraction à base de moufles ensanglantées n’a pas marché. La sortie est juste à côté, mais avec ma chance j’imagine que ces saloperies de bestioles sont capables d’ouvrir une porte. On va tenter de les distraire.
« Tu peux ouvrir mon sac ? je demande à Elliot ; je crois qu’il y avait une boîte à meuh dedans. Avec un peu de chance ils se concentreront dessus et seront trop bêtes pour se dire qu’on a pris la porte.
- T’as pas plus idiot comme plan ?
- J’ai pas plus intelligent, déjà seul contre 30 j’aurais du mal armé jusqu’aux dents, alors avec une longue vue et un mec sur mon dos, on va pas aller loin !
- Ok, ok, j’ai compris… Tiens, ta boîte à meuh !
- Merci !
- Au fait, c’est normal cette lumière verte dans ton sac ? »
Aucune idée, ça. Je hausse les épaules d’un air peu convaincu et penche très légèrement la boîte à meuh (dernier cri, avec horloge et blockchain intégrés), qui émet le plus beau son de boîte à meuh que j’aie entendu. Avec l’odeur des zombies autour, on se croirait à la ferme…
Par contre, lesdits zombies n’en ont absolument rien à battre. Pas un grognement, pas une mâchoire putréfiée qui claque. Je suis presque déçu.
« Bon, ton plan génial a échoué, ricane Elliot dans mon dos, on fait quoi maintenant ?
-Moi, je réfléchis. Toi, tu la boucles parce que là mon plan le plus intelligent c’est me servir de toi comme arme !
-Attends, il y avait un truc fermé dans ta valise, est-ce qu’on n’essaierait pas de l’ouvrir pour voir ce qu’il y a ded…aaaaaaaah ! »
Mais quel crétin ! Après avoir pris la valisette dans mon sac, il a essayé de l’ouvrir. Sauf que la fermeture était coincée, et après avoir tiré comme un fou, il est tombé quand ça s’est ouvert. Et mon sac avec.
Immédiatement, j’entends des grognements. Et merde. Je me précipite vers Eliot, qui gémit parce qu’il s’est fait mal, cet idiot. Je remets mon sac avant de le reprendre sur mon dos…
Et les grognements se sont arrêtés. Net.
Je lâche la bretelle de mon sac. Grognements.
Je la remets. Ils se calment aussitôt.
Je la lâche. Grognements.
Je la remets. Calme.
Bon, ben mon sac a l’air de magiquement nous protéger, pour l’instant. Ça a peut-être à voir avec cette lumière verte dont parlait Elliot. Au moins on pourra peut-être s’en sortir.
Je ramasse la boîte à meuh, dépité, et repars. Sauf qu’ils nous suivent, ces abrutis…
C’est alors que je réalise un truc : les zombies n’ont l’air d’avoir aucune mémoire à long terme. Ils agissent selon leurs perceptions du moment, sinon on se serait fait déchiqueter. Je fais un essai en posant la boîte à meuh par terre. Automatiquement, les zombies se ruent (enfin, convergent trèèèès lentement) vers le bruit. Je reprends la boîte. Arrêt complet.
J’ai peut-être une idée.
« Tu as gardé la valisette ?
- Oui, il n’y avait rien dedans, à part un petit sachet de poudre, on dirait de l’héro…
- On va la garder pour plus tard. En attendant, démonte la charnière puis passe-moi le tout, je vais tenter un truc.
- Mais regarde ce rose, il est trop choupi ! Tu es sûr de toi ?
- Je te rappelle mon plan B ou tu le laisses faire ?
- Bon, d’accord… »
Me voici donc avec une valisette découpée. Un des deux côtés a l’air très peu stable. Tant mieux, c’est exactement ce qu’il nous faut. Mais d’abord, il faut s’occuper de la porte qui, bien entendu, est fermée…
« Penche-toi un peu et laisse-moi faire ! me dit Elliot. Avec la charnière, je devrais pouvoir crocheter ça sans trop de problème.
- Tu sais faire ça ? Ce genre de trucs n’arrive que dans les films !
- On est en train de subir une attaque de zombies, ça te semble courant dans la réalité ?
- Certes… Bon, dépêche-toi, on ne sait jamais ce qui peut nous tomber dessus »
Il s’attèle à la tâche pendant que je teste mon plan. Effectivement l’espèce de gros cœur rose oscille dans tous les sens, et ça déclenche la boîte à meuh à répétition. Vivent les versions électroniques de vieux gadgets de grand-mère.
« C’est bon, on peut y aller ! »
Je lance donc, comme un frisbee, la demi-valisette. Elle passe sous le nez des zombies dans un « MEUUUUH » retentissant, avant de se poser par terre en oscillant. Les zombies se jettent donc dessus au ralenti, nous laissant le temps de passer la porte. Avant de la refermer, je mets l’autre bout de valisette sur la poignée, vérifie qu’il tient bien, et sors. Maintenant les zombies sont face à une porte sans poignée puisqu’il y a un gros cœur rose à la place.
Je sors, Elliot sur mes épaules. Nous voici tirés d’affaire, pour l’instant. Il ne nous reste plus qu’à nous rendre en lieu sûr… si ça existe encore.
- Objets de Faalcon:
- Paire de moufles- Boîte à meuh
- Longue-vue
- Sceptre- Briquet- Valisette
- Bescherelle édition 2020
- Caméscope
- Seringue
- Coquillage
- Lone Jackal:
- Lone Jackal était parvenu à s’éloigner de la ville. Mais était-il tiré d’affaire pour autant ? Rien ne lui permettait de savoir si le drame avait atteint ou non le reste du pays. Et si le monde avait véritablement sombré, il n’était pas dit qu’il puisse facilement refaire le plein lorsque son réservoir serait à sec. Il en était là de ces réflexions lorsqu’un grand bruit parvint à ses oreilles. Dans les airs, au-dessus de lui, un hélicoptère s’approchait de la ville. Un contact de l’extérieur ! Si seulement il pouvait trouver un moyen d’attirer son attention…
Un hélicoptère au loin, un inventaire pour le moins funky, une femme toujours assommée et situation compliquée. Il avait beau être au calme et au soleil, le chacal ne pouvait pas rester ici et croupir dans le désert brûlant qu’est cet endroit. L’hélico était à ce moment, le dernier espoir avant de mourir de chaud.
Devant trouver rapidement un moyen, il se mit à réfléchir profondément.
« Ok, j’sais pas vraiment quoi faire avec ce que j’ai là. Le plus facile pour moi serait d’utiliser ma grande gueule et un mégaphone pour demander de l’aide. Mais avec le bruit de l’hélico, des pales et tout le tintouin, autant pisser dans le réservoir de la moto à ce stade, ils vont clairement pas m’entendre.
Nah, il me faut un autre truc. Un truc permettant d’être repérable au loin. »
Le chacal se mit alors à contempler son inventaire. Il s’attarda sur le seau, les tubes d’acrylique, et le scotch américain dans son sac. Si sa solution était de se faire remarquer, il trouva le moyen de procéder.
« Putain, si j’attache le seau au rouleau de scotch, que je déroule le rouleau complètement, et que je peins un gros « HELP » sur le seau, ils devraient pouvoir voir et comprendre si j’utilise le tout comme un gros lasso et que je peux élever le seau dans les airs. Go for it ! »
Le chacal mit alors son plan à exécution. Il utilisa son pouce en guise de pinceau pour écrire le message sur le seau à l’aide de peinture noire, attacha le rouleau de scotch à celui-ci , et déroula le rouleau complètement.
Une fois la bande de scotch déroulée, il scotcha la fin de la bande à sa main droite. Il utilisa sa main gauche pour, quant à elle, propulser le seau dans les airs.
Les premières tentatives furent infructueuses. Cependant, lorsque l’hélicoptère se rapprocha, le vent provoqué par les hélices permit au seau de voler. Le seau se mit alors à tournoyer dans tous les sens, jusqu’à interpeller le pilote qui, après avoir passé le chacal, fit demi-tour et se posa.
« Bonjour monsieur, que puis-je faire pour vous ? »
« Je suis désolé monsieur de vous déranger, mais je suis dans une situation de détresse. Cette femme et moi-même sommes bloqués dans ce désert après avoir fui la ville. Cette personne étant assommée, elle aurait besoin de soin. Et pour ma part d’être transporté dans un endroit sûr. Vous pouvez nous aider ? »
« Bien sûr, montez. Je vous transporte à l’hôpital, ils pourront vous occuper de vous. »
« Merci beaucoup monsieur, vous êtes bien aimable. »
Sur ces mots, le chacal transporta sur ses bras la femme encore dans le coma suite à l’emprunt forcé de sa moto. Il monta dans l’hélico, allongea la femme, et l’hélico prit la direction de l’hôpital le plus proche.
- Objets de Lone Jackal:
- Tubes d’acrylique
- Boîte de macarons- Écharpe- Casserole- Seau- Rouleau de Scotch
- Rasoir jetable
- Couteau à beurre
- Porte-voix
- Boîte de Doliprane
Mais comment s'en sont-ils tirés ? Encore une fois, c'est à vous de le décider, en leur attribuant une note allant de A et F. Les votes sont ouverts jusqu'au dimanche 5 avril. Alors, à vous de jouer, chers critiques, et bonne lecture !
Vote a écrit:
- Soraniak :
- KefkaDC :
- Genesix :
- Phénicia :
- Faalcon :
- Lone Jackal :
- KefkaDC
- Messages : 621
Date d'inscription : 14/08/2015
Age : 22
Localisation : /vp/
Mes Badges :
Re: [Partie 8] Texas Zombie
Dim 29 Mar - 22:43:53
Vote a écrit:Soraniak : A ahah la réf, sinon c'était cool
KefkaDC : X
Genesix : A Il est cool
Phénicia : B Si dans la théorie le texte est très bon, il souffre de ré-utiliser le même pattern que le texte précédent: On utilise un item, ça marche pas, on prends un autre item, ça marche pas alors on reprends un des deux et on berserk. Du coup je met qu'un B parce que ce serait bête à la longue si tout tes textes finissent de la même façon.
Faalcon : D what
Lone Jackal : C Well, le texte est bien écrit, mais la solution est un peu meh, le rouleau de scotch est quand même très long, et le pilote qui se pose pas du tout de questions devant la situation me gêne aussi.
Re: [Partie 8] Texas Zombie
Dim 29 Mar - 22:54:23
Vote de Tho a écrit:
Soraniak : B
KefkaDC : B
Genesix : B
Phénicia : A
Faalcon : D
Lone Jackal : C
Re: [Partie 8] Texas Zombie
Mar 31 Mar - 1:00:42
Votes de Whaiky a écrit: Soraniak: A --> Un texte bien meilleur que le précédent ! Ca m'a fait sourire, et c'est vachement entraînant. Attention cependant à la longueur qui peut déranger si le texte n'est pas captivant.
KefkaDC : C --> Le texte est vachement long, et une partie semble totalement inutile, ce qui donne pas envie de maintenir la lecture. De plus, la fin est somme toute basique.
Genesix : B --> Le texte global est sympa, hormis la remise en place de la situation qui est vachement longue, etqui, par conséquent, rajoute de la matière non nécessaire à ton texte. Néanmoins, la chute est sympa et l'utilisation des objets assez cool !
Phénicia : A --> Un texte tout aussi plaisant que le premier! Ta façon d'écrire est assez reconnaissable, et c'est un style qui continue de faire ses preuves!
Faalcon : B --> Comme DC et Sora, le texte est vachement long et ça gêne pas mal. De plus les successions d'étapes sont un peu mal amené, ce qui n'aide pas à la compréhension globale du texte. Cependant, le corps principal est assez sympa, et j'ai envie de t'encourager dans cette voie !
Lone Jackal : B --> Le texte en général semble assez surréaliste, en témoigne la réaction du pilote qui est tout sauf normal dans ce genre de situation, et je dois avouer que ça dérange pas mal. Mais sinon, la lecture est facile et entraînante !
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